Comme je l'ai déjà expliqué sur Rétro Gamekyo ce tantôt, après la review de Doom, j'avais envie d'air, de changer d'ambiance, de voir de la couleur, de me calmer les nerfs. Non parce que, jouer à Doom pendant plusieurs jours en level de difficulté max, qu'on soit joueurs accomplis ou non, ça a tendance à foutre les nerfs en pelote bien compacte. Il faut sans cesse réagir à 100 à l'heure, aller de gauche à droite ou inversement, balancer 120 cartouches de fusil à la minute, supporter les hurlements des démons qui en mode Nightmare sont vraiment, mais alors vraiment coriaces et nombreux, le tout sous une bande-son ô combien fantastique mais aussi tellement oppressante.
Bref, me fallait de la guimauve, de la douceur, de la praline saupoudrée de miel et fourrée à la crème, bordel de merde !
C'est pour ça que j'ai décidé, tout d'abord de me concentrer sur une review bien moins exigeante en terme de contenu, et aussi de me consacrer à un jeu plus léger, moins violent, pas forcément plus reposant (quoique le jeu qui nous intéresse aujourd'hui est d'une facilité hors du commun, ce qui le fait pêcher d'ailleurs) mais en tout cas qui ne me condamne pas à passer d'horribles nuits blanches à trembloter de peur dans mes draps
Et comme on s'en tape les burnes sur le plancher de ma life, on va de suite parler du jeu ^^ .
1992, la Gameboy cartonne, du haut de son petit processeur 8-bits Custom cadencé à 4,19 Mhz (bâti sur la base d'un Sharp x80), et malgré la faiblesse générale de son hardware face notamment aux brutes de technologie qu'étaient ses rivales : la GameGear de SEGA et la Neo Geo Pocket de SNK, la petite brique grise de Nintendo bénéficie de la créativité de développeurs japonais tout à fait stupéfiante. Créativité, donc, qui donnera naissance à des jeux savoureux en contournant ingénieusement la question des graphismes, chose que l'ont retrouve aujourd'hui dans la scène indé mais qui se perd cruellement parmi les gros studios.
HAL Laboratory, connu dans les années 80 comme étant un spécialiste du MSX (et ayant pondu quelques jeux mémorables dessus tels : Eggerland Mystery, Tetsuman ou encore Dragon Attack ) deviendra studio first party de Nintendo fin 1990. Sous la houlette de deux monsieurs (Satoru Iwata, fondateur du studio, aujourd'hui CEO de Nintendo, et bim, ainsi que Masahiro Sakurai, concepteur de la série Super Smash Bros., et re-bim !) aujourd'hui bien connus naquit leur première (et seule ?) véritable mascotte : Kirby. La petite chose rose, en réalité à la base s'étant vêtu d'un blanc immaculé sur les artworks (en soi, ça ne dérangeait personne puisque la Gameboy ne gérait pas la couleur) est on ne peut plus simple à représenter. Faite un cercle, au centre, deux points pour les yeux, un sourire, et vous avez Kirby. On se pèterai presque un neurone crayon en main, dites-donc.
L'univers du jeu est particulièrement tendre et enfantin, quoique parfois un peu décalé, volonté de Sakurai de rendre le jeu très accessible aux plus jeunes (même d'un point de vue gameplay, on y revient). Ainsi, dans le monde merveilleux de Dream Land, le Roi Dadidou (Dedede en VO) chourave toute la bouffe d'une fête que les habitants avaient prévu de faire. Et comme y'en a un en particuliers qui est un peu un goinfre, il se vénère et décide d'aller tout seul comme un grand péter sa tête à l'espèce de pingouin géant impérial. Faut pas le faire chier le Kirby. L'aventure prend la forme d'un jeu de plate-forme à scrolling horizontal tout ce qui a de plus classique, le genre de truc que Nintendo gère à la perfection. Mais tout de même, Kirby's Dream Land présente quelques originalités. Tout d'abord, les pouvoirs spéciaux du personnage (qui prouvent qu'on peut avoir un design vraiment paresseux et simpliste à l’excès et pourtant quelques choses à faire valoir !) : avaler tout cru ses opposants et les recracher sous forme d'étoile magique pour en éliminer d'autres ; et la capacité d'ingurgiter de l'air pour gonfler et ainsi planer sur quelques lieux ! Hop, les bases de la série Kirby sont posées, la capacités de s'accaparer les pouvoirs des ennemis (et ainsi donnant un skin différent à Kirby) ne sera proposée que dans le second jeu de la saga : Kirby's Adventure sur NES en 1993. Pour autant, Kirby est bien surprenant et pourra cracher les flammes si il avale un plat de curry, il pourra ventiler à fond les ballons pour dégager le passage en avalant une feuille magique, et enfin, il pourra devenir invulnérable en gobant une sucette. C'est simple, ça varie les effets graphiques, ça donne une touche comique au soft, ça fonctionne.
