L’association Avenir De La Culture, qui revendique sur sa page Facebook militer « pour la défense de notre culture et de notre identité ! », a de son côté lancé une nouvelle pétition pour que le festival soit purement et simplement annulé. Le but étant notamment « d’inonder de pétitions le bureau du Maire de Clisson, M. Xavier Bonnet, qui a annoncé son soutien à ce festival ».

Une auditrice/lectrice nous a communiqué sur Twitter des documents qui ont été envoyés récemment par l’association (probablement à ses adhérents et/ou sympathisants) que nous vous faisons aujourd’hui partager en intégralité ci-dessous.

La manoeuvre n’est pas très classe, mais le fait que ces jeux se basent sur des concepts extrêmement simples de game design ne permettent pas d’écarter complètement la possibilité de la simple coïncidence. Ketchapp met évidemment cela en avant pour se défendre. Alors, Akins a décidé d’y aller par la force des grands nombres en sortant plus d’exemples de jeux « volés » dans un nouveau billet (lien).

Que ce soit avec Zig Zag Boom devenu Zig Zag, Tap Right Up devenu Dot Up! chez App cow puis Jelly Jump chez Ketchapp, The Line devenu Stay In The Line, Bouncy Ninja devenu Don’t Touch The Spikes ou Game about Squares devenu Push the Squares, Akins essaye de démontrer que Ketchapp vole ou copie régulièrement des jeux préexistants sur l’App Store.

Il essaye de démontrer que dans certains cas, l’éditeur utilise la même méthode que pour Rotable. C’est-à-dire le remplacement d’une application par une autre dans le but de falsifier la date de publication sur le store. Dans d’autres cas, il s’agira d’une extrême réactivité pour sortir des clones en quelques jours.

Toutefois, certains développeurs « pillés » y voient un certain intérêt. Par exemple, les créateurs de Zig Zag Boom, qui après s’être fait voler le jeu de la même manière qu’Akins, ont décidé de laisser couler et de publier leur propre application. Résultat, ils se sont retrouvés deuxièmes des résultats et ont bénéficié indirectement du succès de Zig Zag, la copie de Ketchapp.

Akins, lui, ne compte pas laisser couler et en veut encore beaucoup à Ketchapp. Il appelle désormais les réseaux sociaux à diffuser le hashtag #BanKetchapp afin d’attirer l’attention d’Apple sur ces pratiques et les inciter à réformer l’App Store.

Et ce dernier point, pour le coup, on ne peut qu’approuver tant il y a des failles dans le système. Tant pour le bien des développeurs que de celui de l’App Store, d’ailleurs.

C’est au salon Manufacturing International Technology de 2014 que l’on a pu observer la première voiture imprimée en 3D au monde !

Créé par Local Motors, la Strati est le résultat de quatre mois et demi de travail et de 44 heures d’impression. Mais selon l’entreprise, les futurs modèles pourraient être produits en moins de six semaines avec un temps d’impression réduits à 24 heures.

La voiture se compose de 49 pièces, ce qui est beaucoup moins que les milliers de pièces utilisées pour créer une voiture classique. Bien sûr, pas tous les composants ne sont pas imprimés et par exemple la batterie, le moteur et les suspensions ne le sont pas. En revanche, le châssis et les éléments intérieurs sont tous en plastique ABS renforcé de fibres de carbone.

Il est impressionnant de voir avec quelle rapidité a été conçue ce véhicule et il est encore plus surprenant de voir avec quelle vitesse il va être commercialisé. En effet, les acheteurs intéressés peuvent d’ores et déjà s’abonner à la lettre d’information du site Local Motors afin d’être informés de la sortie commerciale de cette automobile et dont le coût estimé se situera entre 18 000 et 30 000 dollars US.

Il y a de nombreux avantages à produire un véhicule avec une imprimante 3D. Cette technologie pourrait rendre possible la production de pièces de rechange moins coûteuses et qui serait imprimées à la demande. Ceci est d’autant plus intéressant pour les véhicules anciens dont les pièces de rechange se font rares.

Cette aventure automobile rappelle que bien des domaines industriels pourraient être impactés par les technologies d’impression 3D.

