« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Libération 5/5
Aussi réussi qu’inattendu, le slasher seventies de Ti West envoie au massacre l’équipe d’un film pornographique, avec la géniale Mia Goth dans le rôle de la tueuse et celui de sa proie.
Mad Movies 5/5
Ti West transcende vraiment ses habiles références pour nous plonger dans des zones diablement troubles dont il a le secret...
20 Minutes 4/5
Loin de donner des leçons de morale, Ty West prend un malin plaisir à mêler sexe et sang à une bonne dose d’humour très noir. C’est ce qui fait le charme de ce film très corsé à réserver à un public averti.
CinemaTeaser 4/5
Aussi gore et grindhouse que malin.
Ecran Large 4/5
Ti West réussit brillamment là où nombre de ses collègues échouent depuis des années (...).
L'Humanité 4/5
Biberonné aux classiques de l’horreur, Massacre à la tronçonneuse en tête, Ti West emballe un morceau de trouille gore et moite et explore la frontière entre violence et sexualité.
L'Obs 4/5
Cerise sur le coulis d’hémoglobine : le filmage est d’une tenue rare (et rattrape l’aspect démonstratif de certains dialogues). Vivement les deux autres volets de la trilogie, dont le deuxième, le préquel « Pearl », a reçu les louanges de Martin Scorsese.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Le gore sous X de X est plus jouissif que flippant, moins provocateur que coupablement délicieux : le plaisir prend le pas sur la peur et la douleur.
Le Journal du Dimanche 4/5
Ti West, la nouvelle sensation du cinéma d’horreur, revisite avec générosité et jubilation Massacre à la tronçonneuse (1974), de Tobe Hooper, dans ce slasher complètement détraqué, qui équilibre dérision et gore, mais surtout qui fourmille d’idées de mise en scène. Revigorant.
Le Monde 4/5
C’est sur cette dialectique que X s’impose comme une relecture réjouissante, comme l’exaltation d’un hédonisme souverain quoique menacé, hypothèse presque incongrue au milieu du puritanisme d’un certain cinéma américain contemporain.
Le Parisien 4/5
Les acteurs, dont la très déjantée Mia Goth, déjà appréciée dans le remake de « Suspiria », en 2018, se montrent à la hauteur, et Jenna Ortega, vedette de plusieurs productions Disney, n’hésite pas ici à sérieusement bousculer son image.
Le Point 4/5
Idéal pour Halloween, « X » est le film d’horreur le plus transgressif de l’année. Celui qui bouscule les codes et s’affranchit des règles.
Les Echos 4/5
Petit film d'horreur vintage et malin, « X » bénéficie d'un scénario habile et d'une composition virtuose de l'actrice britannique Mia Goth. De quoi prolonger Halloween au cinéma.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Hommage appuyé à Tobe Hooper, le nouveau film d'horreur de Ti West, dans lequel la frustration sexuelle devient le moteur d'une vengeance démesurée, comporte quelques séquences franchement flippantes mais s'amuse aussi d'une réflexion sur le cinéma. Malin et fun.
Télé 2 semaines 4/5
Le film, bien interprété, joue habilement avec les clichés et se révèle pleine de surprises.
Télérama 4/5
En dilatant le temps et en repoussant le (joyeux) massacre à la dernière demi-heure, le résultat déjoue tous les pronostics et prend de l’épaisseur.
La Voix du Nord 3/5
Halloween est passé, mais le cinéma nous offre une séance de rattrapage. C’est gore et poisseux comme il faut.
Ouest France 3/5
Le scénario, quelque peu attendu, est heureusement pour lui transcendé par la présence et la prestation de Mia Goth.
Rolling Stone 3/5
La trame de base n’est pas ce qui permettra à X de clamer l’originalité. En revanche, accumuler les clins d’œil – crevé ou pas – au vintage 70’s des Tobe Hooper (Massacre à la tronçonneuse, Le Crocodile de la mort) ou Wes Craven (La Colline a des yeux) jouera davantage en sa faveur.
Première 2/5
Pulsions de vie et pulsions de mort animent X, qui malgré tous ses défauts parvient à imprimer quelques visions troublantes autour du tabou de la sexualité du quatrième âge, et dans sa façon de frictionner le porno et l’horreur.
C’est une bouleception