C’est la deuxième fois de ma vie que
RoboCop m’apprend quelque chose sur le cinéma. La première : ne jamais se fier à ce que les gens disent, il faut toujours se faire son propre avis. Je l’ai appris en regardant la trilogie originale de la saga
RoboCop. Tout le monde vomit sur
RoboCop 3 alors que le deuxième film est clairement le pire des trois et ceux qui pensent le contraire devraient revoir ces films pour voir si ils n’ont pas intervertis les deux films. Et après avoir vu la nouvelle version du film sorti mercredi en salle, j’ai appris une seconde leçon : il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Dans cette métaphore, la peau de l’ours est le remake … Et l’avoir tué … C’est à peu près tout ce qui a été dit sur ce film lorsqu’on a découvert l’existence de ce projet. Des gens ont littéralement chié sur le film lors des premiers visuels ! Ce film est un énorme risque pour le réalisateur qui a vécu l’un des pires tournages de toute sa vie tant la pression des producteurs était terrible.
Et je le dis devant vous aujourd’hui : je faisais partie de ceux qui n’aimaient pas l’idée d’un remake du film
RoboCop. Pour moi ce n’était absolument pas nécessaire. Eh bien en ressortant de la salle, j’avoue m’être fourvoyé, et que ce film vaut le coup d’oeil. Mais je continue de vénérer
Paul Verhoeven comme un dieu vivant et si il déclare chier sur le remake alors je ferais une vidéo Youtube où je chierais littéralement sur l’affiche du remake. Tiens bon
Paul, tu vas encore en avoir besoin quand ils vont faire un remake de
Starship Troopers … J’en suis dépressif d’avance. Mais ne nous faisons pas de mal, parlons du présent ! Parlons de
RoboCop version 2014 !
Lire la critique de RoboCop
Boobook
On se retrouve en début de soirée pour la critique d'
American Bluff !
Peut être j'irai le voir, j'attends justement plusieurs retour.
Mais tu as raison, le cinéma est devenu cher, il vaut mieux jouer la sécurité dans ses dépenses
oui le problème vient surtout du prix.
Pour les avis en faite je souhaite pas vraiment des avis sur l'histoire, les rôles, etc.... mais plus des avis concernant un film bien tourné ou non.
je suis vraiment fan de ce nouveau remake car psychologiquement ils sont fait du nouveau robocop ce a quoi je m’attendais d'un vrai conscience humaine et j'ai adorer Michael Keaton c'est un rôle qui lui colle énormément bien (déjà vu cette performance dans le perso sérieux dans mes double ma femme et moi et frosty the snowman).
mais il faut ce rappeler que la critique avait chier sur le premier robocop car terminator été meilleur a sont epoque
umibozu Non mais ça c'est presque intrinsèque aux films de Paul Verhoeven. Sur le moment on chie dessus mais des années plus tard : film culte !
C'est vraiment un réalisateur incompris ... Dommage ils ont pas réalisé les tueries qu'ils avaient devant eux à l'époque tant pis pour eux et tant mieux pour nous
du coup ça limite extrêmement les possibilités pour le voir dans ces conditions (1 seule salle en région parisienne)
après la sortie en bluray 3D c'est une supposition de ma part mais comme des dizaines de documentaires imax sortent convertis en bluray 3D et que ça donne un résultat plutôt bon en général , je suppose que Robocop aura le même traitement mais je me trompe peut être
après ses remake suive une logique plus crédible que dans les années 80 ou l'on pensait que l'an 2000 il y aurai des voitures volantes ou l’apocalypse donc pour les 2 version j'adore
pour robocop je pense qu'il est pas mauvais du tout et est un très bon film de sf, depuis les années 80 les points de vue ont changé la critique de la société est plus la même. de même on est plus autant choqué par la violence bref ce film de toute façon ne pouvais plus être accueillis comme à l'époque car on a plus le même regarde.
sinon je suis pas d'accord greil93 pour starship troopers, pour moi ce film aurait pu s’appeler barbie et ken font de la sf, c'est pire qu'un bousin seul les bestiole le coups de la série B à l'état pure. enfin selon moi autant robocop faisait dans la critique de la société que starship tournais tellement à l'autodérision que l'on pouvais pas prendre le film au sérieux