« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Nous suivrons les tourments de Jann Mardenborough (Archie Madekwe), un jeune issu de la classe ouvrière devant faire ses preuves face à Jack Salter (David Harbour), un ancien pilote de course raté et Danny Moore (Orlando Bloom), un dirigeant idéaliste .
il devra passé par la GT Academy, ce parcours qui forme les meilleurs joueurs de Gran Turismo (virtuel) au circuit réel.
famimax ça ce finirait bien parce que les 95 autres minutes de cette comédie, on suit la famille du policier devenue millionaire,et leur problème de millionaire.
J'ai vu la bande annonce en VF avant Barbie, ça a l'air tellement naze...
(Barbie sympa sans plus, c'est pas le brûlot féministe vendus par les mascus fragiles)
kisukesan Houlà, je doute que les mascus fragiles se soient déplacés pour voir Barbie, à mon avis ils se basent simplement sur les retours des journalistes qui ont vu le film et sur les tweets rigolos de certaines féministes qui supplient d'aller le voir. C'est eux qu'il faut blâmer s'ils renvoient une fausse image du film.
Madame Figaro : "Si le film de Greta Gerwig (qualifié de «brûlot féministe» par ceux qui l'ont vu et d'«époustouflant» par Margot Robbie) devrait exacerber la tendance et faire virer nos cœurs au rose bonbon, la tendance «Barbiecore» sévit depuis déjà un an sur les podiums, les tapis rouges ou les réseaux sociaux."
Numerama : "Barbie est le film féministe qu’on attendait", "Barbie est une critique de notre société sexiste", "Le vrai apport du film, c’est surtout sa touche féministe distillée tout au long du scénario grâce à un humour sarcastique qui s’attaque à la domination masculine."
aVoir-aLire.com : "La surdouée Greta Gerwig déconstruit pièce par pièce la figure de Barbie et orchestre avec une aisance et une liberté salvatrices un manifeste féministe surpuissant autant qu’un cri du cœur contre l’absolutisme hétéronormatif."
Terrafemina : "Une réjouissante charge contre le patriarcat : pourquoi "Barbie" énerve déjà beaucoup de "vieux mecs"(et tant mieux)"
20minutes.fr : "Une explication détaillée du mot « patriarcat » est un passage indispensable avant le visionnage. Ce thème et ce terme sont au centre de l’histoire, brûlot féministe plus intello que franchement rigolo."
guyllan après c'est pas forcément un gage de féminisme mais vraiment je trouve le terme de brûlot un peu galvaudé, et c'était l'avis dentoutevla famille chez nous.
Tu me diras ce que tu en penses si tu le vois.
(Barbie sympa sans plus, c'est pas le brûlot féministe vendus par les mascus fragiles)
Madame Figaro : "Si le film de Greta Gerwig (qualifié de «brûlot féministe» par ceux qui l'ont vu et d'«époustouflant» par Margot Robbie) devrait exacerber la tendance et faire virer nos cœurs au rose bonbon, la tendance «Barbiecore» sévit depuis déjà un an sur les podiums, les tapis rouges ou les réseaux sociaux."
Numerama : "Barbie est le film féministe qu’on attendait", "Barbie est une critique de notre société sexiste", "Le vrai apport du film, c’est surtout sa touche féministe distillée tout au long du scénario grâce à un humour sarcastique qui s’attaque à la domination masculine."
aVoir-aLire.com : "La surdouée Greta Gerwig déconstruit pièce par pièce la figure de Barbie et orchestre avec une aisance et une liberté salvatrices un manifeste féministe surpuissant autant qu’un cri du cœur contre l’absolutisme hétéronormatif."
Terrafemina : "Une réjouissante charge contre le patriarcat : pourquoi "Barbie" énerve déjà beaucoup de "vieux mecs"(et tant mieux)"
20minutes.fr : "Une explication détaillée du mot « patriarcat » est un passage indispensable avant le visionnage. Ce thème et ce terme sont au centre de l’histoire, brûlot féministe plus intello que franchement rigolo."
Tu me diras ce que tu en penses si tu le vois.