Aujourd'hui, The Elder Scroll V Skyrim : Special Edition sort sur PS4, One et PC.
Encore que, pour les joueurs PC, s'ils possèdent le jeu de base et ses DLC, un nouvel exécutable gratuit leur sera proposé en téléchargement sur Steam.
Faisant parti de cette catégorie, je vous livre un premier retour sans compromis après 1h30 de jeu.
Après les 11,3 Go de téléchargement pour cette "special edition", le launcher me propose de vérifier ma config et de régler automatique les paramètres, selon les résultats. Étonnant puisque le launcher de base ne proposait pas cette feature. Bien évidemment, le choix est arbitraire puisqu'il se contente de choisir parmi 4 paramètres prédéfinis (basse, moyenne, haute et ultra). Heureusement, il est possible de changer nous même et plus en détail les options. Mais passons, ce n'est pas le plus important.
Une fois le titre lancé, (première) surprise, le jeu ne récupère pas nos anciennes sauvegardes. Aucun outil pour pouvoir faire une récupération. Il doit bien exister un moyen en jouant avec les fichiers et dossiers mais je n'ai fait aucune recherche, j'ai préféré ne pas perdre de temps et lancer une nouvelle partie pour voir ce que nous réserve ce ... portage/remake ?
L'intro démarre, on la connait tous, on est fait prisonnier pour rien, assis dans une charrette en direction l’abattoir, Ulfric Sombrage sur notre droite, Ralof en face et un autre PNJ dont j'ai déjà oublié le nom qui servira à se ramasser une flèche dans le dos à notre opposé.
Première chose qui marque, par rapport à l'intro de base, il fait beau, très beau, trop beau, nous baignons dans un soleil printanier. C'est sympa mais ce n'est pas vraiment ce que l'on peut attendre d'un Skyrim. Bordeciel est censé être une terre froide, rude, inhospitalière, avec ce beau temps, il y a un contraste et cela casse la crédibilité de l'univers du jeu. Même après l'intro, durant toute ma session de jeu, je n'ai eu droit qu'à du beau temps, au pire juste le ciel bleu parsemé de quelques nuages ci-et-là. Même le discours des Khajiits, eux qui se plaignent toujours du mauvais temps, de la neige et du froid, ne colle plus vraiment. Il s'agit pour moi du premier gros point noir de ce remake. C'est bien de proposer un nouveau skybox ou effet météorologique, mais si c'est pour rompre avec tout le travail d'immersion effectué en amont via les dialogues, l'histoire et l'architecture de Bordeciel, ce n'était pas la peine de travailler dessus. Surtout que cela ne sert qu'a montrer de jolis "rayons lumineux".
Plus j'avance dans le déroulement du jeu, et plus je me rends compte du travail bâclé effectué sur cette édition. Alors oui, nous avons droit a de nouvelles textures (bien que certaines se révèlent toujours aussi pitoyable), l'eau est plus convaincante (mais toujours pas les cascades au loin, qui restent figé), il y a de nouveaux éclairages et l'ombre est plus fine.
Aussi quelques nouveautés au niveau de l'interface comme la possibilité de faire une sauvegarde rapide, le menu ECHAP qui affiche les quêtes, une fonction "mods" fait son apparition (il faut passer par un compte Bethesda donc pas testé).
Mais certains bugs ou problèmes n'ont pas été corrigé depuis la version 2011 comme lorsqu'une manette est branchée, obligé de jouer avec, le combo clavier/souris étant désactivé. Pareil concernant la physique toujours aussi WTF, les problèmes d'éclairage sans réelles ombres portés (lumière qui traverse les structures), les dialogues des PNJ qui se chevauchent, l'IA qui ne s'est pas amélioré, on ne voit pas ses pieds en baissant la tête, le menu objet reste une plaie a parcourir etc. Les modèles 3D n'ont strictement pas changé d'un poil, les pierres et rochers angulaires sont toujours présents donc, les lieux distants ressemblent toujours à de la PS2 ...
Concernant la neige, aucune amélioration à ce niveau non plus. Pas de trace de pas, d'effets supplémentaires, de mouvement dû au vent ... Pire encore, ils ont rajouté sur la texture de neige et glace, de petits points blancs, peut être souhaitaient-ils faire un effet de brillance un peu comme la neige dans Mafia 2, l'effet est raté. On se retrouve davantage avec un effet "poivre" que l'on pouvait voir sur Oblivion, avec l'affichage distant.
Ayant fait l'intro avec sa séquence dans une grotte, mise a part les textures, je remarque qu'aucun changement notable n'a été effectué dans celle-ci. Pareil pour les intérieurs. Seul la carte de Bordeciel contient plus de végétations et est donc plus travaillée.
Conclusion : Bethesda nous livre une "edition special" clairement foutage de gueule, qui se contente de porter la version "2011" sans aucune amélioration ou nouveauté, juste quelques features graphiques et là encore, cette édition ne fait pas le taff. Si vous hésitez à vous racheter Skyrim sur console, je vous recommande de passer votre chemin ou d'attendre une baisse de prix significative. S'il vous n'avez toujours pas joué a Skyrim, là encore je vous invite à attendre une baisse de prix ou l'édition Nintendo Switch, qui proposera au moins l'originalité d'y jouer en "nomade". Bien évidemment mon retour est très négative mais elle concerne avant tout cette édition et ce dont on est en droit d'attendre de ce portage. Le jeu de base reste une incroyable expérience à faire dans sa vie de joueur.
Pour finir, quelques images maison (cliquez sur les images pour les agrandir) :
Le paysage au loin a un côté "rétro" toujours présent sur cette édition.
"Pliz kil me". Niveau texture, la distribution est assez inégale.
Même s'ils ont rajouté une petite texture, les cascades au loin restent immobile
Poivre d'Oblivion et Sel de Skyrim, décidément Bethesda nous aura tout servi. Vivement Ketchup/Moutarde.
Une petite compilation des publicités et/ou annonces des consoles Nintendo à travers les ages. Le plus intéressant est de voir vers quel public se destinent les machines, commercialement parlant.
D'abord les enfants avec la NES, Snes et la GameBoy, ensuite les ados durant la période N64 jusqu'à la Gamecube, un peu tout le monde avec la Wii.
Très intéressant de voir un constructeur de console s'intéresser a un public autre que les enfants/ado, cette stratégie marketing a permis à Nintendo d'écouler des masses de Wii.
