Supervisée par Atsushi Okui du studio Ghibli, l'intemporel Princesse Mononoke revient le 27 août prochain au cinéma dans une version remasterisée 4K et projetée en IMAX, une restauration qui a été faite subtilement pour une expérience cinématographique unique.
Une merveilleuse annonce pour fêter dignement les 40 ans du studio.
Synopsis : Yaiba est un jeune samouraï d'une dizaine d'année, élevé dans la jungle par son père, Kenjûrô. Il montre déjà des dons pour cette technique de combat. Soudainement, son père et lui se retrouvent à Tokyo. À l'aéroport, Kenjûrô y rencontre une vieille connaissance, Raizô. Il décide alors de s'inviter chez lui. Commence alors pour Yaiba une vie citadine pleine de découvertes. Il suit la fille de Raizô, Sayaka, dans sa vie quotidienne et se fait rapidement remarquer par sa technique de combat. Le maître décide alors de le confronter au samuraî le plus expérimenté du dojo, Takeshi Onimaru. Yaiba trouve un adversaire à sa taille. Le petit samuraï, provoque sans cesse Onimaru et l'entraine dans des pièges puérils qui l'exaspèrent. Un puissant combat s'engage alors entre les deux samouraïs. Onimaru décide de se venger de ce combat qui ne les a toujours pas départagé. C'est alors qu'Onimaru découvre un sabre magique où l'esprit du dieu du vent y est enfermé.
Je ne connaissais pas le manga et WIT STUDIO délivre avec Yaiba une adaptation au petit oignon, c'est beau, c'est fluide, avec une gestion des couleurs aussi chatoyantes que joyeuse.
Le pitch de base reste certe très simple mais drôlement bien efficace, les personnages sont drôles, attachant et développées comme il faut, avec une ambiance rappelant un peu le début de Dragon Ball ou Dragon Quest.
Yaiba à ce côté old school très appréciable et les épisodes se suivent avec plaisir tellement l'animation et les musiques sont soignés.
En clair une très bonne surprise qui se démarque assez facilement des autres animés du moment.
Alain Chabat et Fabrice Joubert s’affrontent dans une battle de dessin à leur manière. Entre deux coups de crayon, ils reviennent sur les secrets de fabrication de la série ASTÉRIX & OBÉLIX : Le Combat des Chefs. Un moment complice entre deux passionnés, où l’on parle création, humour et potion magique.
"Ça doit pas t’empêcher de croire à tes rêves. Si tu fais une fixation sur le passé, tu sauras jamais ce que l’avenir te réserve. Remonte à la surface et regarde."
"A bien des égards la tache du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand chose, et pourtant nous jouissons d’une position de supériorité par rapport a ceux qui se soumettent avec leur travail à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative, plaisante à écrire et à lire."
Après l'énorme succès des Indestructibles, Brad Bird retourne à la réalisation avec Ratatouille en 2007. Initialement, c'était le scénariste Jan Pinkava qui était à l'origine des personnages et de l'histoire en dessinant des premières esquisses et dessins avant l'arrivée de Brad Bird sur le projet.
"Les gens veulent toujours savoir d'où viennent les idées. La vérité est qu'un jour, je me tenais dans la cuisine avec ma femme, et que tout-à-coup j'ai eu cette idée : et si un rat voulait devenir un chef de cuisine ? Lorsque vous vous mettez à raconter cela aux gens, tout le monde rit. C'est vraiment une idée complètement folle !"
Au cours de la préparation du film, l'équipe de Pixar a pris environ 4 500 photos de la ville de Paris afin de les utiliser comme référence. Ils se sont également aventurés dans les égouts, sur les rives du canal Saint-Martin, à proximité de la Samaritaine, et au sommet de la Tour Eiffel pour au mieux capturer son atmosphère.
La directrice de la photographie Sharon Calahan : "Quand nous sommes allés à Paris, il y avait du soleil, mais la lumière était argentée et diffuse, tout paraissait doux, chaleureux et accueillant. Je voulais retrouver cela dans notre film. Le film n'est pas éclairé avec une lumière fortement colorée et des ombres franches comme c'est le cas d'ordinaire, parce que je voulais vraiment célébrer cette couleur particulière que l'on ne trouve qu'à Paris."
