« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Le Parisien 5/5
Un spectacle total, de l’ampleur d’un « Blade Runner » ou d’un « Dune » (version 2021), bourré d’action, d’effets spéciaux et de scènes dantesques qu’on peut prendre, au premier degré, pour un efficace divertissement.
20 Minutes 4/5
Le film est signé Gareth Edwards, le réalisateur de « Rogue One », qui offre une belle réflexion sur l’Intelligence artificielle et les peurs qu’elle engendre. .
L’Écran Fantastique 4/5
Allons droit au but : "The Creator" est une franche réussite. Gareth Edwards offre un film de science-fiction à la fois gracieux, soigné et spectaculaire, dans le sillage du "Dune" de Denis Villeneuve.
Le Figaro 4/5
Sept ans après Rogue One, le réalisateur Gareth Edwards revient avec un space opéra choc (...).
Les Fiches du Cinéma 4/5
À l’heure où l’IA met la création artistique (et la propriété intellectuelle) au défi, Gareth Edwards en fait le cœur et l’âme d’une fable SF humaniste et spectaculaire.
Libération 4/5
C’est un film qui réjouit, balade loin de l’Occident, surprend par son impertinence politique, électrise les yeux et le moral après des années à voir le cinéma à grand spectacle s’empêtrer dans des formules et des manières de faire qui donnaient de plus en plus sérieusement le sentiment d’un assèchement.
Sud Ouest 4/5
Épique et menée tambour battant, cette aventure à forte inspiration « Blade Runner » et « The Last of Us » tient en haleine et ne sacrifie jamais les personnages au détriment des combats, pourtant nombreux. Signe d’un film beaucoup plus humain et complexe qu’il n’y paraît…
Les Inrockuptibles 3/5
“The Creator” plane très au-dessus du tout-venant hollywoodien, et pourrait confirmer son auteur quelque peu oublié en maître d’œuvre de grandes fresques d’anticipation, moyennant un succès suffisant.
Télérama 3/5
Avec des images souvent splendides évoquant de bons souvenirs (de Star Wars à Blade Runner), l’action séduit instantanément. La fable sur le progrès est un peu moins agile mais le plaisir est au rendez-vous et le valeureux John David Washington (Tenet) n’y est pas pour rien.
à froid ça fait envie, belles images, beaux FX, belle mise en scène mais sans l'avoir vu j'ai l'impression que je connais déjà l'histoire.
Les IA qui créer l'arme ultime qui est un enfant qui c'est élévé à la conscience, la personne venu la tuer se lie d'affection pour elle et la protège maintenant de tous les méchants humains métaphore des colonialistes venu agrésser un peuple qui n'aspire qu'à vivre en paix.
....j'insiste, je ne spoil rien, je ne l'ai pas vu mais j'ai l'impression que c'est exactement ça que j'aurais.
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commentaires (9)
Les IA qui créer l'arme ultime qui est un enfant qui c'est élévé à la conscience, la personne venu la tuer se lie d'affection pour elle et la protège maintenant de tous les méchants humains métaphore des colonialistes venu agrésser un peuple qui n'aspire qu'à vivre en paix.
....j'insiste, je ne spoil rien, je ne l'ai pas vu mais j'ai l'impression que c'est exactement ça que j'aurais.