Toujours dans la période Wii, la communication chez Nintendo se divise entre quelque chose de plus sérieux avec la Wii et un peu plus libre et amusant avec les consoles portables, jusqu'à la 3DS.
La présentation de la Wii U a été catastrophique en ne présentant que la "mablette" et non la nouvelle console derrière, sans oublier que le nom a été repris de la console précédente, laissant une plus grande confusion sur le produit (accessoire Wii ?). Sans oublier des séquences de "gameplay potentiel" mais rien de concret, ce qui montre déjà à l'époque que Nintendo ne savait pas quoi en faire de leur Wii U.
Et cela s'est confirmé durant sa courte durée de vie puisque très peu de jeux ont utilisé le double écran avec un gameplay asymétrique jusqu'à StarFox, qui s'est révélé être au final assez moyen.
Changement radical avec la Nintendo Switch, présentation de jeux typé gamer et tiers, un public "jeune adulte" et actif (je vous conseil cet article très intéressant sur la Switch ici).
Enfin, Nintendo s'est décidé à montrer la fameuse "NX" mettant fin aux incessantes rumeurs et autres articles trollesques de la toile. Big N nous a livré hier une vidéo de présentation d'un peu plus de 3 minutes sur la nouvelle Nintendo Switch. Console de salon ET portable, elle rejoint la famille Nintendo après une Wii U catastrophique et une Nintendo 3DS plutôt en forme.
Je vais analyser la vidéo de présentation de la Nintendo Switch, sur plusieurs points. Nous allons voir des éléments qui ont pu nous échapper, aller un peu plus en profondeur avec les composants actuels que nous avons, tenter de décomposer un max. Bien évidement, si je loupe des choses ou si je dis de la merde sur un sujet précis, pas la peine de jouer les gros lourds en commentaire, au contraire, contribuez.
Aussi, je ne vais pas revenir sur l'essentiel. C'est à dire le concept des manettes clips mis en avant durant la vidéo, le fait de pouvoir brancher la console sur la TV, les jeux sur cartouche etc.
Enfin, vous aurez un résumé de l'analyse à la fin de l'article, pour ceux qui n'ont pas le temps ou qui veulent simplement aller à l'essentiel.
Pour rappel, voici le trailer.
1 er partie : Analyse de la machine physique.
Manette Pro Controller
Nous allons débuter l'analyse par la manette Pro Controller. Pourquoi ? Car certains éléments sur ce pad nous procurera quelques réponses pour la suite. Pour commencer, voici quelques images maison.
Première chose que remarquera celui qui a l'oeil attentif : Il s'agit ici de la seule et unique fois ou l'on voit la croix directionnelle sur un produit "Nintendo Switch". Les manettes "Joy-Con" n'en disposant pas. Autre chose de différent entre la Pro Controller et les Joy-Con : les sticks. Sur ce pad, les sticks sont creux, comme la manette de la xbox 360. Cela permet un meilleur confort et une meilleure prise en "pouce" du stick. Ceux des manettes Joy Con sont bombés. Peut être à cause de la petitesse de celles-ci.
Nous retrouvons des LEDs comme sur WiiMote, sous la manette, pour indiquer le joueur 1, le joueur 2 etc, les classiques boutons A, B, X et Y, deux sticks, la croix directionnelle, 4 gâchettes, des boutons "+" et "-" (start et select), le bouton Home sur la droite et un autre bouton assez mystérieux, à l'opposé du dernier cité, qui est carré et qui contient un cercle, un bouton que l'on retrouve aussi sur les Joy-Con.
Nintendo nous cacherait une nouvelle fonctionnalité ? Pour ma part, je spécule sur une fonctionnalité "share" ou "enregistrement vidéo d'une partie". En effet, le bouton REC est souvent représenté d'un rond rouge dans un carré sur beaucoup de télécommandes ou autres enregistreurs.
Niveau confort, le design semble être inspiré de la manette de la Xbox One, les boutons sont très gros (faites la comparaison entre une manette de 360 et l'image 2). Ces mêmes boutons semble assez remontés comme le montre la photo 2 et 5. Malheureusement pas d'angle de vu pour voir plus en précision les gâchettes.
Le plastique choisi serait du "transparent smoke", comme certaines anciennes GameBoy, cela nous permet de voir au travers les trous pour les vis et autres emplacement de la croix comme sur l'image 1 avec ses petits cercles entre le stick droit et la croix directionnelle, l'image 2, l'image 3 et l'image 5.
Aucun point de vue non plus sur la prise de chargement. Elle se trouvera sûrement sur le dessus.
Le logo "Nintendo Switch" semble changer de couleur entre noir/gris et bleu. (1er image et les autres).
Dernier point, d'après Nintendo, le Pro Controller est un élément "optionnel". On peut donc miser sur son absence dans le pack "de base" de la Switch.
Les contrôleurs Joy-Con
Beaucoup de choses intéressantes à voir autour de ces "Joy-Con". Tout d'abord place aux images.
Comme sur le controller pro, nous avons les boutons A, B, X et Y, deux véritables sticks (et non plus de circle pad ou autre "stick téton" de la new 3DS), quatres gâchettes, le bouton "share" et "home", le "+" et le "-" qui ne ressemblent pas a des boutons (j'ai cru qu'il s'agissait de détrompeur à première vue) et des boutons imprimés comme les A, B, X, Y mais qui remplacent la croix directionnelle.
Dans ces images, il y a quelque chose d'important à noter, surtout dans l'image 2, 3 et 6, ces Joy-Con semblent cacher, de nouvelles gâchettes lors de l'utilisation de celles-ci en dehors de la Switch. Regardez bien, ce qui s'avère être un bout de plastique pour rentrer dans le rail de la Switch fait aussi office de gâchette. Cela prend tout son sens pour un Mario Kart par exemple (dérapage). Rien est sûr concernant cette information puisque malheureusement nous n'avons aucune photo qui montre en détail cet élément.
Point gâchette : Sur la 4 em image nous pouvons voir plus en détail les gâchettes normales des Joy-Con. A priori, nous n'auront pas de gâchette sensible à la pression comme on peut le voir sur n'importe quelle manette depuis la PS2 / Gamecube. Ici nous avons des gâchettes "simple bouton" comme sur la 3DS.
