L'histoire vrai de Percival Harrison Fawcett, un officier militaire britannique a qui la Société géographique royal d’Angleterre va demander de cartographier en Amazonie les frontières entre la Bolivie et le Brésil au début du XXème siècle.
Le film aborde des thèmes comme la colonisation (avec cette notion de peuple dit "civilisé" et les autres...soit disant), la paternité (ce père de famille, qui décide de partir à l'aventure, mais qui oublis parfois que ça famille ne le vois pas souvent), la notion de persévérance quand nous sommes "habité" par une envie de découverte (cette fameuse cité "z" qui cacherait des "barbares" bien plus civilisé que l'on pensait à l'époque), du rapport de "classe" (avec les "médailles" qui feraient "la différence) et aussi de la condition de la femme (une femme qui laisserais les enfants pour aussi explorer le monde, serait-elle une mauvaise mère pour autant...) en filigrane.
C'est un film d'aventure, mais pas un film d'action/aventure, mais plus de ressentie/aventure.
Chaque nouveau voyage, comme pour Percival devient une vrai obsession avec toujours cette envie d'aller plus loin et donc aussi découvrir notre limite à l'ouverture d'esprit. L'image est travaillé et les comédiens sont juste. Il faut un peu de temps pour le film prenne toute sa dimension et les voyages de retour sont parfois "expéditif".
Film a voir au cinéma pour vraiment être plongé dans ce voyage et se laisser porter...
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Quand j'ai vu l'affiche la première fois, je comprenais pas son sens, mais en fait elle résume bien l'idée de film, 3 période d'un même personnage (enfant, adolescent, adulte) et les nuances de couleur, du au fait que le personnage à comme surnom "Black" (et le bleu vient du fait que le "mentor" dit à un moment "A la lumière de la lune, les garçons noirs ont l’air bleu") et montre donc les nuances du aux circonstance de la vie, tout est pas noir ou blanc...
Le film prend son temps (c'est l'antithèse de l'émission "enquête exclusive"...), il aborde les sujets comme la drogue, la misère, l'homosexualité (et donc les agressions homophobe), mais avec une certaine "douceur", alors qu'il montre une réelle détresse social.
Il y a trois partie dans le film qui corresponde à différent age de Chiron (le personnage principal) et de son entourage Kevin son meilleur amie (tout aussi lâche qu'amoureux), sa mère (qui se drogue et qui n'arrive pas à s'occuper de son fils) et encore d'autre rencontre dont un mentor/dealer (un des meilleurs personnages de film) qui va changer sa vision de la vie avec sa compagne Thérésa. La dernière partie (l'age adulte) j'ai eu plus de mal à trouver crédible, mais c'est du au fait, que ça remet en cause tellement de cliché. Derrière des gros bras "rebelle" peut se cacher, une personne très sensible, qui à comme "armure" son corps très musclé et une virilité "caricatural" pour se défendre de "l'extérieur". La force du film ne jamais tomber dans un pathos exacerbé...
Vu aussi enfin logan. Un des meilleurs films de super hero. Et juste un putain de bon film
Sinon personne n'a vu Brimstone? Il m'intrigue aussi ce "western".