La plupart des ennemis se contentent de faire des rondes sur un chemin pré-défini, mais d'autre comme les Sir Kibble sont capables de nous balancer des boomerangs à la manière des Frères Marto dans Mario. Aussi, à chaque moitié de niveau se présente à nous un mid-boss, suivit naturellement d'un boss. Pas bien compliqué à vaincre, déjà parce que la stratégie pour en venir à bout est vite assimilable, et puis parce que tout dans leur comportement font qu'ils ne sont pas très dangereux (peu agressifs, animation qui nous laisse le temps de réagir...). Kirby dispose de 6 points de vie, bien plus qu'il n'en faut à un joueur un peu maladroit pour finir le jeu haut la main. Alors pensez bien, pour un joueur qui a l'habitude de speed runner un Mario ou un Sonic...
La construction des niveaux est très simple, et malgré les capacités de vol de Kirby, peu de zone bonus réellement bien cachées sont présentes, des cadeaux sont tout de même disséminés ça et là. Mais on est clairement en dessous du niveau des warp zone de Super Mario Bros. De ce fait, le jeu ne propose que peu de challenge, en plus du fait qu'il n'y a que 5 niveaux (ma foi plutôt joli, la plage, la forêt, toussa, et même un petit clin d’œil à un autre jeu de HAL sur NES: Adventures of Lolo avec le level Castle Lololo), et si vous êtes malins, vous pouvez même esquiver la plupart des monstres en planant, gonflé comme une baudruche. La durée de vie en pâti sévèrement, compter 30 à 45 minutes pour les joueurs les moins adroit/expérimentés, les enfants donc, mais moins de 25 minutes pour nous autres, montre en main !
Techniquement, le jeu est fort soigné, avec des décors charmants et des pixels bien assemblés pour construire un univers tout rond et agréable à parcourir. Tout est prétexte à nous filer des paillettes dans les yeux, comme quand on a 6 ans le soir de Noël... Des arbres au visage rigolo, Kirby qui gonfle grossièrement quand il gobe de l'air, les sales trognes des Waddle Dee, les mimiques du Roi Dadidou... Du coup, on regrette l'absence de couleurs sur Gameboy, chose corrigée dés l'arrivé de la série sur NES (sa suite, donc, en 1993 est une perle de graphisme, pourtant à cette époque, la NES est déjà considérée comme artefact préhistorique !). À aucun moment l'écran n'est surchargé de pixel, l'action reste claire, on comprend au premier coup d’œil dans quel genre d'environnement on se trouve, tout est très abordable et on navigue avec plaisir aux côtés de notre petit Kirby.
Côté son, on salut le travail de Jun Ishikawa qui a composé des pistes aujourd'hui cultes comme le thème du Roi Dadidou, Fountain of Dream ou encore Green Green qu'on peut désormais écouter en version moderne dans les OST de Super Smash Bros. Quand bien même la Gameboy est plus ou moins reconnue comme un hardware avec une mauvaise capacité sonore (sauf sur de rares jeux, créés par des génies et poussant la technologie dans ses derniers retranchements), Kirby's Dream Land ne réclame pas non plus toute une symphonie. Le tout reste donc cohérent et agréable à écouter, à la hauteur des capacités du processeur sonore, donc.
