« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
description : Capcom est une société culte de l'univers des jeux vidéo. Crée en 1979 par Kenzo Tsujimoto, "CAPsule COMputer" a débuté en commercialisant des jeux éléctroniques. Du siège basé à Ôsaka, Capcom s'est développé avec Capcom USA en 1985 et Capcom Eurosoft en 2000. Ténor de l'arcade dans les années 80/90 (Street Fighter, Strider, Final Fight). Le succès mondial de Street Fighter 2 en 1991 propulse Capcom au firmament. Sur consoles, Capcom réalisa des jeux pour tout les constructeurs. Megaman ou Resident Evil ne sont que deux exemples de séries qui font de Capcom une légende du jeu vidéo très rarement en perte de vitesse.
Jules César se fait assassiner, ça tout le monde connaît l’histoire, mais quand vous êtes au centre de la tourmente, les choses sont différentes, car vous interprétez, Agrippa, le fils de Vispanus l’homme accusé du soi-disant meurtre et comme sentence votre mère se fait tuer sous vos yeux par le général Decius. A vos coté pour vous aider dans votre quête de la vérité se trouve le noble Octavien, qui cherche la vérité de l’intérieur en essayant de s’infiltrer au sénat, pour trouver le moindre indice sur le véritable coupable. Sur votre route vous rencontrez la belle Claudia et Sextus qui vous mettra dans la peau d’un gladiateur, car Mécene, le secrétaire d’Antoine (fidèle et partisan de César), a décider que l’homme qui sera vainqueur du tournoi de gladiateur aura le privilège de s’occuper des derniers instants de Vispanus.
Les personnages sont un peu carrés, on dirait des Rugbymen, donc un peu lourd à se bouger, le bon point c’est que chaque arme est bien retranscrite. Lors des combats on peut esquiver, se rouler par terre, monter au échelle ou sur des caisses, et si il est trop loin lui balancer l’arme et la récupérer, ça c’est pour Agrippa, en ce qui concerne Octavien il se plaque contre les murs, se cache dans les tonneaux, prend les apparences de c’est adversaire, en les ayant assommé avant. 1,5/2
Le jeu tourne bien, même si lors des cinématiques temps réels, il manque une certaine fluidité. Le top se sont les courses de char qui vont vite et sont très spectaculaire à faire et à voir. 1,5/2
Les décors romain sont vraiment beau (comme quand je les voyait en cours d’histoire), avec ses colonnes, les zones marchandes, le colissée, le sénat, le forum, les prisons ou encore le centre des gladiateurs, avec des arènes vraiment vivante, on si croirait. Il y a comme souvent sur PS2 un peu d’aliasing, sa brille un peu, des couleurs un peu ternes et des décors parfois un peu vide de monde. 1,5/2
Lors des combats, tout se déchaîne, quand vous faites appel a la foule un effets de flou vraiment bien amener, des effets vraiment spectaculaire d’hémoglobines sur le sol, les têtes et les bras qui giclent, certaines armes en les maniant soulève la poussière.1,5/2
Les deux personnages principaux ont chacun leur aptitude, les deux sont ambidextre, on appuie sur le rond pour attraper n’importe qu’elles armes qui traînent, pour Agrippa c’est souvent des armes blanches, pour Octavien c’est plutôt des objets du décor. Subtilité Octavien peut cacher ses armes derrière le dos et peut, en se mettant accroupi ,près d’une serrure voir a travers le trou (l’influence Splinter cell), quand a Agrippa, il peut en un bouton désarçonner son adversaire et utiliser son arme contre lui.2/2
Les boutons sont bien placés, surtout qu’il y a pas mal de subtilité de jeu et d’approche de l’ennemi. Une bonne chose quand vous vous cacher vous prouver bouger la caméra pour mieux aprècier le champs de vision, surtout quand vous vous cacher (dans les jarres par exemple).2/2
Le jeu alterne moment d’action pur, avec moment de bravoure, moment d’émotion et d’infiltration, il se divise en chapitre, comme un roman, avec rappel de fait historique, le thème du complot bien amené, les ficelles sont grosses, mais on se laisse prendre au jeu. Compter une quinzaine d’heures de jeu. 3/4
Les bruitages des armes qui tapent sur les ennemis, sont bien dégueux, sa craque et sa coupe de partout, le public lors des affrontements se fait bien ressentir. Par contre les voix américaine, en pleine période romaine, plutôt spécial (enfin je dis ça). 1/2
Les musiques font très péplum et chaque moment fort est accentué. Les moments d’infiltration la musique est bien soutenus. 1,5/2
Ce jeu est bon pour une raison tout simple c’est qu’il reprend une époque, et la retransmet parfaitement comme si on y était, avec en plus deux personnages aux approches différentes, une en bourrin à la manière de Maximo et l’autre plus subtile à la manière de Metal gear, bref deux recettes bien rodé, qui en font un bon investissement, et qui montre qu’on peut mélanger les genres, y mettre de l’historique, sens qu’on s’ennuie une seconde. C’est le genre même de jeu qui est fait pour montrer ce que les prochaines générations de consoles peuvent faire en matière de jeu spectacle.16/20
PS : oui je sais, le jeu est sortie depuis longtemps...je redécouvre des choses sur mes anciens disque dur (et c'est amusant de voir ce que l'on disait dans un certain contexte).
bloodytears je sais, j'ai un soucis avec l'orthographe, désolé, mais j’essaye de m'améliorer (je me suis relus ^^ , mais ça n'a pas suffit, malheureusement), mais merci pour "tu t'exprimes mieux que la plupart des testeurs donc c'est un bon point !".
Dommage car c'était souvent de bons jeux