description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
Face à l’explosion des problèmes de santé mentale, l’intelligence artificielle pourrait-elle apporter une réponse adaptée ? Auprès de malades, de psychiatres et de spécialistes de l’IA, un aperçu des recherches menées sur le sujet, mais aussi des interrogations qu’il soulève.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, un milliard d’individus souffriraient de troubles psychiques à travers la planète. "Les besoins ont explosé et nous n’avons pas les ressources humaines pour y faire face", constate le professeur Nikolaos Koutsouleris. La technologie, dès lors, pourrait-elle pallier le manque d’accès aux praticiens ? Parce qu’elle a la capacité d’analyser d’immenses volumes de données, l’intelligence artificielle est déjà utilisée dans le cadre de nombreuses études psychiatriques, qu’il s’agisse de déterminer l’origine d’une maladie ou de fournir des indications sur l’efficacité d’un traitement. La technologie sait par ailleurs reconnaître les émotions humaines, y compris feintes, et les imiter. Si des chercheurs s’en servent pour améliorer la relation entre patients et médecins, cette avancée pourrait ouvrir la voie à une IA thérapeutique. Aux États-Unis, des robots conversationnels ad hoc existent déjà, à l’instar de l’application Woebot, mise au point par la psychologue Alison Darcy pour permettre aux utilisateurs de prolonger leur thérapie au quotidien.
Des psys androïdes ?
Les machines font-elles de meilleurs thérapeutes que les humains ? Plébiscitée par les jeunes – comme l’attestent les résultats d’une étude de l’université d’Oslo –, l’IA présente l’avantage d’être disponible à tout moment et de libérer de la peur du jugement. Saskia, qui se débat avec les séquelles d’une enfance "remplie de peurs et d’insécurité", s’est ainsi dotée d’un compagnon virtuel qui l’accompagne au jour le jour et l’aide à surmonter ses instants de détresse. Mais n’y a-t-il pas un risque à confier notre bien-être psychologique à des robots – d’autant plus quand ils n’ont pas été "entraînés" par des spécialistes ? Aux côtés de chercheurs, d’entrepreneurs et de personnes en proie à la dépression, ce documentaire met en lumière les potentialités et les dangers de l’IA dans le domaine de la santé mentale.
Face à l’explosion des problèmes de santé mentale, l’intelligence artificielle pourrait-elle apporter une réponse adaptée ?
c'est bien de soigner les problème mentaux, mais déterminer leur source et la réparer ce serait mieux (quoi qu'on me dira ca mettra le psy au chômage) mais du coup les psy finiront quand même au chômage si l'IA prend le relai, donc ils n'ont plus d'excuse
kisukesan les problèmes sont sociétal dans la plupart des cas, famille, relation, fréquentation, travail, politique, économique et éducationnel... mais résoudre ca, serait résoudre tous les problèmes du monde et vu que ca va plutot dans le sens inverse, ca risque d'augmenter encore plus les prochaine année
En fait : la thérapie n'est pas une transmission de solutions. C’est une expérience relationnelle fine. C'est donc le métier (avec les métiers manuels) qui résistera le mieux au remplacement.
c'est bien de soigner les problème mentaux, mais déterminer leur source et la réparer ce serait mieux (quoi qu'on me dira ca mettra le psy au chômage) mais du coup les psy finiront quand même au chômage si l'IA prend le relai, donc ils n'ont plus d'excuse