Ahlala, Kirby... Kirby's Dream Land n'est pas un mauvais jeu, ô que non ! C'est juste qu'il est effroyablement court, même si vous êtes manchot... À trop vouloir rendre son jeu accessible, Sakurai l'a rendu ridiculement simpliste. Pourtant, y' des idées, Kirby a un potentiel énorme avec ses pouvoirs différents (potentiel qui va exploser dans sa suite, je ne le répéterai jamais assez). Mais en l'état, le soft est trop simple pour être catalogué comme très bon jeu. On sent que ce n'est qu'un prémisse, un coup d'essai afin de tâter le terrain et permettre à l'équipe créatrice de prendre confiance pour étoffer le gameplay et doter la série de nouveaux éléments distinctifs. Rétrospectivement, on peut se dire que ce n'est pas si grave, parce que par la suite on sait ce que devient Kirby. Mais à l'époque, difficile d'être conciliant devant un jeu qui promet tant mais qui fait tout dans la simplicité la plus totale ! C'est ce qui lui a fait perdre énormément de point, tandis qu'aujourd'hui, la plupart des joueurs l'ayant connus à l'époque (ou pas) le regarde avec tendresse et indulgence.
Pourtant, son univers accrocheur porté par cette petite boule si attachante a sauvé les meubles, et avec brio, puisque aujourd'hui, on l'estime à prêts de 5 millions de copies vendues !
Et pourtant, ce jeu si simple au succès commercial plus que satisfaisant n'a pas été enfanté dans la sérénité absolue. Ce n'est pas Duke Nukem Forever, mais quand même. Tout d'abord, il faut savoir qu'un certain Shigeru Miyamoto (mince, ce nom me dit quelque chose... ), à l'époque déjà très présent dans tout ce que faisait Nintendo tant niveau software que hardware, voulait que le personnage soit jaune. Sakurai obtenu gain de cause (enfin merde, c'est son jeu après tout ) et Kirby devint rose, mais dans le doute, Nintendo of America avait diffusé des artworks de lui avec des variantes de gris, histoire de convenir à tout le monde ; Ou p'tet pas.
Aussi, Kirby n'a pas toujours était destiné à prendre la forme d'une couille de chewing-gum tel qu'on le connait. En réalité, la forme ronde du modèle 2D de base était pour l'équipe de développement idéale pour tester diverses choses dans la programmation de leur jeu, ce n'était qu'un simple outil de test ! Mais l'équipe s'est tellement accroché à cette petite bouille ronde qu'elle finit par devenir définitive. De plus, le jeu devait portait le nom de Twinkle Popopo et Kirby devait s’appeler tout simplement Popopo. Plus tard, le concept des étoiles magiques fit son apparition et le jeu fut renommé Hoshi no Kirby (en français : Kirby des étoiles, carrément !).
En bref, une belle petite histoire intéressante qu'est celle de ce Kirby's Dream Land, si on s'attarde un minimum aux travers et dessous des développements de nos chers jeux vidéo.
Aller, un dernier récap' et je vous prépare un diabolo fraise ? Kirby's Dream Land est joli tout plein, il pose des bases intéressantes mais ne creuse cruellement pas assez. Il est bien trop simple, n'offre aucun challenge et pourtant, on sent tout le poids d'une terrible contradiction. Le jeu a des idées, mais il n'est pas un grand jeu. C'est la première pierre d'une belle série, et le second soft de la-dite série sera bien plus convainquant car d'avantage ambitieux.
~ ~ ~ ~
Et voilà, c'est la fin de notre week end spécial Gameboy!
Nous espérons que les review que vous y avez trouvées étaient chouettes à lire et que vous avez découvert ou redécouvert des jeux sympathiques en notre compagnie! Bon ok, sauf pour cette dauberie infâme de Yoda Stories, mais j'étais bourré ce soir là, j'ai fais l'con et tout... longue histoire
Merci d'avoir jouer le jeu et d'être venu partager vos souvenirs, merci de votre soutient (à chaque fois le nombre de like qu'attrapent nos articles nous étonne et nous encourage!), et merci de votre passion et de votre courtoisie!
À très bientôt pour de nouvelles péripéties dans le monde fascinant du rétro gaming!
