« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
L'Obs 4/5
Parodies, détournements, récit dans le récit, humour référencé et absurdité à profusion : le scénario multiplie les effets de surprise. La mise en scène n’est pas en retrait, complétant le tout de truculents morceaux de bravoure.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Un petit jeu très amusant, du chat et de la souris.
Le Parisien 4/5
Ce long-métrage plein de rebondissements et à l’animation pétaradante multiplie les gags et les dialogues savoureux, et offre une galerie de personnages pétillants. En particulier le fameux Maurice, félin roux et drôle qui multiplie les bons mots…
Franceinfo Culture 3/5
L'œuvre s'amuse à détourner les lieux communs des contes et à briser régulièrement le quatrième mur. Une recette qui n'est certes pas révolutionnaire mais à laquelle on prend goût, au fil d'un récit attendrissant, aux influences médiévales.
Le Figaro 3/5
La langue bien pendue de Maurice vaut bien tous les chats pottés du monde.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Cette première adaptation à parvenir au cinéma de l’univers de Terry Pratchett est inspirée dans son écriture, mais trop sage dans sa forme.
Première 3/5
Ajoutez le character designer de Ratatouille à la confection des personnages et une animation colorée épousant à merveille le rythme du récit et vous obtenez une pépite espiègle à savourer en famille.
Télérama 3/5
D’une belle vivacité, le spectacle s’étoffe même d’une dimension philosophique, autour de la conscience de soi et de la liberté individuelle, à travers cette réjouissante galerie d’animaux futés, amusants et… idéalistes.
20 Minutes 5/5
M. Night Shyamalan signe l’un de ses meilleurs films depuis longtemps.
Ecran Large 4/5
Oui, tout le monde crie au grand retour de Shyamalan depuis des années, mais promis, cette fois c'est différent. Thriller tendu, cauchemar malicieux et réflexion sur son propre cinéma : Knock at the Cabin est son meilleur film depuis bien longtemps, et un passionnant miroir à son chef-d'œuvre Signes.
FilmActu 4/5
Le meilleur film de M. Night Shyamalan depuis longtemps. Un thriller fantastique tendu, haletant avec un Dave Bautista impressionnant.
Le Journal du Dimanche 4/5
M. Night Shyamalan revient en très grande forme avec ce nouveau film d’horreur, sans doute le plus désespéré, le plus glaçant et le plus nihiliste de sa carrière.
Le Parisien 4/5
L’ancien catcheur star des « Gardiens de la galaxie », également vu dans le récent « Glass onion », joue, tout en douceur et délicatesse, un personnage gentil et sincèrement convaincu de la réalité de ses présages, poussé aux dernières extrémités par ses convictions.
Libération 4/5
Dans «Knock at the Cabin», le cinéaste met brillamment en scène l’impossible choix d’une famille forcée par quatre énergumènes de sacrifier l’un de ses membres pour éviter une hypothétique fin du monde. Un casse-tête littéral.
Première 4/5
A l’aide d’une mise en scène aussi précise qu’inventive, Shy fait de cette série B en quasi huis clos, un sommet de tension électrique.
Cahier du cinéma 3/5
Knock at the Cabin souffre (...) de ce type d’écriture qui, scène après scène, semble inventer ses propres règles, éventuellement les annuler, sous couvert de relancer la tension. En résulte une fiction à la fois forclose, remisant commodément la sanction du réel dans les lointaines régions du hors champ, et surtout performative, puisque le dire supplante l’action.
Le Figaro 3/5
On ne sait pas sur quel pied danser. S’agit-il d’une métaphore du trumpisme? Un complot contre le progressisme, assiégé par des forces rétrogrades? Une thérapie de conversion hardcore? Le savoir-faire de Shyamalan est intact mais on peine à comprendre où il veut en venir.
Le Monde 3/5
La singularité de l’œuvre tient dans la nature du « débat » qui oppose les deux parties.
Les Fiches du cinéma 3/5
L’hybridation des genres de Shyamalan atteint un degré paroxystique : du huis clos, il conserve la claustration, de l’épouvante, une épure plastique, et de la parabole eschatologique, la sécheresse. Le tout déçoit quelque peu, malgré quelques belles fissures.
Les Inrockuptibles 3/5
Knock at the Cabin entortille avec brio les motifs shyamalaniens pour en extraire une forme de substrat théorique.
L'obs 2/5
Après une bonne série B (« Old »), revoici Shyamalan au pire de sa forme, cinématographiquement paralysé par un mysticisme de pacotille. De peu d’effroi, son conte horrifique rend stupide une question pourtant légitime : que vaut une vie quand toute l’humanité est en danger ?
Télérama 1/5
Omniprésente dans son œuvre, la question de la foi se discute sans vertige dans un huis clos biblico-bébête, bavard et répétitif, ponctué par des flash-back laborieux qui tiennent du remplissage.
20 Minutes 4/5
La grande et bonne surprise du film, c’est Gilles Lellouche. Il embrasse le rôle d’Obélix avec une gourmandise palpable.
FranceInfo culture 4/5
Asterix et Obélix : l'Empire du Milieu est dans la lignée de ses prédécesseurs, souvent drôle, toujours à l'écoute de l'actualité et aux effets spéciaux proches du dessin animé.
L'Obs 3/5
Le film ne mérite ni la volée de bois vert reçue avant projections sur les réseaux sociaux, ni les dithyrambes de la version Chabat : en ce sens, son titre ne ment pas.