Rien sur les batteries de ces manettes, ni sur d'autres accessoires qui peuvent remplacer ces Joy-Con pour avoir un gameplay original. Peut être que Nintendo planche sur le sujet mais ne souhaite pas tout nous dévoiler en une seule présentation. Le maître mot de Big N est la clarté de l'information, que l'utilisateur comprenne bien le concept. Plus aucune confusion depuis la présentation de la Wii U.
Au vu de la taille des boutons sur l'image 5, ils pourraient reprendre les proportions de ce que l'on a déjà sur new 3DS.
Le support Joy-Con Grip
Un court passage sur ce support avant d'attaquer la Nintendo Switch.
Bon, il n'y a pas spécialement grand chose à dire sur le Grip. Cet accessoire offre une meilleure prise en main des Joy-Con une fois la machine posée sur son socle. Il n'offrira pas de meilleurs gâchettes ou de boutons supplémentaires. Cependant il est intéressant de voir qu'elle fera office de station de charge pour les Joy-Con vu les deux dernières images. On peut aussi s'avancer avec l'image 3 ou l'on voit le Grip être allumée que du côté ou se trouve la Joy-Con. Peut être que l'accessoire s'éteindra de lui-même une fois les Joy-Con retirée.
Dernière chose, les LEDS semblent indiquer quelle Joy-Con représente quel joueur (joueur 1 joueur 2 etc), pratique en cas de partie "multi-Switch", histoire de ne pas se tromper de Joy-Con.
Encore une fois, aucune photo sur la prise de charge. Avec tous ces accessoires, on peut dire qu'il y aura beaucoup, beaucoup de batteries. Mais cela ne veut aucunement dire que nous aurons beaucoup de câble. En effet, un seul peut suffire dans un Pack normal. Un seul câble pour recharger ou la Switch, ou le Grip a tour de rôle. Le Dock faisait aussi station de charge. Et les Joy-Cons se rechargeant uniquement sur la Switch ou le Grip.
La console Nintendo Switch
Rentrons dans le vif du sujet avec la console Nintendo Switch qui se présente comme une tablette, une fois les accessoires retirés.
La Switch qui se présente comme une tablette, dispose, d'après Nintendo, d'un écran "Haute Définition" sans plus d'information. Nous pouvons miser sur du 720p au minimum. D'ailleurs, en se référant à la supposé taille de la Switch dans la vidéo par rapport aux mains des figurants, on peut estimer la taille de l'écran à du 7" environ.
Sur la première photo, nous pouvons voir des détrompeurs en haut à gauche et à droite pour les Joy-Con, on remarque aussi les deux sorties sons R et L en bas à droite et gauche de l'écran (trous rectangulaires) et aussi une zone ronde et noire. De quoi s'agit-il ? D'un micro ? D'une caméra ? D'un capteur de luminosité ? Je suggère la dernière hypothèse mais il ne s'agit en aucun cas d'une affirmation.
Sur le dessus nous retrouvons un port cartouche à clapet (ongles longs pour l'ouvrir ?), une prise jack, une imposante aération (la console risque-t-elle de surchauffer ?) et aussi, à l'opposé, 3 boutons qui s'apparentent aux boutons Marche/Arrêt et au volume + et - (image 4 et 7).
La photo 6 est intéressante. Non pas pour sa qualité dégueulasse mais pour les traces de doigts sur la Switch. Laissant supposer que l'écran est belle et bien tactile.
La Switch se révèle assez épaisse. Juste ce qu'il faut pour placer le hardware mais aussi une grosse batterie lithium puisque celle ci doit prendre en compte la charge des Joy-Con en plus d'alimenter l'écran et le système complet.
Pas grand chose pour le dessous de la Switch (photo 5), on distinguera quelques formes placées en symétrie (deux trous ronds, un rectangle et encore deux trous ronds) qui permettront la recharge de la Switch mais aussi de la positionner correctement sur le Dock. Malheureusement la qualité de l'image ne nous laisse toujours pas voir le format de la prise de recharge.
Le design est assez typique de ce que l'on retrouve déjà chez Nintendo, c'est à dire des bords arrondis, des petits boutons (le bouton power ressemble beaucoup à celui de la new 3DS). Il n'y a pas l'air d'avoir un stylet de fournis avec la machine. Aucun gros logo "Nintendo Switch" sur la face avant. Les bords autour de l'écran sont assez massifs et prennent beaucoup de place.
Aucune prise USB sur la Switch non plus, ces ports sont présents uniquement sur le Dock. Pas de présence de port "SD" ou carte SIM. Ne sait-on jamais si Nintendo souhaite accueillir le marché mobile sur sa Nintendo Switch (Pokémon Go, Marion Run ...)
Le Nintendo Dock
Dernier élément "visuel" a traiter dans cette présentation, le Nintendo Dock de la Switch
La station d'accueil de la Switch est finalement assez simple à comprendre. Lorsque la console est posée, un témoin vert s'allume et l'affichage est directement basculée sur TV. Peut être que le témoin indiquera aussi la charge ou les notifications.
Sur la gauche, même si les images sont floues, nous avons 2 ports USB. Aucune idée s'il s'agit d'USB 2.0 ou 3.1. Quoi qu'il en soit on passera sûrement par ces ports pour recharger le Grip et/ou le Pro Controller. Peut être pourrons-nous y connecter un disque dur externe.
Sur la droite, un espace se dévoile en vue de devant, sous d'autres angles, il s'agit en réalité de l'endroit ou seront branchées la prise secteur et le câble HDMI. Rien d'autre derrière, dessus ou encore devant, mise a part le gros logo "Nintendo Switch".
Une fois posée sur le Dock, la Switch laisse paraître une bordure d'écran. Peut-on prévoir que cette bordure affichera quelques informations lors d'une session en mode "Console de salon" ?
Aussi, le Dock a l'air assez épais, plus large que la Switch elle-même. Que se cache-t-il dans cet endroit ? Un circuit permettant d’accroître la puissance de la machine ? Rien du tout ? Pour l'instant nous n'avons pas plus d'information.
Bonus accessoire : Support "voiture"
Montré dans la présentation mais aucune information autour, cet accessoire se révèle plutôt pratique.
Cet accessoire n'a pas de nom, il se présente comme une glissière ou la Switch se place, cachant les boutons, la prise jack et l'accès au port cartouche du dessus et semble se maintenir sur l'appui tête via un système de serrage. Aucune idée si la glissière peut se tourner ou non et jusqu'à quelle largeur de tube nous pouvons accrocher ce support.
