Bonjour à tous et bienvenue dans ce 28ème numéro de Gamekyo Match. Au programme, peu de rumeurs, l'abo' premium à notre magazine étant un échec, ce qui a forcé la
rédeg'tion a reprendre une activité salariée plus rémunératrice. Mais TSF, avec leur statut de bénévoles, vous offre deux tests (oui, deux tests, vous êtes gâtés) sur LE jeu du moment, à savoir Death Stranding.
Industrie:
- Alors que Death Stranding n'est pas encore sorti, des bruits de couloir persistants font mention d'une suite déjà lancée et bien plus avancée qu'on ne l'aurait penser. Le jeu serait d'ailleurs commercialisé au lancement de la PS5 et serait cross-gen. En exclusivité, nous avons même pu mettre le scanneur sur la jaquette du titre :
- Vous le savez, RDR2 débarque prochainement sur PC. Rockstar aurait une feuille de route adaptée à chaque pays majeur pour les DLC multi à venir, et en France, nous aurions droit à une skin Elie Baup comme vous pouvez le constater sur l'image promotionnelle ci-dessous.
- Cyberpunk 2077 se déroule dans une ville unique, comme chacun le sait, aux quartiers bien marqués et culturellement hétérogènes afin que l'aventure soit variée. En exclusivité pour Gamekyo Match, notre infiltré au sein de CD Projekt a pu sortir des images du quartier africain :
Vie du site
- Vous le savez, votre maître à tous a testé (brillament) Death Stranding. Malheureusement pour lui, le jeu n'a pas obtenu la note maximale et Hideo Kojima tenait à faire passer un message :
- Biboys est fan de Resident Evil comme chacun le sait. Ce que l'on sait moins, c'est qu'il est aussi moddeur à ses heures perdues et a proposé aux joueurs PC LE mod qu'ils attendaient tous :
Comme vous pouvez vous en douter, le mod est actuellement le mod le plus téléchargé sur Steam. Félicitations à lui.
Testeurs Sans Frontières
En tant qu'acteurs de l'industrie suivis et respectés (par certains, pas tous effectivement), TSF a eu le privilège de recevoir en avant-première Death Stranding et donc d'être à même de vous proposer un test du jeu avant même sa sortie. Sans transition, place aux deux avis de notre cellule « infiltration ». Et comme sur le reste du web, le jeu a divisé notre rédeg'tion.
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Ah Kojima... Il est vrai que ma partialité augmente lorsque son nom apparaît à l'écran ou sur la jaquette, mais force est d'avouer que le vrai petit artisan japonais nous délivre avec Death Stranding son magnum opus, son Citizen Kane, sa Palme d'Or, son « chef d'oeuvre » (© petit-démon-parti-trop-tôt-ou-trop-tard-c'est-selon-votre-degré-de-connerie), son Mario 64, son Billie Jean [NdRédeg'tion : Amassous a vraiment insisté pour que cette référence soit placée là, désolé]... Bref, ça bute ! Au-delà de nos espérances les plus folles.
La civilisation va mal mais les fabriquants de batteries se régalent...
J'ai tout d'abord apprécié le fait que Koji soutienne la PMA via ce bébé, véritable compagnon de route mais objet utilitaire avant tout. Alors que l'humanisme entrave les profits, il est de bonne augure qu'un créateur, que dis-je, qu'un génie artistique, que le Da Vinci du JV, prenne position dans une œuvre grand public pour faciliter l'ingénierie sociale nécessaire à l'acceptation sociétale de cette ̶f̶u̶t̶u̶r̶e̶ ̶u̶s̶i̶n̶e̶ ̶à̶ ̶c̶a̶s̶h̶ courageuse loi. Les esprits chagrins considéreront que Kojima s'est délibéremment inspiré de la situation grecque où les femmes louent leurs ventres, mais génie absolu, il a subverti tout ça en assignant le bambin à un homme. Incroyable. Magnifique. Tel un Julien Chièze avec sa bouche en cul de poule sur ses vignettes Youtube, j'en reste encore abasourdi.
