« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
20 Minutes 4/5
Cette nouvelle production Pixar est aussi drôle que tendre.
La Voix du Nord 4/5
Voilà la grande qualité d’Élémentaire : une comédie romantique en bonne et due forme, visible dès 6 ans, mais qui parle de déterminisme, de tolérance, de différences culturelles et du besoin de les dépasser. L’amour est une réaction chimique. Élémentaire en est la parfaite illustration.
Le Figaro 4/5
Voilà un très bon Pixar, divertissant et profond.
Le Parisien 4/5
Mais c’est surtout par son graphisme qu’il sidère : le studio innove encore avec un procédé révolutionnaire qui fait s’animer des personnages de façon constante : bluffant, et tellement beau !
Les Echos 4/5
Un conte familial flamboyant sur fond d'humanisme et de déracinement.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Sans être un grand Pixar, Élémentaire, visuellement bluffant, distille sa petite magie et réussit à émouvoir avec une très belle histoire d’amour. Il manque toutefois un peu de l’audace à laquelle les studios d’Emeryville nous avaient habitués.
Paris Match 4/5
Le nouveau dessin animé des studios Pixar est dans la lignée de « Vice-versa », rencontre entre le feu et l’eau sur fond d’acceptation de la différence. Moins échevelé, plus tendre et toujours aussi novateur visuellement.
L'Obs 3/5
Il y a quinze ans, avec une idée comme celle d’« Elementaire », Pixar épatait tout le monde. Aujourd’hui, il impressionne les plus jeunes et les coachs en développement personnel.
La Croix 3/5
Si sympathique soit-il, Élémentaire n’est toutefois pas le feu d’artifice d’idées originales et de trouvailles visuelles auquel nous a habitués Pixar. Et son esthétique disgracieuse aux tonalités fluorescentes ne l’aide assurément pas !
Le Dauphiné Libéré 3/5
Ce que l’on retient le plus de ce long-métrage, ce sont ses effets visuels. Les artistes ont réussi à créer un univers cinétique où chaque élément trouve sa place et fait partie intégrante du décor.
Le Journal du Dimanche 3/5
Le récit minimaliste s’adresse à un public plus jeune et ne possède pas la puissance émotionnelle des précédents films d’animation de Pixar. Mais on est emporté par son romantisme, son imaginaire foisonnant et son graphisme singulier.
Le Monde 3/5
Les voilà jetés dans la grande ville, où, en dépit d’un univers visuel toujours créatif, ils rejoueront les grandes lignes d’une plate « rom com ».
Les Inrockuptibles 3/5
Le sortilège Pixar n’a pas disparu : il s’est réduit à l’état d’étincelle indicible. On sait, devant Élémentaire, qu’on est devant un Pixar, par l’empathie particulière que le film soulève en nous, par sa désobéissance aux formats de son temps, sa foi inébranlable en ses ressources figuratives, son absence d’ironie.
Première 3/5
Alors, oui, il y a des flottements. Certes, la rom com n’atteint pas toujours le rythme et la pureté des classiques dont ils s’inspirent (Indiscrétions de Cukor ou le New-York Miami de Capra). Mais pendant quelques instants, quelques scènes, on se dit que Pixar est revenu à son grand niveau. Et ça n’a pas de prix.
Télérama 3/5
Sans atteindre les sommets de “Vice-versa”, la production Pixar de saison est convaincante, avec une histoire sur l’immigration, le racisme et les joies du melting-pot à l’américaine.
Cahiers du Cinéma 2/5
Si le comique de la situation est le plus souvent exploité astucieusement [...], le film souffre d’un déséquilibre qui met à mal la générosité de ses intentions : l’impensable union de l’eau et du feu tient davantage à l’incompatibilité des deux éléments qu’à la réprobation sociétale.
Cahiers du Cinéma 5/5
Asteroid City est certainement l’un des films les plus émouvants de son auteur. Et c’est encore au principe de verticalité qui le gouverne qu’il doit ce sentiment diffus d’accablement qui semble étreindre tous ses personnages [...] Toujours mutique et contenue, cette émotion sourde se déploie dans un mouvement du haut vers le bas dont le film fait son axe unique.
20 Minutes 4/5
Explosions nucléaires, théâtre délirant, idylles naissantes et secrets d’État sont au menu d’une œuvre douce-amère sur laquelle le cinéaste a apposé sa patte inimitable.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
L'Obs 4/5
Allergiques à son style poupées russes, proche du cinéma d’animation, passez votre chemin. Les autres, ne ratez pas cette fantaisie triste, « pastellisée » : vous ne trouverez plus beau fantasme de confinement que les scènes de pudique séduction entre Steenbeck et sa voisine, star de ciné (Scarlett Johansson, divine).
