Expliquer à d’autres pourquoi est-ce que l’on aime un film. Plutôt simple !
Expliquer à d’autres pourquoi est-ce que l’on déteste un film. Peut-être encore plus simple !
Savoir le film affreux, mais quand même essayer d’expliquer à d’autres pourquoi est-ce qu’on l’adore. Là, ça se complique un peu plus.
Bienvenue dans le premier numéro d’une nouvelle chronique sur le site : Plaisir Coupable. Derrière ce nom ressemblant au titre improbable d’un téléfilm érotique sur lequel nous tombons par « le plus grand des hasards » en troisième partie de soirée sur une chaîne de la TNT se cache deux volontés personnelles.
La première est égoïste puisque je cherche simplement à diversifier le contenu que je propose. Je ne dis pas que je n’aime pas faire des critiques de films, loin de là ! Mais disons que parfois j’aimerais aller au-delà de la simple critique. Cette chronique est donc l’occasion parfaite pour parler autrement de films dont je ne pourrais pas parler par le prisme des critiques.
La deuxième l’est moins. Nous sommes dans une ère où l’internet nous donne des torrents et torrents d’informations sur le cinéma et les dernières sorties. Les bandes-annonces sont disséquées et analysées. Mais surtout les notes sont souvent le sujet de nombreuses discussions. J’aimerais donc à travers ces chroniques revenir sur des films qui ne sont pas les mieux notés et essayer de montrer que même ces films ont un intérêt. Est-ce qu’ils sont bons ? La plupart du temps, non. Je ne vais pas vous prendre un film catastrophique et simplement vous dire que les critiques sont passées à côté et ne savent pas de quoi ils parlent. Je ne suis pas un défenseur du DC Extended Universe voyons ! Oui je sais, c’est un peu tirer sur l’ambulance à ce niveau.
Bienvenue dans Plaisir Coupable, la chronique qui vous parle de films nuls qui ont tout mon amour que je vais essayer de justifier. Et pour ce premier numéro, nous revenons en 2001 pour que je vous parle d’une adaptation de jeux vidéos. Le film est revenu dans les conversations suite à un reboot sorti très récemment. Je parle bien sûr de Lara Croft : Tomb Raider.
Lire la chronique Plaisir Coupable sur Lara Croft : Tomb Raider
Je viens de sortir ma toute première chronique !
J'ai pas mal travaillé sur ce beau bébé. Il m'a pris du temps mais il est là.
J'essaye d'aborder dans ces chroniques intitulées "Plaisir coupable" des films dont je ne pourrais peut-être pas parler autrement. Ce sont des films objectivement mauvais, mais qui ont un tel charme que je ne peux m'empêcher de les aimer de tout mon coeur.
Dans cette première chronique ? J'ai choisi Lara Croft : Tomb Raider ! Et j'y parle de beaucoup de choses, notamment du 11 septembre 2001 pour une raison étrange. Bref, c'est un premier essai donc dites moi ce que vous en pensez !
Je veux vraiment m'améliorer pour proposer des chroniques très travaillées et très intéressantes pour vous à lire. J'espère m'approcher de cet objectif avec cette première chronique

Perso, en plaisir coupable je pense immédiatement à Mortal Kombat. Le 1er était vraiment pas si mal (déjà mieux que Street Fighter en terme de chorégraphie de combat), très dans son époque et sans prise de tête. Bref, une parfaite adaptation (nan parce que bon, ça reste Mortal Kombat quoi, c'est pas non plus de la grosse philosophie et des retournements de situation à gogo. Quand on joue à MK et quand on regarde un film MK, ce qu'on veut c'est voir des ninja se tabasser la gueule avec plein de sang et des finish move badass. Le film rempli parfaitement sa part du contrat là-dessus).
Bon le second devient bien trop kitch et objectivement mauvais pour être digne d'intérêt, je le concède.
Je dois avoir encore un tas d'autres films "plaisir coupable" mais je dois y réfléchir.
Et oui, ce tomb raider et le premier mortal kombat sont aussi des plaisir coupable, ce sont des film de leur époque, des adaptation de jeu video correct au niveau scenaristique et visuel de leur jeu.
En revanche, les séquences d'action dans les "tombeaux" sont jouissives et très fidèles aux jeux. 'fin les premiers en tous cas. C'est d'ailleurs son principal souci puisqu'il faisait moins film que jeu vidéo, à l'inverse du deuxième qui lui, avait oublié jusqu'à son personnage... Une vraie daube, ce Berceau de la Vie.
Et la BO reste une de mes favorites: Fatboy Slim, NIN, Groove Armada, Fluke, Leftfield... Une tuerie.