En espérant retrouver cet accessoire à la sortie de la Nintendo Switch. Pas forcément dans le pack de base mais au moins présent dans les rayons.
2 em partie : Le hardware.
On le sait, la console intégrera une puce Nvidia Tegra Pascal "custom". L'architecture ARM, sur laquelle se repose la Nintendo Switch, est celle que l'on retrouve sur les mobiles et tablettes. Nvidia est très fier de travailler sur ce projet et nous le fait savoir via un billet sur leur blog avec quelques détails supplémentaires.
On nous parle d'un processeur "évolutif" qui inclus une puce graphique (GPU) basé sur l'architecture des cartes GeForce, une partie logicielle totalement dédié à la Switch avec un moteur physique remanié, de nouvelles librairies et des outils de création avancés. Aussi Nvidia en aurait profité pour créer une API (Interface de Programmation), nommée NVN, spécialement conçu pour la Switch ce qui lui permettra d'avoir une excellente optimisation des futurs jeux.
En parlant d'optimisation, Nvidia travaillerait d'arrache pied sur l'intégration du système d'exploitation de la Switch (OS), avec son GPU, pour augmenter les performances de jeu et l'efficacité de celui-ci.
Niveau spécification "pure" (Flops, RAM etc), il n'y a aucun chiffre communiqué par Big N ou Nvidia.
3 em partie : Aspect social
La cible visée
Nintendo est en plein changement, nous reviendrons plus tard sur le sujet mais il est intéressant de noter que ce changement se fait ressentir dans le public visée par cette présentation.
Pour savoir vers qui Nintendo se tourne avec sa Switch, nous allons étudier deux facteurs dans cette vidéo : Les protagonistes et les titres montrés.
Pour les protagonistes, nous avons eu droit a de jeunes adultes, gamers, bandes de potes et joueurs professionnels. Pas de gamin assisté par le père ou grand-père, pas de soirée malaise devant un jeu de karaoké ou party-game mal fait ou encore d'idées concepts pas du tout travaillées, comme ça été le cas avec le trailer de la Wii U.
Nintendo sait que la "NX" était beaucoup attendu, non pas par le public lambda, mais avant-tout par les passionnés du jeux-vidéo, ceux qui en parlent, qui s'informent, jouent souvent. Ils ont donc montré des jeux typés Gamer comme le prochain Zelda, Skyrim ou le futur Mario. Pour montrer le côté social, ils ont aussi présenté du Mario Kart et du NBA.
Encore plus intéressant, Nintendo semble s'intéresser à un marché dominé par le monde PC : l'E-Sport. Concrètement, montrer cette partie dans la vidéo n'es d'aucun intérêt pour le joueur lambda. L'intérêt se trouve surtout du côté des investisseurs et autres actionnaires puisque l'E-Sport est une énorme machine à sous dont Nintendo semble, peut être prochainement s'investir.
Pour revenir sur les jeux, un autre point intéressant, c'est la présence de titre d'éditeurs tiers, surtout Bethesda. Et un peu plus tard, Big N nous présente la liste des tiers qui travaillent sur la Switch.
Quoi qu'il en soit Nintendo ne nous montre pas un "potentiel", de choses "peut être possibles" de faire avec la machine sans réellement savoir quoi en faire, comme ils ont fait avec la Wii U, mais belle est bien du concret avec un concept plus simple et plus parlant.
Le retour gagnant de l'écran partagé
Continuons dans l'aspect social avec une feature passée inaperçue mais o-combien importante et manquante aujourd'hui : Les jeux à écran partagé.
Il est amusant de voir Nintendo proposer cette fonctionnalité sur une console portable, cela est un beau pied de nez aux gros éditeurs/constructeurs d'aujourd'hui qui, malheureusement, passent souvent à la trappe l'écran partagé (coucou Halo).
Si on veut du vrai multijoueur entre amis, c'est sur Switch que ça se passe et Nintendo le fait savoir. (On peut déjà le faire sur Wii U, c'est vrai, mais tout le monde a déjà oublié cette console).
Le changement chez Big N
Nintendo souhaite absolument faire table rase sur son passé, ses consoles ou les tiers n'étaient pas importants et qui se vendaient uniquement pour des titres phares comme Mario ou Zelda. Fini la communication un peu lunaire ou Nintendo se voyait seul au monde, sur un marché "différent" des autres.
Nintendo compte sur les tiers pour alimenter sa machine en plus de leurs studios de devs pour proposer des titres de qualité à rythme régulier.
Je vous invite à lire cet excellent article du Monde ici qui résume très bien le changement de stratégie chez Nintendo.
Résumé
- Pro Controller pas inclus dans le pack de base
- Bouton "partage" ?
- Pas de croix directionnelle sur les Joy-Con
- Gâchettes cachées lors de l'utilisation des Joy-Con en nomade ?
- Les gâchettes de base pas sensible à la pression exercée
- Le Grip sera aussi une station de charge pour les Joy-Con et s'éteins automatiquement
- Ecran de la Nintendo Switch "Haute Definition", 7" environ
- Capteur de luminosité ?
- Système qui risque de chauffer vu l'imposant trou de ventilation
- Boutons Marche/Arret et volume sur le dessus
- Ecran tactile ?
- Pas de ports USB, SD ou Sim, pas de stylet en vu sur la Nintendo Switch
- Dock pour Nintendo Switch : Ports USB sur la gauche et prise secteur/HDMI sur la droite
- Support de la Switch "voiture" montré mais pas présenté.
- Puce Nvidia Tegra Pascal "Custom"
- Architecture ARM
- Gros travail d'optimisation système et matériel de la part d'Nvidia
- Aucun chiffre sur les specs
- Grand virage stratégique chez Nintendo, qui se matérialise par cette Nintendo Switch
- Public visé gamer, passionné et intéressé
- Investissement de Nintendo dans l'e-sport
- Beaucoup d'importance pour les tiers de la part de Big N
- Le côté multi-joueurs amis mis en avant via le partage d'écran, les Joy-Con détachable et Mario Kart / NBA
Bien évidemment, il ne s'agit que de ma propre analyse, en aucun cas il faut prendre trop au sérieux les informations livrées dans cet article, il peut y avoir des erreurs d'interprétation, des oublies et j'en passe.
