killia j'ai beaucoup aimé Automata mais j'avoue que j'ai jamais compris en quoi le scenario etait si extra, il m'a beaucoup fait pensé a un certain film avec Tom Cruise
guiguif Avant de parler du scénario, c'est le parti pris de te faire passer de l'indifférence pour des êtres "dénués" d'âme à une empathie pour eux qui est bien trouver.
Contrôler des androïdes plutôt que des humains et espérer que l'on s'y attache était déjà un pari risqué pour Taro.
Après, il y a la question de ce que ça raconte :
Des robots et des androïdes qui se foutent sur la gueule pour le compte d'humains qui ont connus l'extinction. C'est absurde et mets en avant l'esence même des guerres antiques et modernes (se battre pour le compte de qqn sans vraiment savoir d'où ça vient et quelle est la finalité/la récompense).
Puis tu as la reproduction de la part des robots à l'intelligence limité de comportement sociaux humains qui apparaissent tout aussi absurde ou aliénant : la création du commerce, l'amassage d'objets/possessions, avoir et entretenir un foyer, vivre en communauté et la hiérarchiser, l'amour envers des êtres idiots mais charismatique, le divertissement (parc d'attraction) sans fin qui en perds sa substance première,...
Plein de thématiques abordés via le prisme des robots et qui est clairement une satire sociale.
guiguif Après, je n'ai pas parlé des relations entre les persos principaux entre eux et avec les persos secondaires dont Pascal.
Le changement de perspective constant et la recherche de vérité pour le joueur qui en devient obsessionnel.
Ou encore de la question du don de soi/sacrifice qui implique directement le joueur à la fin. A qui Taro pose la question suivante :
"Pourquoi tu joue?"
"Est-ce pour te divertir? Obtenir la platine et t'en vanter? Vivre une belle aventure à partager? Ou est-ce pour te connecter à autrui via une passion commune?"
Cette démarche est couillu et amène le joueur qui ne l'aurait pas saisi tout le long du jeu sur le terrain du méta-vidéoludique en le confrontant encore une fois à son reflet dans l'écran.
Clairement les jeux qui le font avec justesse se comptent sur les doigts de la main.
Clairement Automata est un jeu très très intelligent. Après que des gens ne soient pas touché ca arrive. L'intellect est le contraire de l'émotion. Neanmoins je trouve automata très touchant également. Mais pour ce dernier point c'est subjectif.
ostream Sans doute le thème de départ de Replicant qui touche de manière universelle. Un père ou un frère qui veut sauver sa fille/soeur forcément ca touche déjà. Automata fait appel à d'autres sentiments.
ostream D'accord, je peux comprendre aussi que cela t'ai laissé indifférent.
C'est marrant car mon à contrario je n'ai pas fait Nier premier du nom donc ce sera l'occasion pour moi de corriger ça et peut-être de comprendre pourquoi tu n'y retrouve pas l'âme de la série.
killiaakiru Il n'y a pas que le scénario c'est un tout. Le level design, l'esthétisme bien que ce n'est pas le point fort de Nier, ils ont réussi à faire pire dans Automata.
Le gameplay automatisé de Platinium m'a totalement laissé de marbre. Nier avait ses défauts mais il tentait des choses, sur Automata j'avais l'impression qui suffisait de spammer une touche.
Les multiples références à d'autres jeux, aux oubliettes.
La première fin qui arrive trop vite, je m'y attendais pas, même si le concept est de refaire le jeux plusieurs fois pour comprendre bah ça reste le même jeu.
Après oui il y a des moments touchants, je reconnais que le scénario est recherché mais j'en attendais peut être trop après la claque du premier à l'époque.
ostream Personnellement, je ne faisais mention que du scénario et de l'écriture générale.
Après oui, le jeu pèche dans ses graphismes et le monde pas si ouvert que ça.
Certaines textures pas très belles et un gameplay qui est profond mais demande à augmenter la difficulté pour en voir toutes les possibilités.