Kojima nous enseigne aussi que le métier de livreur est difficile, et que le bashing contre La Poste doit cesser. Car oui, qui nous relie, qui rend le monde plus petit et plus proche, si ce n'est la Poste depuis des années ? Oh, je vois les plus jeunes rirent de cela, mais sachez qu'avant que vous ne soyez expulsés du ventre de votre mère, les PTT permettaient aux gens de se rapprocher via les courriers transportés et délivrés. Si votre grand-père a pu pécho votre grand-mère et fonder votre famille, c'est peut-être grâce au travail d'un facteur qui a remis à cette dernière la lettre lui confirmant que son amant préféré était encore vivant et qu'elle n'allait pas devoir se taper Roger le voisin réformé au plus vite pour couvrir sa grossesse naissante. La transposition analogique permano-culturo-holistique des postiers en Reedus permet ainsi de rétablir du lien entre des usagers et cette entreprise, de manière bien plus profonde (car inconsciente, toute en subtilité) que les meilleures campagnes de com' des syndicats. Kojima n'oublie pas non plus la précarisation liée à Deliveroo et Uber Eat, puisqu'attention spoiler, on peut apercevoir (entre autres PNJ de méga stars) Octobar sur son vélo de coursier (avec son fameux onch onch en klaxon lorsque vous vous approchez à moins d'une tentacule du poulpe). Génie. Que dis-je, dieu artistique si il en est.
Je ne vous parlerai pas du scénario puisqu'il se doit d'être découvert. On notera tout de même que là encore, en cette époque de gratification instantanée et de désir immédiat, Kojima a encore une fois trollé les plus impatients d'entre nous avec sa dernière bande-annonce « divulgâchante » au possible. Outre son génie artistique, Kojima est aussi un génie philosophique et nous apprend par l'exemple la pertinence du fameux « patience est mère de toutes les vertues ». En inversant une fois encore le message, et en faisant ressurgir la véracité de l'origine par une opposition voulue (« Impatience est mère de toutes les verrues »). Génie.
Sachez tout de même que vous allez vous prendre des grosses claques dans la tronche, dont une particulièrement négative (le fameux chapitre 13 tant décrié par le Divin Chauve dans son test). Encore une fois, en tant que génie absolu, Kojima sait que la vie n'est pas qu'une suite de bons moments et distille donc des trous d'air de manière intelligente, afin de faire grandir le joueur en face de son écran. Il y a des bris de quatrième mur tellement éclatants que le jeu est fourni avec un bon Carglass pour les remplacer chez vous, et qu'il va probablement falloir faire appel à votre cousin maçon pour remplacer quelques murs porteurs étant donné la violence des impacts. Et le cinquième mur est pour la première fois franchi dans le JV ; truc de ouf maboule qu'il serait criminel d'approfondir mais sachez que vous allez resté scotché à votre fauteuil lorsque ce sera le cas. Sans trop en dire, sachez qu'on avait l'habitude de voir des stars incorporées dans divers médiums mais là... Koji a fait très fort grâce à l'utilisation ingénieuse de la Dual Shock et de sa divine lumière bleue. SPOILER : le héros du jeu Norman Reedus en hologramme dans son salon, c'est une première et seul un génie absolu comme Kojima pouvait avoir cette idée. Mélenchon dans les cordes, puisque ce n'est pas dans deux ou trois pièces, toutes gigantesques soient-elles, mais dans les salons de millions de joueurs que ça se passe. FIN DU SPOILER.
Ce parapluie brandi par Lea Seydoux, en soutien à la résistance Hong-Kongaise, n'est qu'un exemple parmi d'autres du génie prophétique de Kojima.
Au niveau gameplay, c'est tout simplement génial. Un jeu où l'enjeu principal est de marcher, où le simple fait de se déplacer se transforme en épopée est une prise de décision courageuse et géniale, qui nous rappelle tout ce que nous devons à notre position debout à l'heure où le créationnisme revient en force. La vieille de Watch Dogs 3 est d'ailleurs inspiré de ce parti pris, on mesure donc déjà toute l'ampleur du génie de Kojima, qui inspire sans cesse l'Industrie. Grâce à la puissance sans fin du moteur Decima de Guerilla Games, les textures deviennent aussi éléments de gameplay plutôt que simples visuels.