N'hésitez pas à donner votre propre avis, ou encore à rapporter des informations que vous avez lus ou entendus quelque part ...
Prévu pour ce 28 octobre sur PS4 Xbox One et PC, Skyrim Special Edition nous délivre aujourd'hui une nouvelle vidéo de présentation live via la chaine youtube gameslice.
Les possesseurs de la version PC avec ses DLC, profiteront sans achat supplémentaire de ce remaster via une simple MAJ. Aussi, la 4k est prévu pour les futurs joueurs PS4 Pro.
Le titre ayant récemment reçu le statut "Gold", signifie que le développement est terminé. Il ne restera plus que pour Bethesda à jouer la carte de la campagne comm.
Pour rappel, ce remaster apporte :
- La compatibilité avec les mods sur les consoles
- Des graphismes et effets remastérisés
- La lumière volumétrique (les "rayons divins")
- Une profondeur de champ dynamique
- Des reflets
- De nouvelles nuances pour la neige et pour l'eau
PC System Specs
Minimum
Windows 7/8.1/10 (64-bit Version)
Intel i5-750/AMD Phenom II X4-945.
8GB of ram.
12 GB free HDD space
NVIDIA GTX 470 1GB /AMD HD 7870 2GB
Recommended
Windows 7/8.1/10 (64-bit Version)
Intel i5-2400/AMD FX-8320.
8GB of ram.
12 GB free HDD space
NVIDIA GTX 780 3GB /AMD R9 290 4GB
Encore un nouveau leaks cette fois-ci de la part de Nintendo of America concernant notre console fantome favorite : la NX
Il faut l'admettre, avoir une rumeur venant du compte twitter officiel de Nintendo of America n'est pas franchement passionnant comparé ce que peuvent apporter n'importe quel YouTubeur random ou encore un menestrel joueur de pipot qui n'a aucun problème d'éthique mais passons, la news peut en intéresser quelques-uns.
Il semblerait donc que, la compagnie Nintendo of America, détiendrait des informations sur la NX mais ne les communiquera pas avant 16h heure française. Une heure judicieusement choisie pour ne pas être en front direct avec un autre mastodonte de la rumeur : Rockstar et son fameux RDR2 à 17h heure française.
Malheureusement, à l'heure actuelle nous n'avons pas plus d'information. Rien sur le hardware, rien sur les jeux, la rumeur a été lancé sans plus de détails.
Cependant nous pouvons noter que ces leakers préfèrent passer par Twitter et non plus par le forum neogaff, à croire qu'ils préfèrent prendre la grosse tête de leur côté. Peut-être s'imaginent-ils être plus important que les autres. (Ou au moins aussi important que chieze. Les fous)
Bien evidemment, nous avons contacté Nintendo et nous avons obtenu aucune réponse ni confirmation de leur part.
Ça a l'air vieux comme le monde mais ça a aussi l'air très sympa. L'anime vaut le coup d’œil ?
J'avais vu à l'époque Le château de Cagliostro (le fameux château qui a inspiré les Castlevania) et de ce que je me souviens l'animation était très bien foutu pour quelque chose d'aussi vieux (1979 au Japon).
Avec la future sortie de la NES mini et accessoirement la Famicom mini au Japon, Nintendo nous livre sur son site quelques photos de leurs entrepôts/archives autour de la Famicom et surtout de l'accessoire Disk System avec notamment, leur dernier exemplaire d'un "Disk Writer" qui permettait de recopier des données sur une disquette ! (plus de détails plus bas dans l'article)
Des images a faire baver n'importe quel collectionneur.
La Famicom classique
L'accessoire Disk System qui permettait d'avoir des jeux de meilleure qualité que sur cartouche. Petite anecdote, Zelda a été à la base créé pour ce périphérique.
Nintendo prends toujours soin de ses affaires.
Du déballage digne du grand Big N ! Il ne manque plus que les gants.
Une fois déballé, le contenu de la boite famicom.
Et ici, l'accessoire Disk System. Une véritable révolution pour l'époque. Cela permettait à la famicom de lire des jeux sur des disquettes de 3" mais aussi de les effacer et de réécrire par dessus. Il offrait aussi plus de RAM et un processeur audio de meilleur qualité ce qui permettait d'avoir une musique plus riche que les jeux sur cartouche.
Et voilà le travail une fois assemblé. Ce périphérique a été un véritable succès au Japon.
Pour ceux qui se demandaient quel été ce bloc blanc dans la boite de la Famicom, la réponse est ici, il s'agit simplement d'un bloc antenne, qui permet à la Famicom d'être relié à une TV.
Il est temps de lancer la machine. Malgré les années, l'ensemble fonctionne toujours aussi bien.
Le fameux Disk Writer. Cette borne été présente dans les grandes surfaces au Japon et permettait d'acheter un jeu et de le télécharger directement sur sa disquette (jeux exclusifs). Aussi, ces bornes offraient la possibilité de copier le contenu d'une cartouche sur sa disquette.
Alors que les jeux disquettes coûtaient environ 24 €, passer par ces bornes pour acheter un jeu coûtait seulement 4€ environs.
Souvenez vous, on en parlait déjà ici, sachez qu'il y a du neuf sur cette histoire, je vous laisse l'article du Monde vous expliquer tout en détail
Voilà qui signe selon toute vraisemblance la fin d’un feuilleton qui a secoué le petit monde du jeu vidéo ces derniers mois : la mort, prononcée mardi 4 octobre, du studio Digital Homicide, et le retrait de la plainte qui l’opposait à onze joueurs coupables, selon lui, de harcèlement.
Tout avait commencé en novembre 2014, quand le vidéaste et influent critique de jeu vidéo Jim Sterling avait sorti le studio américain de l’anonymat en entreprenant de démolir consciencieusement son deuxième jeu, The Slaughtering Grounds.
Prise en main indigente, règles du jeu obscures, animations sorties des années 1990 : The Slaughtering Grounds a tout du projet fauché monté à la va-vite par un développeur amateur. L’histoire aurait pu s’arrêter là si James et Robert Romine, les deux frères responsables du jeu tant décrié, n’étaient pas montés au créneau en répondant à Sterling par une vidéo particulièrement insultante remettant en cause son professionnalisme.
