Le lancement de DriveClub fut l'une des sérieuses tâches dans la communication jusque là assez propre de Sony, sachant que tous les problèmes sont loin d'être réglés avec notamment la problématique de la version PS Plus, toujours mise de coté et dont on ignore encore la date de sortie.

Interrogé par IGN, Shawn Layden (boss de SCEA) a déclaré que si ce type de déboires n'avait rien de réjouissant, les développeurs n'étaient pas en cause car n'avaient aucun moyen d'anticiper pleinement la gestion de serveurs face à un nombre accru de connexion.

« Durant le développement, nous essayons toutes sortes de choses pour faire face à toutes possibilités. Nous avons une équipe basée sur cette assurance qualité. […] Mais maintenant, dans un monde connecté, vous ne pouvez tester efficacement chez vous ou même avec une bêta ce que cela signifiera exactement d'avoir 50.000, 100.000 ou 200.000 personnes qui vont simultanément utiliser vos serveurs. »

Le système demandé est évidemment différent d'un Gran Turismo, le fameux DriveClub puisant constamment dans les serveurs même en dehors du multi brut pour sans cesse mettre à jour les défis communautaires.

« Ils ont essayé d'offrir le meilleur et ce qu'il y a de plus récent pour assurer le plus de choses dans un jeu de conduite. Et ils ont rencontré des problèmes. […] Je préfère que les développeurs essaient d'avoir de l'ambition. Il n'y a aucun plaisir à jouer constamment la sécurité. »

Rappelons que Sony fera un geste pour les acheteurs de DriveClub avec deux DLC gratuits pour tous, et quatre autres pour ceux ayant acheté le Season Pass. La météo est de son coté assurée d'arriver avant la fin d'année.