Le Dauphiné Libéré 4/5
Avec Asteroid City, Wes Anderson signe une fantaisie vintage colorée sur la mort, l’amour, l’art, la science, le cosmos, dans un film gigogne où une émission de télévision ouvre sur une pièce de théâtre qui ouvre sur un film. Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Le Figaro 4/5
Avec une pléiade de stars, Wes Anderson réinvente un désert pour livrer une fantaisie rétro-futuriste. Un film similaire à ses précédents, mais en mieux.
Le Monde 4/5
Porté par un casting faramineux comprenant notamment Jason Schwartzman, Scarlett Johansson et Tom Hanks, le long-métrage de Wes Anderson, burlesque et rêveur, évoque le monde du théâtre, la question de l’acteur et de l’incarnation.
Le Parisien 4/5
Et puis il y a ces répliques très drôles, lancées par un ahurissant défilé de comédiens, si nombreux qu’on ne peut pas tous les citer : Tom Hanks, Adrien Brody, Margot Robbie, Jeffrey Wright, Bryan Cranston, Matt Dillon…
Le Point 4/5
Les idées fusent, les cocasseries aussi, et Anderson fait, encore une fois, des étincelles.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Wes Anderson en grande forme, très mélancolique, livre une réflexion puissante sur le pouvoir de l’artificialité et du jeu.
Télérama 4/5
POUR : Il y a toujours chez lui, derrière les afféteries et le mutisme, un projet tendre et moral : présumant que nous sommes tous déjà abîmés par les jours et les amours empêchées, et qu’après une parenthèse aux allures de petit théâtre nous disparaîtrons dans l’horizon, Wes Anderson nous encourage à faire société, avec, comme seul bagage, le sourire léger de l’alien coincé au creux des lèvres.
La Croix 3/5
Dans son dernier film, Asteroid City, présenté mercredi 24 mai en compétition officielle au Festival de Cannes, Wes Anderson emboîte ses histoires comme des poupées gigognes pour mieux brouiller la frontière entre réel et fiction et redire la nécessité de rêver sa vie afin d’en sublimer les drames.
La Voix du Nord 3/5
Tout a du sens, même si rien n’est supérieurement prégnant, c’est le hic. Et comme d’habitude chez Anderson, le casting est démentiel, avec des stars cantonnées au rang de figurants. Étonnant Anderson.
Le Journal du Dimanche 3/5
C’est un nouvel ovni cinématographique que concocte le réalisateur américain avec les mésaventures fantasques de personnages lunaires dans un univers (un peu trop) décalé.
Les Echos 3/5
Un film raffiné et amusant qui ne surprend ni ne déçoit.
Les Inrockuptibles 3/5
Par-delà la malice mi-mélancolique, mi-cruelle propre au cinéaste américain, s’installe, dans cette douloureuse interrogation, l’une des clés de voûte qui structurent et surplombent les personnages andersoniens : faire l’expérience d’un état d’abandon et tenter d’y survivre.
Paris Match 3/5
Chronique post-Covid ou pamphlet politique ou sociétal, difficile de voir où Wes Anderson veut en venir. Ou serait-ce alors un film sur l’incompréhension mutuelle ?
Ouest France 2/5
Une beauté un peu vaine.
Sud Ouest 2/5
Dans ce monde si magistralement agencé, l’émotion perce difficilement, comme si une forme de timidité retenait cet immense styliste d’aller au bout de sa mélancolie.
Télérama 2/5
CONTRE : Dans cette précieuse brocante (si peu) humaine, Wes Anderson a l’ambition de brasser de grandes questions métaphysiques — le deuil, la mort, l’infini… Pour finir par tout figer sous le glacis d’un perfectionnisme esthétique qui n’existe que pour se servir lui-même.
Marianne 1/5
Avec « Asteroid City », Wes Anderson, tel un marionnettiste auto-satisfait, manipule des personnages d’une vacuité abyssale et déploie une intrigue si dépourvue d’enjeux qu’un ennui profond nous engourdit après dix minutes de spectacle.
Première 1/5
Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route.
J'irai sûrement voir Asteroid City, mais je trouve que Wes Anderson à du mal à se renouveler depuis, sauf dans l'île aux chiens que j'ai trouvé fantastique.
élémentaire le film bide méchamment apparemment, et c'est bien dommage du coup ça avait l air être un grand Pixar comme a la grande époque , a la fois imaginatif et emprunt de messages et de bons sentiments ,
https://www.premiere.fr/Cinema/Le-Voyage-d-Arlo-premier-flop-de-Pixar