Grave erreur. Critique reconnu, le vidéaste est suivi par 400 000 personnes sur YouTube, autant de fans acceptant mal qu’on s’en prenne à leur héros. Le ton monte, et de bataille entre le critique (qui n’hésite pas à qualifier Digital Homicide de « pire studio de jeu vidéo de tous les temps ») et les développeurs, l’affaire dégénère en guerre totale. En mars 2016, Digital Homicide attaque en justice Jim Sterling pour diffamation, réclamant 10 millions de dollars, et lance dans le même temps une campagne de financement participatif pour payer ses frais de justice.
La goutte d’eau
Mais Digital Homicide n’en a pas qu’après Sterling. Une frange du public du critique multiplie les attaques à l’adresse du studio. Les plus courtois dénoncent sur la boutique en ligne Steam les pratiques des frères Romine, accusés de sortir à la chaîne des jeux extrêmement médiocres. Les plus concernés menacent verbalement le studio et leurs familles, quand ils ne leur envoient pas des colis remplis de matière fécale.
Le mois dernier, après avoir cherché, en vain, le soutien du FBI et du shérif local, les frères Romine se décident à porter l’affaire devant la cour fédérale d’Arizona : ils réclament, outre la divulgation des identités d’au moins onze de leurs détracteurs, 18 millions de dollars de dommages et intérêts. Pour Valve, l’éditeur de Steam, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase : préférant bannir le fauteur de troubles plutôt que de risquer de perdre des clients, le roi de la vente de jeux en ligne retire toutes les productions Digital Homicide de sa boutique, privant de facto le développeur de l’essentiel de ses revenus.
Le feuilleton touche alors à sa fin : alors que quatre jours plus tôt, Digital Homicide envisageait encore de porter plainte contre Valve, le studio demande le 27 septembre un délai au tribunal et le remboursement des frais déjà engagés. Débouté le 30 septembre, James Romine explique le 4 octobre, dans une interview au site TechRaptor, devoir abandonner les poursuites : « Digital Homicide a été attaqué de toutes parts. Le studio n’existe plus. » Il faut dire que la campagne de financement participatif lancée en mars n’aura récolté à ce jour que… 450 dollars, soit 405 euros.
Des jeux à 99 centimes
Comment en est-on arrivé là ? Certes, les jeux de Digital Homicide sont unanimement considérés comme extrêmement mauvais : sur l’agrégateur de notes Metacritic, Devils Share, pourtant le titre le mieux noté du studio, ne récolte qu’un score pour le moins timoré de 3,2/10. Mais ce n’est pas tant leur médiocrité qui leur était reprochée que les pratiques commerciales de leurs créateurs.
Ainsi, Digital Homicide est accusé de détourner le système « Steam Greenlight », qui permet aux projets indépendants les mieux notés par les utilisateurs de rejoindre les rayonnages de la boutique en ligne de Valve. Captures d’écran à l’appui, des joueurs actifs sur les forums de Reddit ou de Steam assurent ainsi que Digital Homicide achète des votes contre des jeux gratuits.
Si les frères Romine se défendent en assurant qu’ils ont derrière eux une communauté de fans, leurs détracteurs expliquent que la plupart ne lancent pas les jeux Digital Homicide pour y jouer, mais uniquement pour débloquer des « cartes Steam ». Des récompenses virtuelles que l’on gagne en laissant tourner des jeux deux ou trois heures, et qui peuvent ensuite être revendues quelques centimes.
Dans la mesure où les jeux Digital Homicide ne coûtent jamais plus de 1 dollar pièce, on imagine sans peine que certains aient ainsi pu rentrer dans leur frais. D’autant que sur son site, le studio propose une compilation de quatorze jeux pour… 99 centimes.
54 joueurs simultanés
On les accuse de saturer le marché avec des jeux médiocres vendus quelques centimes ? Digital Homicide se présente comme le défenseur de la cause des consommateurs : « Nous nous battons, en toute bonne foi, pour des prix plus bas et un marché plus ouvert », explique James Romine à TechRaptor. Des consommateurs qui ne le leur rendent pas vraiment : leur jeu le plus pratiqué, Krog Wars, un clone de l’antique Space Invaders, ne comptait que 54 joueurs connectés à l’heure où l’on écrivait ces lignes.
On trouve étrange qu’un studio composé de deux personnes puisse produire au moins une vingtaine de jeux en deux ans ? Les frères Romine expliquent « travailler dur ». Les joueurs, eux, soupçonnent qu’ils se contenteraient de reprendre les minijeux de démonstration fournis avec certains logiciels de développement, avant de les maquiller avec des graphismes ou des modèles 3D achetés clés en main.
On leur reproche enfin d’avoir changé plusieurs fois le nom du studio, pour mieux tromper la vigilance des joueurs ? Eux expliquent l’avoir fait pour éviter le harcèlement.
Le rôle ambigu de Valve
Et quels que soient les torts de Digital Homicide, il est vrai qu’on peut se demander si Valve est dans son rôle quand il laisse, sur la boutique Steam, les joueurs poster des menaces de mort à l’encontre des développeurs et de leurs familles.
La toute-puissance de Steam, qui peut condamner un studio à mort en décidant de retirer ses jeux de son catalogue du jour au lendemain, pose aussi question. « Nous ne sommes pas de sales types cherchant à censurer les joueurs. Si des gens n’aiment pas nos jeux, ils peuvent laisser une mauvaise critique et demander un remboursement – on ne leur en voudra pas », semble presque s’excuser James Romine, dans son interview à TechRaptor.
Si James Romine a clairement expliqué avoir abandonné les poursuites contre les joueurs qu’il accuse de harcèlement, on ne sait en revanche pas où en est la procédure initiale, celle à l’encontre du vidéaste Jim Sterling. Contactés par Le Monde le 5 octobre, ni Jim Sterling ni les frères Romine n’ont pour le moment donné suite à nos sollicitations.
Par avance, désolé de venir avec un sujet pareil.
Ce ne sera ni marrant, ni informatif. Juste un gros coup de gueule qui finit en ras le bol.
Je préviens, je vais vous raconter un peu de ma vie et ce que je pense du marché de l'emploi.
Si ça vous gène, vous n'avez pas le temps ou vous vous en foutez complet, n'allez pas plus loin.
Pour résumer,
Je n'ai pas eu un super parcours professionnel dans ma vie.
J'ai pas fini un bac pro communication graphique car les débouchés ne me plaisait pas. J'ai tout de même pris le soin de faire une remise a niveau bac histoire de ne pas partir avec rien.