Bonsoir, petite promo de la soirée : Just Cause 3 en pré-commande sur PC pour 45 € et légalement (pas de sites de clefs russes plus ou moins fiables) puisque cela se passe sur le Humble Store (lien)

La Ouya a fait un énorme buzz lors du lancement de sa campagne sur KickStarter, en 2012. Tout le monde ne parlait plus que de cette drôle de petite console propulsée par Android. Elle avait même dépassé les 8,5 millions de dollars de mise alors que le projet n’avait besoin « que » de 950 000 dollars pour aboutir.

Le plus beau, c’est que la société a aussi levé 15 millions de dollars supplémentaires auprès de différents fonds d’investissement, dont celui de Mayfield Fund et de Nvidia.

Les millions levés par Ouya n’ont pas suffit à assurer la pérennité de l’entreprise

Mais cela n’a pas suffit. Loin de là, même puisque l’entreprise serait actuellement en difficulté. Les dettes se seraient considérablement accumulées au fil de ces derniers mois et son équipe dirigeante envisagerait même de baisser les bras et de mettre la société en vente pour que l’aventure puisse continuer sous une autre forme.

Si l’on en croit The Verge, Julie Uhrman aurait ainsi envoyé un mémo à ses investisseurs pour les prévenir de la situation.

Ses multiples tentatives pour renégocier les dettes de sa société n’auraient rien donné et elle aurait besoin d’un apport de capital conséquent pour remettre l’entreprise sur les rails.

Est-ce la fin de l’aventure ?

C’est fort probable. Les joueurs les plus exigeants n’ont aucun intérêt à opter pour la Ouya. Pas quand ils peuvent se tourner vers une PlayStation 4, une Xbox One, une Wii U ou même une Steam Machine. Quant aux joueurs occasionnels, il leur suffira d’investir dans un appareil sous Android TV pour s’adonner à leurs sombres penchants.

Et chez nous, en France, c’est encore plus simple puisque les FAI misent de plus en plus sur cette plateforme pour propulser leurs décodeurs. La Freebox Mini 4K en est un très bon exemple, d’ailleurs.

Bref, sauf coup de poker, la Ouya semble bien condamnée à disparaître.

Dans une interview accordée au magasine japonais Famitsu, Tetsuya Nomura, le créateur de Kingdom Hearts, a donné de l’espoir aux fans de la série. En même temps qu’il faisait un peu de teasing pour Kingdom Hearts III, qui arrivera prochainement sur PS4 et Xbox One, l’homme a indiqué qu’un épisode de la série arriverait prochainement sur mobile. « Une des annonces concernera un développement sur mobile de la série, que j’espère pouvoir présenter dans un futur proche« , indique Nomura.

Il s’est par contre refusé à donner d’autres pistes et il est bien difficile de dire s’il s’agira d’une simple application compagnon du jeu qui sortira sur console, un portage des précédents opus ou d’une version à part entière sur mobile. On devrait en savoir plus sur les projets de Square Enix, en charge de Kingdom Hearts, lors du mois d’aout et de la D23 Expo 2015.

Google est donc passé à la vitesse supérieure en imposant à tous ses « partenaires YouTube » d’accepter les nouvelles conditions d’utilisation du service. En cas de refus, Google pourrait basculer automatiquement les vidéos en mode « privé », les rendant donc invisibles à de nombreux internautes.

Dans ces nouvelles conditions, la firme de Mountain View explique que lorsqu’une vidéo sera postée, elle devra l’être pour l’offre gratuite avec publicités et pour la nouvelle, sans publicité. Un effort supplémentaire à fournir de la part des créateurs mais Google offre une contrepartie plutôt intéressante. En effet, ce sont 55% des revenus générés par l’abonnement – au prorata du nombre de vues, évidemment – qui seront reversés.

En procédant ainsi, Google tente de limiter les dégâts dus aux bloqueurs de publicités. Et si la méthode – imposer ces nouvelles conditions – semble brutale, elle est nécessaire pour ne pas fractionner ses vidéos et éviter ainsi de voir d’un côté le contenu gratuit et de l’autre celui qui serait réservé aux utilisateurs payants. À noter aussi, YouTube n’impose pas d’exclusivité à son service. La même vidéo pourra donc toujours se retrouver aussi sur Dailymotion ou autre.

Du coup, le futur de YouTube se cantonne soit à visionner de la publicité, soit payer un abonnement