Il y a trois ans sortait Downwell, un petit rogue-like particulièrement addictif, poussant Nintendo à recruter son unique créateur Ojiro Fumoto qui a depuis eu le temps de travailler sur... on ne sait quoi, et ça n'a plus d'importance de toute façon.
Car seulement un an après son recrutement, l'homme annonce déjà avoir fait ses valises pour redevenir indépendant, estimant que son expérience aux cotés de Big N fut « incroyable » mais souhaite au final continuer à travailler sur ce dont il a envie, donc probablement sans pression au-dessus de lui.
Fumoto déclare d'ailleurs qu'il lancera dans son coin son nouveau projet dans le courant de l'année, tandis que Devolver se chargera de proposer ce même Downwell sur Switch dès le 31 janvier.
On ne sait pas pourquoi il fut embauché , pour un jeu, sa vision du développement chez les indes, gestion du temps en équipe restreinte etc.
Les sociétés embauchent pas forcément rôle pour rôle mais aussi pour l'expérience que la personne peut apporter.
Il a peut être chapeauté un jeu pas annoncé mais qui n'a plus besoin de lui. Et après ils avaient le choix de rester ou de reprendre sa liberté. Sakurai et suda 51 sont un peu comme ça.
Et puis prenez l'exemple Satoru Iwata, rien ne reste fixé chez Nintendo et encore moins au poste défini.
A la base, c'était déjà une erreur de l'embauché après avoir brillé sur un seul titre.
Après, il semble être une tête brulée (un peu comme Kamiya!), c'est le genre à être talentueux quand il est seul, et pas épaulé par quelqu'un de carré comme Nintendo.
Reste plus qu'à espérer que ce divorce ne porte préjudice à personne... et que "moppin" continue à créer des jeux amusants.
C'est forcement une autre ambiance il est passé du bas de la pyramide à tout en haut, évidemment qu'il a du apprendre plein de choses passionnantes mais en contrepartie il faut suivre un rythme et des idées imposés.
La faute à Big N oui et non.
Nintendo fait du Nintendo. Faut suivre les directives et les codes. On ne peut pas faire ce qu'on veut quand on rejoint Big N.
Pas mal de gens fantasme sur bosser chez Nintendo ou ailleurs. Rejoindre Nintendo et rêver de faire ce qu'on veut comme dans les années 90 c'est peine perdu. La société a évolué depuis et les enjeux aussi.
Il est peut être mieux en indépendant que dans une structure.
C'est assez normal, le rythme et le style de développement sont très différents en étant indépendant et en étant dans une grosse structure.
C'est pareil pour tous le monde, c'est très différent de travailler dans une boîte de 7 personnes et de rejoindre un groupe de 5 000 personnes. Pour certains cela convient mieux car ils peuvent arrêter d'être au four et au moulin et se consacrer à ce qu'ils savent faire de mieux, pour d'autre au contraire la rigidité ne leur convient pas et ils aiment toucher à tout.
C'est purement une question de personne et personne ne peut vraiment savoir comment les choses vont se passer avant d'avoir essayé.
Le gars est arrivé il a vu qu'il y a peu ou pas de jeux prévu a la sortie de la Switch et direct ils lui on demander de se speeder.
"Ce fut incroyable, mais je me barre au bout d'un an seulement"
Les sociétés embauchent pas forcément rôle pour rôle mais aussi pour l'expérience que la personne peut apporter.
Il a peut être chapeauté un jeu pas annoncé mais qui n'a plus besoin de lui. Et après ils avaient le choix de rester ou de reprendre sa liberté. Sakurai et suda 51 sont un peu comme ça.
Et puis prenez l'exemple Satoru Iwata, rien ne reste fixé chez Nintendo et encore moins au poste défini.
Après, il semble être une tête brulée (un peu comme Kamiya!), c'est le genre à être talentueux quand il est seul, et pas épaulé par quelqu'un de carré comme Nintendo.
Reste plus qu'à espérer que ce divorce ne porte préjudice à personne... et que "moppin" continue à créer des jeux amusants.
Nintendo fait du Nintendo. Faut suivre les directives et les codes. On ne peut pas faire ce qu'on veut quand on rejoint Big N.
Pas mal de gens fantasme sur bosser chez Nintendo ou ailleurs. Rejoindre Nintendo et rêver de faire ce qu'on veut comme dans les années 90 c'est peine perdu. La société a évolué depuis et les enjeux aussi.
Il est peut être mieux en indépendant que dans une structure.
C'est pareil pour tous le monde, c'est très différent de travailler dans une boîte de 7 personnes et de rejoindre un groupe de 5 000 personnes. Pour certains cela convient mieux car ils peuvent arrêter d'être au four et au moulin et se consacrer à ce qu'ils savent faire de mieux, pour d'autre au contraire la rigidité ne leur convient pas et ils aiment toucher à tout.
C'est purement une question de personne et personne ne peut vraiment savoir comment les choses vont se passer avant d'avoir essayé.