Suite à ça et étant passionné par l'informatique, j'ai passé ces dernières années à faire des "ateliers préparatoires à l'emploi", des pré-formations pour confirmer mon projet de bosser là-dedans, le tout saupoudré d'intérim histoire de pouvoir remplir le frigo ... Bref, j'ai bien attendu avant de pouvoir faire une formation dans le domaine.
Assez longtemps car les formations que je visais sont assez longues, cher et prisées. J'ai essayé avec un premier centre de formation sur Bordeaux, centre de formation ou j'ai fait ma "pré-formation" par ailleurs (qui s'est très bien soldé). Mais pour je ne sais quelle raison, ne m'ont pas sélectionné, malgré les tests réussis. Je ne sais pas, peut être qu'ils s'attendaient à ce que je me batte plus, que je me dédie à leur cause. Je suis allé voir ailleurs car j'ai appris par la suite (et ayant un ami qui a fait une formation là-bas) ben qu'ils racontaient pas mal de conneries, s'organisaient comme de la merde, c'était super mal géré, des promesses, du stress pour rien. Aussi, ils n'avaient pas confiance en moi pour la formation visée (niveau BTS), comme quoi je n'y arriverais pas.
De mon côté je suis allé voir à l'AFPA. Et très sincèrement je suis heureux d'avoir eu un centre qui a enfin confiance en moi. J'ai réalisé exactement la même formation que j'avais demandé à Bordeaux. Elle a débuté l'année dernière. Je me suis pas mal donné pour cette formation, que ce soit niveau thune, temps, déplacements (centre de formation pas dans ma région), même au niveau santé (vu les hébergements AFPA, ceux qui ont connu ça ...). Je me suis pas mal investi et très franchement j'ai adoré tout ce que j'ai appris (et j'ai vraiment beaucoup appris). Technique comme théorique, la vision globale de la formation, l'ensemble ... J'étais loin d'être à la ramasse, je bossais bien. Et ça c'est fini avec le diplôme en poche, les félicitations du jury à la fin de l'examen final, comme quoi je suis un candidat très intéressant, passionné, curieux, tout ce qu'on attendait d'une personne qui sort de ce titre ...
Cette formation c'est fini en avril de cette année. (Ce qui explique aussi mon absence sur Gamekyo durant cette période).
Très heureux de mon taff réalisé pour cette formation, diplôme en poche. Je me dis que j'ai enfin réussi quelque chose dans ma vie, que cela allait me permettre d'avancer au niveau de mes projets, que je n'allais plus me faire chier avec des petits boulots de merde. Erreur (ou horreur, ou les deux) je fais maintenant face au marché de l'emploi et c'est putain de rageant. Entre les faux espoirs, ceux qui ne répondent jamais, même après relances et les jobs approximatifs ou encore qui ne correspondent pas aux compétences ... Je ne m'attends pas à une stabilité de l'emploi (CDI) ou au job qui convient parfaitement à mes compétences, d'ailleurs ce n'est pas ce que je recherche. Mais putain, aujourd'hui encore je me retrouve à chercher du taff. Je n'ai pas eu un seul contrat de travail depuis ma sortie de formation.
D'autres qui pestaient sur la formation on eu du boulot dans leurs régions alors qu'elles sont censées être "moins attractif que la région Bordelaise".
Aujourd'hui ça me déprime. Je n'ai pas réussi à fermer l'oeil de la nuit. Je ne sais absolument pas quoi faire (de plus ?) pour donner envie aux entreprises de m'embaucher.
Pole emploi ne fait pas grand chose. A part me conseiller de mettre mon CV sur leur site pour répondre plus vite aux offres, rien de neuf.
La mission locale recherche des offres sur le site du pole emploi. Ce que je fais très bien chez moi.
Ce qui m'emmerde aujourd'hui, c'est le manque de confiance dans le milieu du recrutement.
Chaque annonce que j'ai vu, même pour des boulots interimaires à la con style répertorier des switchs et routeurs, les recruteurs demandent "2 ans d'expérience minimum".
Ça me rappel exactement ce qu'il s'est passé avec le centre de formation de Bordeaux. Pas moyen de faire mes preuves, de leur montrer que, y a pas de soucis, je peux faire le travail. Je vous rassure, même sur des annonces pareil, je dépose ma candidature en précisant bien que je sais même faire plus donc ce boulot je peux le réaliser. Pas de réponse.
Je remarque aussi que les recruteurs font beaucoup de discrimination à l'embauche. Que ce soit sur l'ethnie, la géolocalisation mais aussi l'âge ou encore le sexe du candidat. J'en viens à penser que les recruteurs sont, pas tous mais en général, peut être de sacrés fils de putes. C'est tout de même dingue de laisser des personnes racistes et ayant autant d'à-prioris être aux commandes du recrutement de sa société. C'est clairement "à la gueule" que les personnes sont recrutées. Et encore, si elles sont contactées, car l'embauche se fait en grande partie par le pistonnage. C'est une malheureuse réalité. Placer le cousin ou le gamin dans la boite plutôt que des personnes plus compétentes ...
Je me suis dit, avant même de sortir de la formation : "Si je ne trouve pas d'activité, pourquoi ne pas la créer moi-même ?". Ça me permettrai de faire la nique aux recruteurs, à la difficulté du marché de l'emploi. Et en plus, j'ai un projet par rapport à ça que j'aimerais réaliser. Mais, il me faut de la thune pour ça (ne vous inquiétez pas, je ne vais rien vous demander ), il faut aussi que je sois sûr que mon projet soit viable. J'ai au moins besoin d'un CDD avant de le réaliser ce projet. Si ça vous intéresse, je pourrais en parler plus en détail dans les commentaires.
Peut être que je m'y prend mal dans ma recherche d'emploi, que je loupe des choses, des méthodologies qui sait. Aussi je pense que j'ai encore pas mal de choses à tenter pour chercher du travail comme le harcèlement d'entreprises. Mais pour l'instant, sur cette situation, je voulais m'exprimer dessus, ne pas le garder que pour moi, et partager. Je veux voir s'il y a des personnes qui sont dans un cas similaire au mien, lire des réactions ...
En attendant de trouver du boulot, je travaille chez moi, histoire de ne pas perdre la main.