On ne peut pas reprocher a un jeu dora d'etre "trop facile", le jeu est d'une difficulté adaptée au type de joueur ciblé. Ce jeu est certainement le plus plaisant de la game boy, les musiques sont mythiques ! je cherche a me le procurer en ce moment mais pas a plus de 5e, pas fou la bete ^^
Un très bon titre de la GB, super facile et court c'est vrai mais le principe des Kirby c'est d'être des jeux de plateforme pour débutant afin d'initié au genre notamment les plus jeunes. Mais pour le coup c'est pour de sacré débutant^^" , heureusement les Kirby suivant sont un peu moins facile (un peu).
En tout cas bravo pour ton test on s'en que t'es un passionné.
thomass2 certes, mais un jeu "pour enfant" n'est pas dispensé de proposer plus de 45 minutes de jeu, surtout au prix de 300 balles (minimum) la cartouche à l'époque.
Ce jeu réveille des souvenirs lointains en moi, rien que la bouille du boss arbre me file presque les larmes aux yeux ^^
Comme tu dis le jeu est trop facile et c'est dommage.. mais il restera à jamais un icone de la GameBoy.
Très bon test et belle façon de clôturer ce "spécial GameBoy" Bravo
Thomass2 certes, mais un jeu "pour enfant" n'est pas dispensé de proposer plus de 45 minutes de jeu, surtout au prix de 300 balles (minimum) la cartouche à l'époque. ^^
oui mais là tu me parle de durée de vie et plus de difficulté...
Anakaris toi et docteurdeggman vous avez deux façon de travailler différente je pense, toi tu te concentre plus sur le texte tandis que Doc image plus ses review. Attention je dis pas que c'est mieux ou moins bien, mais en tout cas c'est complémentaire et c'est toujours très agréable à lire
Encore une putin de review, décidemment...et dans mon top 5 ce Kirby que je ressort sur mes comms GB.
Par contre, étonné de la valeur nostalgique...69 % seulement ? C'est LE jeu que tout le monde a du toucher 1 fois dans sa vie...la cartouche a tellement tourné dans la cour d'école...avec le Kirby Pinball sans déconner.
Les musiques sont justes excellentes pour de la GB, par contre se retaper tout les boss (exemple typique des bons jeux casse couille, t'arrives a la fin, tu dois te retaper TOUT les boss avant le boss final....) c'était pas sympa mais ce Kirby mérite plus de 90% en valeur nostalgique.
ninjacondor le second Dream Land sur Gb mérite entre 80 et 90%, il est bien plus complet, fait l'exploit d'être encore plus mignon et est aussi plus long.
Comme j'ai dis, ce qui m'a le plus chagriné dans Kirby 1, c'est sa nature très (trop) courte, et le fait qu'on sentent qu'il y ai déjà plein d'idée mais tellement peu exploitées (difficile d'exploiter beaucoup des idées dans un jeu qui dure 1h ). En soi c'est un jeu très agréable à faire, mais comparé au reste de la série, et surtout aux autres jeux de plate-forme proposés par la Gameboy, j'aurais eu du mal à justifier la note de Kirby 2 si Kirby 1 se tape déjà 90%, tu me comprend?
anakaris Yep, assez d'accord sur le fond mais il ne faut pas oublier qu'en se plaçant dans le contexte d'époque, Kirby avait trois arguments de poid en sa faveur :
1 - Le format GB bien répandu et donc permettant une meilleur visibilité de la licence.
2 - La licence Kirby explose à ce moment là.
3 - Le jeu est hyper intuitif, "simple"/traditionnel (le savoir-faire de Nintendo quoi) et se veut accessible par le plus grand nombre.