Le pelage d'un rat est composé de 500 000 poils et malgré la puissance des technologies de l'époque, il était impossible de les animer individuellement, ainsi, les équipes de Pixar ont opté pour l'animation de seulement 30 000 poils clé, sur lesquels repose l'ensemble du pelage. Par ailleurs, 160 contrôles d'animation différents ont été créés spécialement pour Remy.
"Cela ouvrait des possibilités formidables, explique Brad Bird mais l'une des principales difficultés restait que le visage d'un rat ne se filme pas forcément bien sous tous les angles. Leur long museau peut cacher la bouche s'ils baissent la tête, par exemple. Nous avons beaucoup travaillé cela, nous avons fait quantité d'essais afin d'être sûrs que le public allait connaître de mieux en mieux Rémy à travers ses attitudes et ses expressions."
Pour des recherches encore plus poussées, Brad Bird et son équipe se sont rendu dans des grands restaurants parisiens comme au Procope, à la Tour d'Argent, chez Hélène Darroze, à Taillevent et chez Michel. La conception de la cuisine du restaurant Gusteau, un lieu clé du film à évoluer au fur et à mesure pendant deux ans.
"Nous craignions un peu d'y laisser la santé : tant de délices en si peu de temps... Mais nous avons beaucoup appris, et cela a enrichi le film"
"La conception visuelle de la cuisine a évolué sur environ deux ans, explique-t-elle. Nous avons visité un grand nombre de cuisines en France et en avons retiré des éléments très précis. Notre cuisine est un peu plus ouverte - la plupart des vraies cuisines sont une série de petites pièces reliées entre elles, et cela n'aurait pas fonctionné au plan cinématographique. Mais nous avons conservé la séparation des zones : boulangerie, préparation des poissons, des viandes, préparations froides..."
Ingrédients pour un chef d'œuvre chez Pixar :
- Une animation impressionnante qui ne vieillit pas.
- Une cuillère à soupe d'humour qui fait toujours sourire.
- Du personnage cohérent et utile à l'histoire.
- D'une musique qui colle parfaitement à l'ambiance.
- Sans oublier, le rajout d'une fin inoubliable.
Le film d'animation le plus rentable de tout les temps arrive le 23 avril en France au cinéma. S'inspirant du roman chinois Investiture des Dieux, Ne Zha 2 est la suite direct du premier film sortit il y a 6 ans.
Synospsis : Ne Zha, enfant-démon élevé par des humains, forme une alliance précaire avec le prince-dragon Ao Bing, au cours d’une bataille épique destinée à protéger leurs clans. A la suite de cette bataille, l’être d’Ao Bing s’intègre au corps de Nezha, qui s’embarque alors dans une quête dangereuse pour un elixir qui peut restituer la forme physique d’Ao Bing. Pendant ce voyage jalonné d’affrontements avec les démons, il découvre une conspiration qui va déclencher une guerre dévastatrice entre le ciel et la terre. Ne Zha doit déjouer ces forces traitresses pour protéger ce qui lui est cher.
Réalisé par Dan Trachtenberg, qui tient les rênes de la franchise Predator depuis Prey (2022), Killer of Killers est une anthologie qui suit trois guerriers : un Viking guidant son jeune fils dans une quête sanglante de vengeance, un ninja du Japon féodal qui se retourne contre son frère dans une bataille brutale pour la succession, et un pilote de la Seconde Guerre mondiale qui s'envole pour enquêter sur une menace d'un autre monde. Si tous ces guerriers sont des tueurs à part entière, ils ne sont que des proies pour leur nouvel adversaire - le tueur ultime des tueurs.
Josh Wassung, de la société d'animation The Third Floor, est coréalisateur du projet. Micho Robert Rutare a écrit le scénario à partir d'une histoire conçue avec Trachtenberg, basée sur des personnages créés par Jim Thomas & John Thomas. John Davis, Trachtenberg, Marc Toberoff et Ben Rosenblatt ont produit le film, tandis que Lawrence Gordon, James E. Thomas, John C. Thomas et Stefan Grube en ont été les producteurs exécutifs.
Le film d'animation sortira le 6 juin sur la plate-forme Hulu et Disney +
Le très attendu Beyond The Spider Verse, le dernier de la trilogie donne enfin de ces nouvelles avec des premières images et une date de sortie fixée au 4 juin 2027.
Réalisé par Bob Persichetti et Justin K. Thompson, cette conclusion est présenté comme un "finale massive de la trilogie destinée aux plus grands écrans"