Moyenne presse 3/5 (pour l'instant).
20 Minutes
Les scènes d’action de Nicky Larson et le parfum de Cupidon sont impressionnantes. On retiendra notamment une poursuite dans les rues de Monaco avec des voitures et un lit king size.
Le Parisien
Très librement inspirée d’un manga diffusé à partir de la fin des années 1980, cette comédie joue à démarrer lentement pour mieux faire rugir le turbo auquel sont habitués les fans de l’univers de Lacheau et sa bande.
Ecran Large
Si Lacheau réussit une belle adaptation de Nicky Larson, traversée de purs moments de grâce comique, l'homophobie ordinaire qui colorait déjà les précédents travaux de sa bande est encore de la partie...
La Voix du Nord
À la fois vrai film de fan décomplexé et farce survitaminée visant sous la ceinture. Lourdingue... mais drôle.
Le Figaro
L'équipe de Babysitting adapte le manga du «Club Dorothée». Une parodie de film d'action de mauvais goût. Très bête et très drôle.
Le Point
On s'attendait au film le plus nul de l'année. Le pitch, la bande-annonce, les affiches…, tout laissait présager au pire. Mais non, pas d'accident industriel. Nicky Larson : Le Parfum de Cupidon (inspiré du célèbre dessin animé du Club Dorothée et du tout aussi célèbre manga japonais City Hunter) est un délire adulescent complètement assumé, une aventure pétaradante qui vire à l'absurde.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation passéiste et quasi littérale de la série d’animation “francisée” s’assume comme une récréation cartoonesque, malgré des fautes de goûts.
L'Express
Point positif et non négligeable : la montée en puissance du metteur en scène Lacheau, capable de mettre en boîte des scènes d'action survitaminées qui font de ce long-métrage un divertissement finalement très consommable.
Télérama
Si les gags “osés” sont plus ou moins réussis, le cinéaste se rattrape sur ses habituels points forts : qualité des scènes d’action et pureté des histoires d’amour.
CNews
Cette comédie française qui réunit des "guests" comme Audrey Lamy et Pamela Anderson, multiplie les références à l’animation japonaise et les gags visuels, mais souffre de faibles dialogues et d’un traitement de l’homosexualité digne des bancs du collège.
Le Nouvel Observateur
Hormis quelques scènes qui ressuscitent la folie absurde de la série animée, le film s'épuise dans une mollesse d'exécution que rien ne réanime : ni la scène seins nus de Chantal Ladesou ni la participation en bimbo insipide de Pamela Anderson.
Ouest France
Inégal, souvent plombé par des gags vulgaires et des références obscures pour ceux qui n'ont pas grandi devant le Club Dorothée, le film trouve pourtant l'équilibre entre l'esprit trash du dessin animé et 'humour de boulevard propre à la Bande à Fifi. Mais est-ce bien suffisant ?
Première
Bien qu’inégal dans sa mise en scène (on est parfois proche du téléfilm... de TF1) et plombé par la lourdeur de certains gags, ce Nicky Larson trouve dans sa deuxième partie une forme d’équilibre entre l’esprit de l’anime et l’humour de la Bande à Fifi, fusion improbable de deux univers aux antipodes. En soi, c’est déjà un tour de magie.
Le Monde
Le film, comédie d'action poussive et laide tournée en prises de vues réelles, fait ainsi subir les outrages à la belle bande dessinée originelle, City Hunter.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm-257514/critiques/presse/
Si Lacheau réussit une belle adaptation de Nicky Larson, traversée de purs moments de grâce comique, l'homophobie ordinaire qui colorait déjà les précédents travaux de sa bande est encore de la partie...
Ben putain, heureusement qu'ils ont jamais lu City Hunter les mecs.
Dans le manga, à je ne sais plus quel moment, t'as un mec qui attrape de l’herpès en voyant un travesti (d'ailleurs Ryo déguisé si je me souviens
ça et le fait que chaque fois que tu vois un gay dans le manga, c'est un mec façon cage aux folles dans les ruelles de cabaret
Imagine s'ils avaient voulu faire une adaptation fidèle du manga aujourd'hui...
https://www.youtube.com/watch?v=B76y3bxl_bY
Pas à moi que faut dire ça.
Tout est globalement bien dosé, la mise en scène est bien !
A voir et je demande une suite !
Je suis d'accord, coluche en est un bel exemple, même si tout n'est pas parfait, on sait faire la part des choses.