Après, je reste OK pour les autres épisodes mais bon 69% mec...69 ! même pas 70 mais après c'est peut-être parce que c'est une grosse licence de Nintendo (je veux dire, à l'époque on se posait pas la question) qu'il mérite autant de % maintenant.
gunotak Dream Land II tu veux dire? Pas sur, je vais peut-être m'intéresser à Kirby's Adventures sur NES avant (qui est sorti en 93) et seulement ensuite Dream Land II (94)
C'est essentiel de respecter cet ordre car dans l'opus NES y'a des ajouts très importants de gameplay qui sont fait et qui vont pleinement donner son identité à la série, donc vaux mieux commencer par le commencement pour bien évaluer les jeux suivant
Mais je voulais juste vous faire voir un truc: je sais pas si vous accordez de l'importance à ce genre de site, mais voyez plutôt, le 69% de Anakaris n'a pas l'air si "méchant" et "sous-évalué" que ça quand on regarde ici
asmita Woow, on dirait que même les magasines Nintendo officiels de l'époque ont été encore plus dur que moi sur ce jeu , pourtant ils sont connus pour être assez (trop?) conciliant, surtout sur les Mario.
j'en garde de très bons souvenirs, même si c'est vrai qu'il était très court et présentait peu de challenge, mais le charme de Kirby faisait oublier tout ça
félicitations pour ce week end spécial qui fut vraiment très très intéressant et pour vos articles qui sont toujours très bons
Asmita bah c'est normal la moitié des testeurs te disent eux aussi que le jeu est "trop facile" . Les gamers qui ont fait les tests n'ont pas compris que ce n'etait pas un jeu pour gamer et donc le descendent gratuitement...
asmita Naaaani ?
De quel genre de site tu parles ???
Et je ne discute pas son 69, surtout que Kirby personnellement, je m'en fous.
Juste que je suis nul à ce genre de jeu et que quand j'étais gamin je m'étais bien amusé dessus. Donc le côté facile/court, ça m'arrangeait finalement.
En tout cas bravo pour ton test
Comme tu dis le jeu est trop facile et c'est dommage.. mais il restera à jamais un icone de la GameBoy.
Très bon test et belle façon de clôturer ce "spécial GameBoy"
oui mais là tu me parle de durée de vie et plus de difficulté...
J adore ^^
merci pour vos reviews les gars
C'est tellement bon de voir ça en plein milieux de cette saloperie de guerre PS4 vs X1 qui fait chier TOUT LE MONDE
Par contre, étonné de la valeur nostalgique...69 % seulement ? C'est LE jeu que tout le monde a du toucher 1 fois dans sa vie...la cartouche a tellement tourné dans la cour d'école...avec le Kirby Pinball sans déconner.
Les musiques sont justes excellentes pour de la GB, par contre se retaper tout les boss (exemple typique des bons jeux casse couille, t'arrives a la fin, tu dois te retaper TOUT les boss avant le boss final....) c'était pas sympa mais ce Kirby mérite plus de 90% en valeur nostalgique.
Comme j'ai dis, ce qui m'a le plus chagriné dans Kirby 1, c'est sa nature très (trop) courte, et le fait qu'on sentent qu'il y ai déjà plein d'idée mais tellement peu exploitées (difficile d'exploiter beaucoup des idées dans un jeu qui dure 1h
1 - Le format GB bien répandu et donc permettant une meilleur visibilité de la licence.
2 - La licence Kirby explose à ce moment là.
3 - Le jeu est hyper intuitif, "simple"/traditionnel (le savoir-faire de Nintendo quoi) et se veut accessible par le plus grand nombre.
Après, je reste OK pour les autres épisodes mais bon 69% mec...69 ! même pas 70
C'est essentiel de respecter cet ordre car dans l'opus NES y'a des ajouts très importants de gameplay qui sont fait et qui vont pleinement donner son identité à la série, donc vaux mieux commencer par le commencement pour bien évaluer les jeux suivant
Mais je voulais juste vous faire voir un truc: je sais pas si vous accordez de l'importance à ce genre de site, mais voyez plutôt, le 69% de Anakaris n'a pas l'air si "méchant" et "sous-évalué" que ça quand on regarde ici
félicitations pour ce week end spécial qui fut vraiment très très intéressant et pour vos articles qui sont toujours très bons
De quel genre de site tu parles
Et je ne discute pas son 69, surtout que Kirby personnellement, je m'en fous.
Juste que je suis nul à ce genre de jeu et que quand j'étais gamin je m'étais bien amusé dessus. Donc le côté facile/court, ça m'arrangeait finalement.