Le multi asynchrone, inspiré de Dark Souls mais sublimé grâce au cerveau fantastique de Kojima, est ici développé à pleine mesure et permet de connecter les joueurs du monde entier non sur le plan matériel comme il est de coutume mais dans les cœurs et les esprits de chacun. C'est vos émotions qui vous relieront aux autres, vos « merci » mentaux, vos soupirs de soulagement devant l'aide de joueurs jamais rencontrés mais pourtant compagnons aidants de vos aventures, grâce à la mise en commun des efforts individuels. En tant que génie absolu, que dis-je, ultime, Kojima sait que les grandes choses ne naissent pas seules et que la coopération est indispensable à l'établissement des ouvrages d'art marquants. Tous les participants, quelque soit leur position sociale, de chantiers importants sauront reconnaître là l'esprit d'entre-aide qui anime (parfois) le secteur, et que les efforts des uns facilitent le travail des autres. Il faudra donc passer par des phases fastidieuses avant de saisir l'ampleur de ce qui a été réalisé, savoir construire et persévérer même dans la douleur pour que naissent des facilités par la suite, et que les épiphanies arrivent. Génie si il en est, la thématique de l'enfantement, de la grossesse par la disposition du marmot sur le ventre de Reedus trouve son écho dans la construction des liaisons de ce monde par le multi asynchrone. Un coup de maître, il faut l'avouer, une fractale géante, pas étronnant que certains sur Gamekyo ou le web (particulièrement du côté des anglo-saxons) ne puissent donc pleinement saisir l'ampleur du travail réalisé et la pertinence des thèmes de ce jeu. Les boss et affrontements chiants comme la mort participent aussi à cette destruction du mythe du sauveur solitaire qu'on mange depuis des dizaines de milliers d'années (avant Rambo il y avait Jésus, ou Moïse, ou autres...), particulièrement néfaste pour une société : ils ne sont que les incarnations d'un système et en tant que tels ne doivent pas être considérés comme une finalité. Le face à face détruit, l'union, la concorde sauve. En choississant volontairement de rendre les combats plus ennuyeux qu'une conversation entre Testament et Hyoga, Hideo prend position contre la violence qui gangrène l'industrie et la fait passer à un stade supérieur, à la maturité. Bref, Kojima continue sa subversion et pisse encore joyeusement à la tête des poncifs du divertissement et de la société du Spectacle, avec cette faculté toute particulière à se tenir sur le fil du rasoir, à jouer avec les codes pour mieux les saboter de l'intérieur, afin qu'ils s'écroulent en leur sein plutôt que par un assaut frontal (d'où les notes de merde que le jeu se tape chez nos « collègues » outre-atlantique, dont la philosophie plus directe, plus jeune, plus adolescente, diffère de l'Europe, ensemble de vieux pays qui en a vu, presque gâteux et séniles à l'heure actuelle).
Ryoporterbridges débarque sur un article avec des coms négatifs sur le jeu...
Death Stranding est donc un jeu foncièrement collectiviste, qui encense les classes sociales les plus basses et rétablit à l'heure de la domination des cols blancs l'honneur et la dignité des cols bleus, véritables fondations des civilisations, du social et du partage. Une revanche sur le comité directeur de Konami aussi, un message d'espoir pour tous les chômeurs du site et du monde, une ode à la résilience et à la nécessité de se reconstruire après sa propre destruction. Une ode géniale à l'évolution via la coopération plutôt que l'affrontement, message révolutionnaire à l'heure ou le darwinisme a été teinté de toute la malice qu'il était possible d'y insuffler, avec ce fameux « darwinisme social » brillament détruit au cours des 40h que prendra l'aventure virtuelle, dont les répercussions sur le monde réel, sur son appréhension, seront néanmoins sensibles pour ceux qui auront vécu cette œuvre comme Kojima l'envisage. Une œuvre tellement importante et marquante qu'elle impacte même ceux qui la snobent, comme vous pouvez le constater avec les innombrables commentaires sur le site depuis quelques semaines, et que même hors du jeu Kojima a réussi à relier les joueurs de différentes chapelles entre eux. Le baton ou la corde, certains ont choisi, mais les faits sont là. Génie. Un putain de génie comme on en voit rarement.
