Après le "good night" de 2h du mat, j'ai dit "bande de salopes" après les dirigeants de SONY !!
Même si quelques jeux donné envie c'était trop vide à mon gout!!
M$ a du bien se marrer et peuvent balancer la purée avec la XBOX 720 !! (ou pas )
Vos mieux attendre E3 je pense
Après nous avoir sortie une web-série de très bonne facture avec sa 1er saison, il nous revient avec la saison 2 de Moratl Kombat avec comme nouveaux personnages Liu Kang, Kung Lao, Kenshi et Ermac !!
Plus qu'à attendre le 1er épisode !!
...Merdique à souhait aux vu des premières critiques américaine !!
"Yippee ki yay !!!!" non ferme la c'est fini mon gars ta merdé ta merdé allez va au lit !!
CinemaBlend : "Robo-McClane est tellement peu motivé à l'idée d'arrêter les méchants que le regarder se débarasser de plusieurs vagues de cibles inoffensives est tout le contraire du fun. Qu'est-il arrivé à cet anti-héros qui semblait surpris de sa propre capacité à sortir du pétrain ?"
Collider : "Aussi mauvais qu'il était, Die Hard 4 respectait le personnage de John McClane et tentait de faire de son mieux. Ici, le scénariste Skip Woods et le réalisateur John Moore n'en ont rien à faire. Tout le film semble paresseux, à un point que ça en devient presque insultant pour la franchise."
Hollywood Reporter : "98 minutes, c'est le plus court des Die Hard - les autres duraient plus de deux heures. Pourtant, on aurait pas souhaité qu'il dure une seconde de plus."
Joblo : "J'avais détesté Die Hard 4 et je voulais vraiment aimer Die Hard 5. Hélas, le film se plante à tellement de niveaux qu'il se place directement comme le plus mauvais de la série. Il est peut être temps de laisser cette franchise en paix."
DenofGeek : "Même si on s'enlève de la tête que c'est un Die Hard, le problème du film est qu'il n'est rien d'autre qu'un mauvais film d'action, qui ne pisse pas loin. C'est le Quantum of Solace de la saga ... et encore, Quantum est bien plus réussi !"
ScreenCrush : "J'aime toujours Bruce Willis. J'aime toujours Die Hard. Mais j'avoue que ni l'un ni l'autre ne se montrent sous leur meilleur jour ici. Allez, qui John McClane va sauver dans le prochain film ? Moi je parie sur son chien !"
The Guardian : ""Je suis en vacances" dit Bruce Willis en arrivant à l'aéroport de Moscou. (...) Le film aussi est en vacances. (...) Je ne suis pas sûr qu'il sait où il va. Et je pense qu'il n'en a rien à faire."
CommonSense : "Il est quasiment certain que ce film va marquer la mort de la saga Die Hard."
SFGate : "Quatre bons films à la suite, ce n'est jamais arrivé à Hollywood dans l'histoire des franchises. Pas même dans James Bond. Mais la série prend fin avec Good Day to Die Hard, qui échoue partout où il aurait dû assurer. L'histoire est faible, sans tension, sans émotion ni intérêt. Sa séquence d'action d'ouverture est ce qu'il se fait de pire en ce moment, avec des coupes trop rapides et une caméra qui tremble tout le temps."
Washington Post : "Die Hard 5 mérite à peine sa place sur l'échelle de Richter du cinéma d'action. Ca fait bang, ça fait boom, et c'est tout."
HuffingtonPost : "C'est une parodie c'est ça ? C'est la seule explication possible à ce ridicule et rébarbatif cinquième épisde de la saga, qui porte bien son nom : Belle journée pour mourir."
Total Film : ""C'était excitant !" dit Bruce Willis à son fils après être tombé du vingtième étage d'un immeuble. "On le refait ?" Honnêtement, Bruce, je crois qu'il vaudrait mieux s'arrêter là."
The Wrap : "Soit vous soignez le scénario et la mise en scène, soit vous laissez la franchise Die Hard mourir en paix, avant que le nom de McClane ne soit trop souillé."