Le Figaro 3/5
Guillaume Canet en Astérix inquiet et Gilles Lellouche en Obélix faillible renouvellent l’image du couple d’irréductibles Gaulois pour cette honorable virée en chine.
Le Journal du Dimanche 3/5
Au tour de Guillaume Canet de passer les aventures des légendaires héros moustachus à la moulinette de son humour potache et de son sens de l’amitié pour une comédie d’action qui vise à séduire un public large : tout en se glissant sous les nattes blondes d’Astérix, il laisse la part belle à Gilles Lellouche, drôle et attendrissant dans le rôle d’un Obélix candide mais jamais stupide.
Le Parisien 3/5
Réalisé par Guillaume Canet, « Astérix et Obélix : l’Empire du milieu » se révèle divertissant mais manque de modernité, d’irrévérence et de folie.
Le Pont 3/5
Pas facile d'inventer un nouvel Astérix sans une BD originale. Cela donne un aimable divertissement.
Paris-Match 3/5
Canet emmène les héros en Chine, lors d’un périple sans grand relief, mais se tire avec les honneurs de cette cinquième adaptation cinématographique. Il en fait un buddy movie drôle et attachant, s’offrant d’improbables guests.
Télérama 3/5
Si cet opus ne tutoie pas les sommets atteints par Alain Chabat en 2002, il possède quelques qualités bienvenues.
Le Monde 2/5
Réalisé par Guillaume Canet, le nouveau film mettant en scène les personnages d’Uderzo et Goscinny multiplie sans convaincre sketchs et vedettes, de la chanteuse Angèle au footballeur Zlatan Ibrahimovic.
Première 2/5
Tout n’est pas réussi (les combats kung-fu, le défilé de stars accessoires, d’Angèle à McFly et Carlito, l’atonie étrange de certaines scènes), mais l'idée la plus forte est, contrairement à l’adaptation de Chabat, de remettre au cœur du récit la figure d’Astérix et d’Obélix.
Cahier du cinéma 1/5
Ni péplum, ni western, encore moins film d’arts martiaux, peu parodique, cet Astérix ne trouve jamais l’inspiration épique qui convient à un récit picaresque déployé sur trois continents.
Ecran Large 1/5
Jamais drôle et indigent en matière de fabrication, Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu est un bien beau gâchis d’argent qui semble constamment avoir vingt ans de retard. On lui préférera notre titre alternatif : Anachronix et Anecdotix.
Les Fiches du Cinéma 1/5
Astérix et Obélix vont en Chine. C’est à peu près tout. Extrêmement mal écrit, ce nouvel épisode est surtout incroyablement mal produit. Comme si, tout étant trop possible dans ce film trop riche, plus personne n’avait eu envie de rien. Pas drôle. Voire triste.
Les Inrockuptibles 1/5
Le blockbuster qui doit tous nous sauver est presque intégralement raté : une belle leçon d’arrogance gauloise.
Libération 1/5
Gorgée d’un trop-plein d’idées qui tombent à plat, la marmite de potion se révèle bien froide.
Marianne 1/5
N'en déplaise au sauveur autoproclamé du cinéma français, son « Astérix & Obélix : L’Empire du milieu » est un navet à 65 millions d'euros. La raison ? Une écriture défaillante, davantage soucieuse de la rentabilité commerciale que de la cohérence narrative.
wickette Faut bien surpayer lui et tout ses amis a Guillaume Canet
C'est la crise, ils se mettent bien et n'en on rien a foutre du reste. Succès ou non ils sont tranquille avant leur prochaine arnaque cinématographique
ryadr un humour bien pipi caca prout. C'est dommage car avant on arrivait bien à bien doser l'humour sans être dans le '' niais '' comme aujourd'hui. Le cinéma français maintenant, soit ce sont des trucs comme ça, soit c'est un film dramatique avec Ahmed le jeune migrant Iranien qui découvre la France grâce à Gérard grand romancier à la retraite meurtri dans l'âme mais qui se découvrira une nouvelle jeunesse. Ah mais mine de rien je tiens un truc là
Parmi les oeuvres cinématographiques récentes, il n'y a que Alexandre Astier qui a compris l'oeuvre originale et qui la respecte. La succession de blagues pipi caca stop !! C'est pas ça Astérix bordel...
Peut être qu'un jour on lui donnera la possibilité de réaliser un film avec de vrais acteurs.
Je suis grand fan d'Astier mais son film Kaamelott n'est pas très bon et ça me met de gros doutes sur ses capacités à pouvoir réaliser un film de cette ampleur.
Eh ben.
Avec cet argent je ferai + attention au scénario, suffit pas juste de mettre des cameo...
C'est la crise, ils se mettent bien et n'en on rien a foutre du reste. Succès ou non ils sont tranquille avant leur prochaine arnaque cinématographique
Il est temps que ça change et j'espère que ce Astérix va magnifiquement se planter !
CHEH.
Ca rend fou...
Le cinéma français, quelle plaie...
- Des légumes.
- Des légumes ?
Ah bah avec un navet de cette taille même Obélix sera rassasié.
Peut être qu'un jour on lui donnera la possibilité de réaliser un film avec de vrais acteurs.
Je suis grand fan d'Astier mais son film Kaamelott n'est pas très bon et ça me met de gros doutes sur ses capacités à pouvoir réaliser un film de cette ampleur.
Déjà que Old est une des pires purges que j'ai pu voir récemment... rarement vu aussi mal branlé niveau réal, c'était juste insupportable.
C'est une sorte de huis-clos dans un espace bien défini, à savoir une plage, et pourtant strictement RIEN n'avait de sens, un merdier sans nom