En parlant de baton, comment ne pas relever l'attaque toute en finesse de Kojima envers son ancien employeur avec la mécanique des Echoués : lorsqu'ils entrent en contact avec du vivant, une explosion a lieu et un cratère gigantesque apparaît. Comme le protagoniste de cette aventure, Kojima a pu revenir de ce choc et est immortel, à jamais dans nos cœurs. Là où des créateurs moins géniaux qu'Hideo auraient disparu dans les limbes, le grand maître japonais est revenu d'entre les morts pour délivrer un nouveau message primordial et continuer sa mission d'évangélisation des joueurs du monde entier.
A l'heure où l'on parle beaucoup trop de bienveillance pour masquer les comportements abjects, Kojima la délivre, la fait briller sans la citer, sans la nommer, et la renforce par l'exemple éducatif. Traversée par les interrogations de son créateur, la créature arrive à un niveau de densité phénoménale pour le médium et aborde, comme MGSV, des thématiques de manière de plus en plus fine et efficace. Comme le bon vin, Hideo Kojima se bonifie avec l'âge, et la qualité de son écriture ne cesse de s'améliorer, entrant en résonnance avec tous les éléments qui composent un JV. N'est-ce pas là le véritable génie que d'ouvrir des univers entiers dans la tête des gens en quelques mots ou une courte séquence ?
Death Stranding est une exclusivité Sony. Exclu pour quelques mois mais exclu quand même. Dans son immense générosité, Kojima a ainsi décidé d'apporter sa sainte parole aux joueurs PC, pour qu'ils puissent découvrir que l'ennui, la fatigue peuvent être bénéfiques après cette grosse merde d'RDR2 qu'ils vont s'infliger en cette fin d'année. Qu'ils peuvent être moteurs, catalyseurs de choses plus importantes. Génie.
Bien sûr je n'ai pas joué au jeu mais en bon Koji-Sex, je peux tartiner des pages entières et le louanger de longs paragraphes sans aucun souci.
Je tiens aussi à remercier Sony pour sa prise de risques alors que ses concurrents se contentent de recycler sans cesse leurs licences ou transformer tout ce qu'ils touchent en 80 max sur metacritic.
Quand le plus grand constructeur de consoles rencontre le plus grand génie du secteur, il est bon d'être un player!
Conclusion:
Ce jeu est tellement bon que j'ai envie de devenir pédé pour pouvoir réellement sucer Kojima si je le croise un jour.
[NdRédeg'tion : TSF tient à préciser que ce test n'a pas été écrit par Minbox ou Biboys]
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L’épopée de l’ennui sur une autre planète entre potes.
Bien que je sois dans un coin perdu, la Nasa en collaboration avec TSF pour la mission Mars ‘’En route pour polluer une autre planète’’ a eu le plaisir de nous faire passer un test qui se révéléra être notre quotidien durant l’épopée martienne. Vous vous demandez surement pourquoi je vous cause de ma vie d'astronaute... Eh bien vous le saurez à la fin!
Qu’est-ce que c’est Death Stranding? Bah pour résumer c’est Kojima qui invite tous ses potes au festival de Cannes ni plus ni moins. Vous avez pas besoin de faire le jeu pour comprendre le jeu, vous tapez sur Youtube ‘’Flaque de merde’’ et à partir de là vous pouvez comprendre ‘’Death Stranding’’. Death Stranding, c’est un peu toutes les nuances de formes que la merde peut prendre. Vous avez adoré l’effet Left Alive? Dans ce cas-ci, c’est pareil! Le gameplay est tellement inexistant qu’on peut même pas le noter… Comment décrire ce qu’on fait dans le jeu? Tu as un teubé qui va de base en base poster un colis et parfois tu as ces enculés de Gilets Jaunes qui viennent t’emmerder comme dans la vraie vie. Les gunfights, on dirait que c’est inspiré par un jeu Flash sans déconner. Par contre, vous pouvez pisser dans le jeu, c’est sans doute la manière de Kojima de remercier tous ses suceboys. Tu as l’impression de rien foutre dans ce jeu, il n'y a aucun sens dans ce que l’on fait. Kojima essaye de jouer la carte du mytère mais ça marche pas quand tu apprends le plot de l’histoire et que tu constates qu’au final Konami a eu raison de le virer. C’est un putain d’imposteur et tu as tout ces fanboys surtout sur Gamekyo qui nous sortent ‘’ ouais mais il tente des choses uniques et c’est incroyable’’. Fermez-vos gueules, il y a rien d’original, c’est pas parce que tu fais un jeu de livreur de colis que ton jeu est original. Le jeu était censé connecter tous les joueurs ou bien les enculer profondément?