NY Daily News : "A aucun moment dans ce Die Hard 5 on retrouve le personnage de McClane qu'on aime. Le chambreur à l'esprit vif a laissé sa place à un bouffon qui kiffe les flingues. Willis semble s'ennuyer, son charisme en mode pilotage automatique n'est là que pour prendre un gros chèque."
IGN UK : "Même si McClane ne semble pas proche de prendre sa retraite, la saga, dans sa formule actuelle, semble épuisée. La fin est plus proche que jamais pour cette franchise."
Oui parce que depuis quelques semaines c'est tout beau c'est tout jolie la Next Gen arrive, Sony nous arrive le 20 avec "un Truc" mais quoi ?! ça c'est la surprise !! (j'aimerais comme tout le monde une PS4 mais restons calme au cas ou ...)
Mais on oublie la quantité de jeux console qui ont était annulé ou reporter sans date, pour les prochaines consoles surement pour certains... si ils passent sur le coté sans faire de bruit
Highlander
Hei$t
Afterfall : Insanity
Coded Arms Assault
This Is Vegas
Killing Day
Age of Conan : Hyborian Adventures
Frame City Killer
Gun Loco
Pirates des Caraïbes : L'Armée des Damnés
Jeux reporté sans date:
The Last Guardian
Agent
Final Fantasy versus 13
Metro : Last Light
Brothers in Arms Furious 4
Alors oui je sais pour certains on a eu de la chance de jamais les voir dans nos consoles mais pour d'autres c'est hallucinant de voir des jeux être annulé alors qu'ils sont vraiment bien avancé !!
Mais bon espérons voir moins de jeux annulé sur la prochaine Gen pour ne pas perdre de petite perle ou du temps aussi
Oui parce que les vidéos pourries c'est la vie !! Depuis 1 semaine (je crois) une vidéo WTF est arrivé et à pondu ses frères et soeurs en nombre !!! just see
Bonsoir à tous et toute !!
Je m'en vais vous conter mon avis sur ce Yakuza 3 qui après avoir testé la démo du 5, ma donné envie de commencé cette série que je connaissais que de loin et à tort!!
J'ai donc pris le 3, (car pas envie de me remettre sur la PS2 pour les 2 premiers épisodes) qui est le 1er épisode à être sortie sur PS3 en Europe en 2010!! (Kenzan étant resté au pays )
Autant après avoir joué à la démo du 5 j'étais vraiment ravi autant je me suis dis que ce 3ème épisodes allez être surement beaucoup moins bon et je l'ai pris en étant sur mes gardes !!
Mais en fait quelle tuerie ce jeux, j'ai tout kiffé de A à Z, l'ambiance, les personnages, les cinématiques, les phases de combats et autres mini jeux !!!
Même les graphismes qui sont en dessous de celui du 5 (vu qu'ils ont changé de moteur graph depuis) je les ai trouvés plutôt bon même s'il y a des défauts c'est une évidence !! (murs invisible, aliasing, textures fade etc..)
Alors déjà le jeux et en VOST anglais, j'avais un peu peur vu que mon niveau est plutôt moite moite mais j'ai réussi à comprendre toute l'histoire et autres subtilités mais par moment j'étais à l'ouest complet en loupant des phrases surtout lors des cinématiques ou les sous titre défilés assez vite par moments !! XD
Nous avons deux quartiers en guise de surface de jeux l'un étant pas très grand Okinawa et l'autre beaucoup plus grand et vaste à Tokyo.
L'histoire est vraiment bien mise en valeur et les personnages sont tous excellent gros big up pour Kanda et Majima !!
Les cinématiques sont abusé et réaliste à souhait !!
La VO qui même si je comprend rien au Japonnais est juste génial et parfaite !!
J'ai fini l'histoire en +/-20h et je suis à 12% de finir le jeux entièrement !!
Je me demande encore comment un jeux de cette trempe arrive à être presque exclusif au Japon tellement on manque de jeux de cette qualité en occident et ça fait du bien de changé de style un peu avec toute ces super productions Occidental !!
Mais par contre Tokyo Jungle lui est traduit dans notre langue, c'est à ce tapé le cul par terre !! enfin bon!
