« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
20 Minutes 5/5
C’est du grand cinéma que nous offre Martin Scorsese en même temps qu’une réflexion sur l’Histoire américaine sublimée par une partition on reconnaît parfois la patte du regretté Robbie Robertson.
Cahiers du Cinéma 5/5
Jamais peut-être Scorsese n’avait filmé un milieu et ses personnages de manière si organique, littérale et viscéralement tragique.
Ecran Large 5/5
Avec "Killers of the Flower Moon", Martin Scorsese démultiplie la puissance du cinéma et confirme un peu plus la préciosité du sien. Un chef d'œuvre.
La Voix du Nord 4/5
Évacuons la durée : presque 3 h 30. Disons que la mise en place prend son temps. Pour le reste, quelle maestria ! Martin Scorsese, 80 ans, vétéran toujours vif, prend le prétexte de l’or noir pour décrire l’une des terrifiantes fondations de l’Amérique moderne.
Le Figaro 5/5
Il fallait le faire. Scorsese a réussi l’équivalent du grand roman américain sur un écran. À Cannes, c’est comme s’il avait voulu montrer à tous les prétendants ce qu’était le cinéma. Le public en est resté bouche bée. Les autres metteurs en scène ont poussé un ouf de soulagement: Killers of the Flower Moon n’était pas en compétition.
Le Parisien 5/5
Ce récit ahurissant et réel, qui pointe comment les Blancs ont participé au massacre des autochtones, le cinéaste le transforme en thriller de 3h17, à sa manière : images époustouflantes, plans sidérants, rythme infernal, acteurs dans des performances de haut niveau, une totale cinématographique : grandiose !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération 5/5
Le film relit patiemment l’histoire des Etats-Unis sous le prisme de la duplicité et de la bêtise d’un all-American boy revenant de la guerre et même pas en héros, saccageant aussitôt tout ce qu’il touche, [...] faisant de "Killers of the Flower Moon" le vaste roman des origines d’une nation ne pensant pas à mal, mais le répandant partout.
Première 5/5
Prenant à rebrousse-poil les conventions du film-dossier – au prix d'ellipses parfois brutales – Scorsese se concentre sur les scènes a priori anti-spectaculaires, qu'il mène vers des sommets de tension : face-à-face domestiques dans la pénombre, conversations ponctuées de présages de mort, échappées contemplatives à la limite de l'abstraction…
Rolling Stone 5/5
Tout est captivant: les décors (naturels ou reconstitués à la cuillère près), les costumes (signés Jacqueline West), le prodigieux montage (merci Thelma Schoonmaker, trois fois oscarisée chez Scorsese), la photographie du Mexicain Rodrigo Prieto.
L'Obs 4/5
Un chouia trop long, « Killers… », de ses passages façon cinéma muet à son génial épilogue, est empreint d’une sagesse dans sa mise en scène qui n’a d’égale que la monstruosité asphyxiante de ses protagonistes blancs aux costumes trop propres et la puissance de sa charge contre le racisme génocidaire des pionniers.
Le Monde 4/5
Une fresque remarquable sur les terres d’un génocide, miroir de l’histoire de l’Amérique.
Le Point 4/5
Minutieux, épique et cruel, ce glaçant récit true crimes est d'ores et déjà un classique.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Dans la veine de "The Irishman", Scorsese livre un nouveau film “monumental” : une fresque envisagée comme une tragédie antique.
Sud Ouest 4/5
Une fresque un peu longue, mais dense et grandiose.
Télérama 4/5
Malgré sa durée un peu décourageante, Killers of the Flower Moon est un film captivant de bout en bout, sans être électrique ni survolté, comme Casino. Son rythme fluide et enveloppant le rapproche d’un classicisme à la Clint Eastwood.
L'Humanité 2/5
Malgré une distribution haut de gamme, le film s’englue dans les nappes de pétrole de l’Oklahoma.
J'avoue 3h40 bordel... C'est trop dur... Surtout au cinéma. Encore chez toi tu peux morceler.
Même si Scorsese, Di Caprio, De Niro,... Tu peux pas être déçu. Les critiques montrent clairement que le résultat est à la hauteur mais bon...
Après y a quand même ce côté qui est dans l'ère du temps de vouloir taper systématiquement sur le blanc capitaliste... On en revient au sacro saint wokisme.
Les nations se sont construites sur des cendres on l'a tous compris. Je ne sais pas si c'est nécessaire de "remuer la m*rde". Donc voilà j'ai un petit problème avec le sujet du film mais je le regarderais quand même.
le vaste roman des origines d’une nation ne pensant pas à mal, mais le répandant partout.
C'est de bonne guerre
Même si Scorsese, Di Caprio, De Niro,... Tu peux pas être déçu. Les critiques montrent clairement que le résultat est à la hauteur mais bon...
Après y a quand même ce côté qui est dans l'ère du temps de vouloir taper systématiquement sur le blanc capitaliste... On en revient au sacro saint wokisme.
Les nations se sont construites sur des cendres on l'a tous compris. Je ne sais pas si c'est nécessaire de "remuer la m*rde". Donc voilà j'ai un petit problème avec le sujet du film mais je le regarderais quand même.
Il n’a pas fait semblant le Martin. J’espère quand même qu’une entracte est prévue
DiCaprio + Scorsese + De Niro j'y vais les yeux fermés
Le trio magique
Donc à mon avis, il n'a pas eu le choix.