Récemment repoussé au
20 Mars de
l’année prochaine alors qu’il était annoncé pour le
22 de
ce mois-ci, voici ma
Preview du sanglant
Doom Eternal que j’ai pu essayer à la
Paris Games Week 2019.
Mars est dans un piteux état
Avant toute chose, je tiens à préciser que je ne connais la saga
Doom que de nom. Cela inclut l’opus de
2016 que je n’ai pas eu l’occasion de faire jusqu’à présent (d’ailleurs le
22 Novembre sort
Doom 64 sur Switch). Mais dont j’en sais suffisamment pour affirmer que sa suite a l’air d’être dans la même lignée. Ce qui ne sera pas pour déplaire aux fans.
La démo démarra par une phase de
tuto qui fut la bienvenue pour le « novice » que j’étais dans cet univers. Et m’ayant permis de me faire à la main assez rapidement aux
armes, et au
gameplay nerveux et plutôt vertical du titre.
Car notre
Doom Slayer n’est pas seulement mortellement dangereux à même le sol. Mais aussi dans les airs avec la possibilité d’effectuer un
double saut suivi d’un
dash en l’air quasi indispensable durant certaines phases « plateforme ». Et même
escalader à la main des parois spécifiques. Niveau armement, ça ne plaisante (toujours) pas avec de manière non exhaustive, un
fusil à canon scié pouvant être équipé d’un grappin afin d’agripper un monstre pour mieux l’éliminer, une
tronçonneuse, et même un
lance-flammes pour les plus pyromanes.
Il faut au moins ça pour évoluer dans un univers aussi impitoyable. Avec des créatures venues tout droit des enfers et plus belliqueuses les unes que les autres. Créatures dont on n’a qu’une envie, les exécuter via les «
Glory Kill » et les effusions d’hémoglobine qui vont avec. Et vaut mieux ne pas rester immobile ou à découvert trop longtemps sous peine de subir un tir nourri venant des 4 points cardinaux.
Visuellement et
techniquement parlant le jeu s’en tire très bien et demeure d’une fluidité royale en toute circonstances.
Et dernier point qui ne concerne pas le jeu directement mais les
conditions d’essai. J’ai apprécié le fait que cette démo de la
PGW fut l’une des rares jouables aussi bien avec le
combo clavier / souris pour les adeptes du PC, qu’à la
manette pour les joueurs consoles. Même
Borderlands 3 lui aussi jouable sur place ne le proposait pas. Chose qui aurait été appréciable au vu de sa nature de
FPS.
Une arme que j’aurais bien voulu manier durant la démo..
Voilà qui achève cet Aperçu de ce
Doom Eternal qui m’a plutôt plu. Sur ce, je vous laisse avec quelques photos du stand du jeu où je me suis pris pour le
Doom Slayer. Avec le
BFG-9000 entre mes mains, et son casque provenant de sa version collector.
Demain, je posterai ma prochaine Preview de la PGW sur
Biomutant.