Synopsis2052. Alors que la planète Terre connaît une ère de paix et de prospérité sans précédent, le professeur Skinner, neuroscientifique détenteur d'un prix Nobel, met au point l'Hapuna. Ce médicament miracle est une véritable révolution puisqu'il peut tout soigner, sans effet secondaire ! Mais alors qu'il est mit sur le marché, son concepteur disparaît sans laisser de traces.
Trois ans plus tard, le professeur Skinner réapparaît et indique que son médicament a un effet secondaire de taille : tous ceux qui l'ont utilisé mourront au bout de trois ans. Le compte à rebours est lancé pour "Lazarus", un groupe de 5 personnes chargées de retrouver le scientifique et de trouver un remède à l'Hapuna.
Lazarus , un des animes les plus attendu est en fait une véritable déception voir une vraie perte de temps. Le pitch de départ avait pourtant du potentiel mais en seulement 13 épisodes on ne peut pas faire de miracle , l’anime est générique au possible avec des personnages cliché , je peine à trouver un attachement envers eux , surtout envers le personnage principal Axel qui a part faire des acrobaties pour se sortir de n’importe quelle situation , est assez oubliable. Aussi oubliable que son univers et ces couleurs ternes et grisâtres , son scénario bourré d’incohérence peine à convaincre.
Bien qu’il m’a fait rire dans certaines scènes grotesques et irréalistes , Lazarus est ennuyeux dans sa forme comme dans son fond, l’impression qu’il suit un cahier des charges très précis d’un blockbuster américain. Le réalisateur Watanabe ( Samurai Champloo , Cowboy Bepop) nous a habitué à beaucoup mieux, ces précédentes réalisations étaient pleines de créativité, ici elle est proche de zéro tant la proposition est fade sans aucune saveur.
Son animation, assurée par Mappa est tout juste potable, c’est beau dans certaines scènes contemplatives, mais ça reste moyen tout le long. Les musiques Jazzy sont plutôt bonnes même si j’ai cette impression qu’elles ne collent pas vraiment au ton sérieux de l’univers et des personnages.
Je ne retiendrai pas grand-chose de Lazarus tant cela sonne faux, une anime prometteur sur le papier, mais une vraie déception dans sa proposition.
Supervisée par Atsushi Okui du studio Ghibli, l'intemporel Princesse Mononoke revient le 27 août prochain au cinéma dans une version remasterisée 4K et projetée en IMAX, une restauration qui a été faite subtilement pour une expérience cinématographique unique.
Une merveilleuse annonce pour fêter dignement les 40 ans du studio.
Synopsis : Yaiba est un jeune samouraï d'une dizaine d'année, élevé dans la jungle par son père, Kenjûrô. Il montre déjà des dons pour cette technique de combat. Soudainement, son père et lui se retrouvent à Tokyo. À l'aéroport, Kenjûrô y rencontre une vieille connaissance, Raizô. Il décide alors de s'inviter chez lui. Commence alors pour Yaiba une vie citadine pleine de découvertes. Il suit la fille de Raizô, Sayaka, dans sa vie quotidienne et se fait rapidement remarquer par sa technique de combat. Le maître décide alors de le confronter au samuraî le plus expérimenté du dojo, Takeshi Onimaru. Yaiba trouve un adversaire à sa taille. Le petit samuraï, provoque sans cesse Onimaru et l'entraine dans des pièges puérils qui l'exaspèrent. Un puissant combat s'engage alors entre les deux samouraïs. Onimaru décide de se venger de ce combat qui ne les a toujours pas départagé. C'est alors qu'Onimaru découvre un sabre magique où l'esprit du dieu du vent y est enfermé.
Je ne connaissais pas le manga et WIT STUDIO délivre avec Yaiba une adaptation au petit oignon, c'est beau, c'est fluide, avec une gestion des couleurs aussi chatoyantes que joyeuse.
Le pitch de base reste certe très simple mais drôlement bien efficace, les personnages sont drôles, attachant et développées comme il faut, avec une ambiance rappelant un peu le début de Dragon Ball ou Dragon Quest.
Yaiba à ce côté old school très appréciable et les épisodes se suivent avec plaisir tellement l'animation et les musiques sont soignés.
En clair une très bonne surprise qui se démarque assez facilement des autres animés du moment.
Alain Chabat et Fabrice Joubert s’affrontent dans une battle de dessin à leur manière. Entre deux coups de crayon, ils reviennent sur les secrets de fabrication de la série ASTÉRIX & OBÉLIX : Le Combat des Chefs. Un moment complice entre deux passionnés, où l’on parle création, humour et potion magique.
Le film d'animation le plus rentable de tout les temps arrive le 23 avril en France au cinéma. S'inspirant du roman chinois Investiture des Dieux, Ne Zha 2 est la suite direct du premier film sortit il y a 6 ans.
Synospsis : Ne Zha, enfant-démon élevé par des humains, forme une alliance précaire avec le prince-dragon Ao Bing, au cours d’une bataille épique destinée à protéger leurs clans. A la suite de cette bataille, l’être d’Ao Bing s’intègre au corps de Nezha, qui s’embarque alors dans une quête dangereuse pour un elixir qui peut restituer la forme physique d’Ao Bing. Pendant ce voyage jalonné d’affrontements avec les démons, il découvre une conspiration qui va déclencher une guerre dévastatrice entre le ciel et la terre. Ne Zha doit déjouer ces forces traitresses pour protéger ce qui lui est cher.
Réalisé par Dan Trachtenberg, qui tient les rênes de la franchise Predator depuis Prey (2022), Killer of Killers est une anthologie qui suit trois guerriers : un Viking guidant son jeune fils dans une quête sanglante de vengeance, un ninja du Japon féodal qui se retourne contre son frère dans une bataille brutale pour la succession, et un pilote de la Seconde Guerre mondiale qui s'envole pour enquêter sur une menace d'un autre monde. Si tous ces guerriers sont des tueurs à part entière, ils ne sont que des proies pour leur nouvel adversaire - le tueur ultime des tueurs.
Josh Wassung, de la société d'animation The Third Floor, est coréalisateur du projet. Micho Robert Rutare a écrit le scénario à partir d'une histoire conçue avec Trachtenberg, basée sur des personnages créés par Jim Thomas & John Thomas. John Davis, Trachtenberg, Marc Toberoff et Ben Rosenblatt ont produit le film, tandis que Lawrence Gordon, James E. Thomas, John C. Thomas et Stefan Grube en ont été les producteurs exécutifs.
Le film d'animation sortira le 6 juin sur la plate-forme Hulu et Disney +
Le très attendu Beyond The Spider Verse, le dernier de la trilogie donne enfin de ces nouvelles avec des premières images et une date de sortie fixée au 4 juin 2027.
Réalisé par Bob Persichetti et Justin K. Thompson, cette conclusion est présenté comme un "finale massive de la trilogie destinée aux plus grands écrans"