Voilà, fin de mon coup de gueule.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, j'ai fait une formation TSGERI (Technicien Supérieur Gestionnaire Exploitant de Ressources Informatiques), ce qui me permet d'accéder à un poste d'Administrateur/Technicien systèmes et réseaux.
Concernant les compétences (ça vient de mon CV) :
- Installation, configuration postes de travail et serveurs environnement Windows et
Linux
- Virtualisation (VMware ESXi Vsphere, Microsoft HyperV, Oracle VirtualBox)
- Exploitation réseau (Mise en place et administration de switchs et routeurs,
câblage, plan d’adressage IP, rédaction dossier d’exploitation, gestion TCP/IPv4
et IPv6) et infrastructures de télécommunication (VoIP, VPN, OpenVPN, pare-feu)
- Administration système Windows Server 2008 – 2012
- Mise en œuvre et exploitation supervision infrastructure (Nagios, EON)
- Applications collaboratives (IIS, FTP, EXCHANGE) - Assistance, conseil et formation des utilisateurs
- Gestion des incidents (tickets, GLPI, OCS Inventory)
- Installation et exploitation bases de données (PostGreSQL, SQL Serveur 2012)
- Installation et exploitation applications métiers (Odoo, EBP, RemoteApp, RDS)
- Protection du système d'information (sauvegarde des données, gestion des accès et droits, mise en place d’application de sécurisation)
- Gestion de projets simples, recherche de solutions informatiques
Digital Homicide, un petit éditeur indépendant, est entré en guerre contre Steam. Il cherche à obtenir les informations personnelles de cent utilisateurs qu'il veut poursuivre en justice pour avoir dénigré ses jeux sur Steam. De son côté, Valve a retiré tous les jeux de l'éditeur de sa plateforme.
L'un des principaux intérêts de Steam est que la plateforme propose de nombreuses options aux joueurs souhaitant donner leur avis sur des jeux. Outre le système d'évaluation (récemment remis à plat), des forums de discussion propres à chaque titre permettent d'échanger ses opinions avec d'autres joueurs. Mais cela ne plait pas à tout le monde.
Crimes et châtiments
L'éditeur Digital Homicide estime ainsi faire l'objet d'une campagne de harcèlement sur la plateforme de Valve, provenant notamment d'un groupe qui se fait appeler « Digital Homicides Poop Games ». Un nom que nous vous laissons le soin de traduire vous-mêmes.
Ce groupe compte une centaine de personnes qui s'étaient réunies afin de faire connaître certains des travers présumés de l'éditeur. Fleurissaient ainsi des accusations de vol d'éléments (textures, niveaux...) provenant d'autres jeux. Des griefs qu'un youtubeur du nom de Jim Sterling avait déjà formulés dans une de ses vidéos, et qui lui ont valu des poursuites judiciaires pour harcèlement, calomnie et diffamation.
L'éditeur y réclame 15 millions de dollars de dommages et intérêts au youtubeur, estimant qu'il porte atteinte à son image, et a tenté de faire financer cette bataille juridique en faisant appel au crowdfunding.
Un des avis de joueur joint à la plainte de l'éditeur
(cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Aux cent membres du groupe « Digital Homicides Poop Games », l'éditeur réclame un total de 18 millions de dollars supplémentaires, toujours au titre des dommages causés à sa réputation. Il faut dire que les utilisateurs du groupe n'y vont pas de main morte avec leur rancœur, certains qualifiant l'éditeur de « spécialiste de l'escroquerie », et l'accusent même de « traquer et harceler quiconque donnant un avis négatif sur un de leurs jeux ».
Valve ne coopère pas
La plainte de Digital Homicide concerne pour l'instant cent utilisateurs anonymes, désignés par leur pseudonyme. L'éditeur a donc contacté Valve afin d'obtenir les identités qui se cachent derrière ces pseudos. Première réponse de Valve : le retrait de l'ensemble des titres édités par Digital Homicide de la plateforme, y compris ceux qui étaient encore en attente d'un feu vert sur Steam Greenlight.
La firme de Gabe Newell s'est également fendue d'un petit commentaire sur les raisons de ce retrait. Doug Lombardi, le porte-parole de la société, a expliqué à TechRaptor que « Valve a mis fin à ses relations commerciales avec Digital Homicide, parce qu'ils sont hostiles envers les clients de Steam ». Il y a donc peu de chance que Valve coopère avec Digital Homicide sans y être forcé par la justice.
Un petit article pour vous poser une question.
Je connais Berserk depuis un bon bout de temps, avec les mangas papiers, j'étais arrivé jusqu'à ce que (spoil) Guts coupe son bras avec son épée cassé (je crois). Seulement voilà, ça fait tellement longtemps que je n'ai plus lu de Berserk et avec l'arrivé prochaine du Muso, j'ai envie de m'y remettre. Repartir de zéro. Donc je voulais savoir, d'après vous les fans, vers quel média m'orienter ...
Je retourne lire les scans ? Je mate les anciens animes ? Le nouvel anime en 3D dégueulasse (franchement celui ci je n'ai pas du tout envie)?
Alors qu'une équipe de fan travaillait sur le remake de Resident Evil 2, Capcom, de son côté, a officiellement annoncé le développement de ce même remake. Le projet des fans abandonné, ils décident tout de même de créer un nouveau titre avec l'aide de Satoshi Nakai : ancien concepteur de Capcom ayant travaillé sur Resident Evil 0 et Code Veronica.
Daymare: 1998
Invaders, le studio derrière Daymare: 1998, annonce que le jeu comportera plusieurs personnages ayant chacun un scénario propre ainsi qu'une multitude de références à la culture pop des années 90 et des films d'horreur. Aussi, il est important de noter que "vos cauchemars préférés des survivals horreurs seront de retour" comme les points de sauvegardes limité. Et enfin, il y aura bien plus d'ennemis que de munitions.
Daymare: 1998 est annoncé sur PC, sans aucune date de sortie pour le moment.
Alors que Nintendo tue un tas de fan game à tour de bras (AM2R, Pokémon Uranium, No mario's Sky), même jouer à un fan-game sur YouTube vous est interdit, du côté de chez Sega, c'est totalement l'inverse, voyez par vous-même :
Chez Big N
Salut premydaremy, Dû à des déclarations Copyright, votre vidéo YouTube a été bloqué ...
Chez Sega
Bon, c'est l'heure d'appliquer la protection du droit d'auteur ...
On rigole, continuez a faire cet incroyable boulot, fans de Sonic