Vous l'avez compris ce jeux de lors que l'on arrive à se débrouillé en anglais devient une petite perle made in Japan !!
Je vais attendre un peu avant de me faire le 4 qui au vu des avis que j'ai pu voir et 200% meilleur que celui ci alors je vous dit pas comment je suis pressé de l'avoir et donc une évidence pour moi maintenant !! et attendre la sortie du 5 en VOST anglais en septembre prochain je crois !!
Si vous ne l'avez pas encore fait, je vous le conseil vraiment autant que toutes les autres exclu de la PS3 !! Passé à coté de cette série est un crime
Oui oui autant je kiff ce pays autant y a des gros con la bas (comme partout) et c'est le ministre de la finance qui se lâche et se fait plaisir !!
«Que Dieu vous préserve de continuer à vivre, alors que vous voulez mourir.» Le ministre japonais des Finances, Taro Aso, a pour le moins une position radicale pour freiner les dépenses. «Je ne pourrais pas me réveiller le matin en sachant que c'est l'Etat qui paie tout ça pour moi.»
Agé de 72 ans, Taro Aso, qui occupe également le poste de vice-premier ministre, n'aurait pas non plus hésité à demander à ses proches de l'euthanasier le moment venu. Et d'ajouter à l'égard de l'entourage des personnes âgées malades: «La problématique des dépenses faramineuses en gériatrie ne sera résolue que si vous les incitez à se dépêcher de mourir».
Le ministre des Finances a depuis lors dû présenter ses excuses pour ses propos déplacés. Connu pour ses excès langagiers, Taro Aso a notamment occupé le poste de Premier ministre entre 2008 et 2009
Mais pour nous dire quoi ?! Rien de plus que le prochain film de Quentin Tarantino est juste l'un (si ce n'est le) des meilleurs film du messieurs, juste ça !! Vivement.
Cinevibe : "A l’instar de Kill Bill et contrairement à Inglorious Basterds, Django Unchained s’amuse avec le cinéma et non pas avec l’Histoire. QT a revu ses ambitions à la baisse mais nullement sa passion qui atteint là un autre stade, comme s’il assumait pleinement son statut de faiseur de séries B à l’univers éminemment personnel. Autant d’arguments qui font de Django Unchained un grand Tarantino tour à tour bavard, violent, drôle mais surtout très généreux ! On croyait avoir perdu le cinéaste dans les limbes d’un cinéma bavard et au trop autocentré, on le retrouve ici plus en forme que jamais, prêt à en découdre avec les détracteurs de tous bord. Quentin Unchained !"
Clap mag : "Deux heures quarante-cinq qui dégainent à toute allure - et même dans les temps morts, le ping-pong des dialogues et de regards soutiennent le rythme. Presque un sans faute pour Django Unchained. La magie du cinéma moderne, qui ne cache plus ses artifices, est bel et bien là, honorant l'un des sentiments les plus purs : l'amour absolu. Grandiose."
Unification : "Le réalisateur se fait indéniablement plaisir et la bonne nouvelle c’est qu’il nous entraîne à sa suite avec brio. Tarantino explique s’être décidé à se lancer dans ce western au Japon lors de la promotion d’Inglourious Basterds. Le goût prononcé des nippons pour le western spaghetti a déclenché chez notre furieux cinéaste un appétit décuplé pour le genre. Il s’est livré à une véritable orgie de DVDs avant de se lancer dans l’écriture de son projet."
Avoir à lire : "Ce mélange des genres a la hargne d’un cinéma musclé propre à Sam Peckinpah, à qui l’on pense également beaucoup dans les détonations constantes d’armes à feu. Cet ensemble peut paraître, dans les lignes, grotesque, voire malsain, pour un grand public peu préparé à pareilles audaces. Pourtant, Tarantino, cinéphage habile, qui a tout vu, et dont les idées ne portent jamais à confusion, a le génie de transformer toutes ces immondices en des moments de cinéma exquis."