Au final, c’est juste une affaire de famille où tu sais pas pourquoi tu viens foutre ton grain de sel alors que tu n’es même pas concerné dans l’histoire. Petit spoil, les affiches de Death-Stranding de chaque personnage, bah rien qu’avec ça vous pouvez savoir l’histoire des personnages, no fake!
Bref, au final, je vous conseille d’aller voir une grosse vidéo Youtube de Death Stranding au lieu de vous faire chier à jouer à ça.
Conclusion:
Je constate que Death Stranding, c’est plus chiant que de se faire chier sur Mars.
Kikadi :
Ca part dans tous les sens. Impossible de suivre votre productivité exceptionnelle en cette fin d'année fournie en sorties.
1) Ca critique Death Stranding :
Merci de vous acheter une PS4 avant de savoir si vous allez l'acheter ou non les pro-M.
2) Maxime Chao (Jeux Actu) est déçu par le rendu graphique de TLOU Part II :
- Je reviens dans 100 coms.
- Moi dans 200.
3) Death Stranding est Gold !:
- Plus besoin de Death Stranding, ce matin près de chez moi, Lubrizol a explosé, et des taches noires dégoulinantes sont apparues sur toute la partie nord. Death Stranding le concept, Lubrizol la réalité.
4) Rekt :
- Ça me rappelle un certain membre de Gamekyo qui avait spoilé la fin de The Last of Us !!
- Si tu dis Seriously 3 fois devant ton miroir , ton frère aura les cadeaux qu'il souhaite à Noel .
5) Ca buzz sur Death Stranding :
- La clique de bouffons habituels qui vient baver qu'il fallait s'y attendre. Les types tellement en chien depuis des mois avec ce jeu que l'avis d'un random devient parole d'évangile. Prenez votre tête et éclatez la violemment contre le premier mur que vous croiserez. Vous rendrez service a beaucoup de monde. Vous y compris.
6) Le temps de travail hebdo, sur Gamekyo :
- Mon cul t'es un assisté comme tout le monde ici. Tu te fais masser l'oignon par la CAF.
7) Rekt II:
- Toi tu parles toujours de tout [….] mais tu reste le cul vissé sur ta chaise, tu fais rien à part du vélo sans selle en forêt de nuit.
8 ) Abo' premium à 100 balles annuelles pour... Fallout 76 :
- Ils ont raison. Faut saigner jusqu'à l'os tout ceux qui ont acheté cette merde.
9) La 3DS officiellement « lâchée » par Nintendo:
- Parce qu'il y en a qui nous disaient que Nintendo allait sortir une autre portable et que la Switch ne la remplacerait pas.
- Y a des mecs qui pensent que la terre est plate.
Faut pas écouter tout le monde.
Vu sur le web:
A) Death Stranding :
Je ne doute pas de la qualité d’écriture, mais niveau gameplay ça sent la transposition d’une 3e année de CDI chez DHL après un tsunami. Pour un film de 2h sur Arte carrément, sur 40h de gameplay redondant, j’ai plus le temps.
B) Death Stranding (bis) :
Les mecs s'infligent des heures de trucs chiants pour mater des cinématiques. Qui aurait l'idée d'acheter le meilleur chocolat du monde si celui-ci est entouré d'une couche de merde de 10cm à lécher pendant des heures?
Voilà c'est fini pour ce numéro spécial Death Stranding. Atchao bonsoir !
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posted the 11/02/2019 at 08:00 PM by
iglooo
beau travail
aiolia081 peut-être que Sheshounet fait parfois appel à ce contributeur régulier de TSF
"Großartig" comme disent les allemands !