Par contre, j'ai trouvé l'alternance des phases de shooting type Shoot em up et combat classique assez bien pensé (ça peut manquer de variété en comparaison du 1 mais en comparaison d'autres jeux ça reste honorable).
Et le système de fin est trompeur car il fait croire que l'on rejoue le même scénario que le premier run alors qu'en fait c'est le point de vue qui change.
C'est une principe cinématographique vieux comme le monde mais qui oblige à faire preuve de patience.
Killia J'ai pas trop aimé le scénario, des trucs comme ça j'en ai déjà trop bouffé en plus. Mais j'ai adoré le parcourir, le gameplay, les graphismes, la technique, les environnements...
Même ça tu n'a pas aimé ?
Contrôler des androïdes plutôt que des humains et espérer que l'on s'y attache était déjà un pari risqué pour Taro.
Après, il y a la question de ce que ça raconte :
Des robots et des androïdes qui se foutent sur la gueule pour le compte d'humains qui ont connus l'extinction. C'est absurde et mets en avant l'esence même des guerres antiques et modernes (se battre pour le compte de qqn sans vraiment savoir d'où ça vient et quelle est la finalité/la récompense).
Puis tu as la reproduction de la part des robots à l'intelligence limité de comportement sociaux humains qui apparaissent tout aussi absurde ou aliénant : la création du commerce, l'amassage d'objets/possessions, avoir et entretenir un foyer, vivre en communauté et la hiérarchiser, l'amour envers des êtres idiots mais charismatique, le divertissement (parc d'attraction) sans fin qui en perds sa substance première,...
Plein de thématiques abordés via le prisme des robots et qui est clairement une satire sociale.
Le changement de perspective constant et la recherche de vérité pour le joueur qui en devient obsessionnel.
Ou encore de la question du don de soi/sacrifice qui implique directement le joueur à la fin. A qui Taro pose la question suivante :
"Pourquoi tu joue?"
"Est-ce pour te divertir? Obtenir la platine et t'en vanter? Vivre une belle aventure à partager? Ou est-ce pour te connecter à autrui via une passion commune?"
Cette démarche est couillu et amène le joueur qui ne l'aurait pas saisi tout le long du jeu sur le terrain du méta-vidéoludique en le confrontant encore une fois à son reflet dans l'écran.
Clairement les jeux qui le font avec justesse se comptent sur les doigts de la main.
J'ai principalement aimé les personnages, surtout 2B.
C'est marrant car mon à contrario je n'ai pas fait Nier premier du nom donc ce sera l'occasion pour moi de corriger ça et peut-être de comprendre pourquoi tu n'y retrouve pas l'âme de la série.
Le gameplay automatisé de Platinium m'a totalement laissé de marbre. Nier avait ses défauts mais il tentait des choses, sur Automata j'avais l'impression qui suffisait de spammer une touche.
Les multiples références à d'autres jeux, aux oubliettes.
La première fin qui arrive trop vite, je m'y attendais pas, même si le concept est de refaire le jeux plusieurs fois pour comprendre bah ça reste le même jeu.
Après oui il y a des moments touchants, je reconnais que le scénario est recherché mais j'en attendais peut être trop après la claque du premier à l'époque.
Après oui, le jeu pèche dans ses graphismes et le monde pas si ouvert que ça.
Certaines textures pas très belles et un gameplay qui est profond mais demande à augmenter la difficulté pour en voir toutes les possibilités.
Par contre, j'ai trouvé l'alternance des phases de shooting type Shoot em up et combat classique assez bien pensé (ça peut manquer de variété en comparaison du 1 mais en comparaison d'autres jeux ça reste honorable).
Et le système de fin est trompeur car il fait croire que l'on rejoue le même scénario que le premier run alors qu'en fait c'est le point de vue qui change.
C'est une principe cinématographique vieux comme le monde mais qui oblige à faire preuve de patience.