Le Parisien : "Un western-hommage, à ceux de Sergio Leone notamment, dans lequel on retrouve les fondamentaux de Tarantino, comme la violence traitée avec son lyrisme stylisé. Mais surtout, pour la première fois de sa carrière, Tarantino signe un grand film politique pour dénoncer ce que fut l’esclavage."
Cinema Teaser : "Un buddy movie ultra-agressif, parfois dérangeant, où le sang se répand sans réserve pour dépeindre une époque que l’Amérique traînera toujours comme un boulet."
Ouest France : "Spectacle, humour, violence (interdit aux moins de 12 ans) dans un regard critique sur le passé des USA. Du grand Tarantino."
Paris Match : "Rendant un hommage très appuyé sur la gâchette au western spaghetti et à Sergio Leone, Tarantino y ajoute son propre chili cinématographique. Dégainant sa caméra, Quentin fait mouche à chaque scène. Son scénario est si bien ficelé que l’histoire tient en selle même quand elle tourne au rodéo. "
Ecran Large : "Sans jamais tomber dans le caricature du genre, Quentin Tarantino, comme les frères Coen avant lui, ravit par son amour du western. Plus assagi (parce que trop respecteux ?), le cinéaste fait preuve d'une certaine retenue dans la conduite de son récit (la structure est étonnamment classique) mais se réserve des bulles hilarantes (la réunion du jamais nommé Ku Klux Klan)."
Nouvel Obs : "Un Django « unchained », donc. « Dé-chaîné », « libéré ». A l’image d’un Tarantino bien plus à son aise et furibard que dans l’inégal « Inglourious Basterds », qui forme avec ce film une manière de diptyque (peut-être une future trilogie ?) sur les pages sombres de l’Histoire revisitées selon ses fantasmes de cinéphage fou."
Télérama : "Dans ce western spaghetti new-look, le kitsch parodique auquel on pouvait s'attendre passe après un réquisitoire à la gravité jamais feinte contre l'esclavage. Il y a une part profondément tragique dans le personnage de Django, sobrement campé par Jamie Foxx. Et puis, parce que l'appétit de Tarantino est insatiable, il y a finalement un Django superhéros, presque une sorte de Zorro fait pour le fun d'une grande fusillade. C'est aussi ça, le triomphe de l'homme libéré de ses chaînes, dans ce film fleuve où le cinéma se déchaîne."
Les Inrocks : "Comme avec Inglourious Basterds, Tarantino parvient à faire cohabiter tragédie historique et comédie. La méthode reste la même : le personnage principal porte en lui la part sérieuse du film, Django étant aussi habité de douleur et de colère que l’était Shosanna/Mélanie Laurent. La comédie est répartie sur les autres personnages, Waltz reprenant son grand numéro de phraséologue dialecticien à l’élocution irrésistible, mais en étant ce coup-ci du côté du bien."
Déjà 2 prix !!!
Premiere : "Sans aller jusqu’à parler de western eastwoodien, Django Unchained, par sa violence graphique et son super-héroïsme ambigu, s’inscrit, lui aussi, dans une logique de démystification de l’histoire américaine en mettant parallèlement en place les éléments de sa propre légende."
TF1 News : "Les 2h44 de Django Unchained passent comme une lettre à la poste sans que l'on ait le temps de reprendre sa respiration ou même de regarder sa montre. Les détracteurs de Tarantino risquent de lui reprocher l'ambition démesurée de sa fresque, le trop-plein de références pop pour masquer l'absence de discours, les autocitations, l'autosatisfaction ou encore l'autocritique. [...] Pour autant, le résultat se révèle assez démentiel, prodigieux dans ses alchimies de sorcier (mélanger le décalé et l'effroi, traduire l'horreur par l'humour, célébrer l'amour par la mort)."
La Croix : "Ceux qui connaissent l’univers des films de Quentin Tarantino ne seront guère surpris d’apprendre que l’atmosphère de Django Unchained, où l’humour et le décalage se nourrissent de la perversion et de l’outrance, ne destine pas ce nouveau long métrage à tous les publics."
Pti plus à l'américaine !!:
Juste avec ce trailer j'ai envie de revoir le 1er TAXI en HD !e voir en 1080p