« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
20 Minutes 5/5
Quel film ! On pourrait croire qu’à 76 printemps, Steven Spielberg aurait tout dit et tout montré. The Fabelmans prouve qu’il en a encore sous le capot et pas qu’un peu.
Bande à part 5/5
Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe son film le plus intime. Un récit initiatique autant qu’un hommage vibrant à sa famille et au cinéma. Humaniste et bouleversant.
Cahiers du Cinéma 5/5
Il y a plus d’une raison d’être ému aux larmes devant The Fabelmans, qui n’est pourtant pas plus un mélo qu’il n’est suspect de chantage à l’émotion (...) Au soir de sa carrière, Spielberg, comme beaucoup de ses personnages avant lui, rentre à la maison.
CinemaTeaser 5/5
Un très grand film.
L'Humanité 5/5
The Fabelmans n’est pas tant une œuvre- testament qu’un film matriciel, une autobiographie intime et sensible où Steven Spielberg raconte sa famille, son enfance ballottée de l’Ohio à l’Arizona puis en Californie.
La Voix du Nord 5/5
Le réalisateur star évoque frontalement son enfance, ses parents, sa passion pour le cinéma. Une vraie mise à nu, inédite. Ce faisant, il signe un film universel et bouleversant sur une dislocation familiale. Et sur la puissance révélatrice des images. Magistral.
Le Figaro 5/5
Le trente-quatrième long-métrage du cinéaste américain est l’un de ses plus beaux. Le plus personnel aussi, puisqu’il y retrace son enfance, sa découverte du cinéma et la séparation de ses parents.
Le Journal du Dimanche 5/5
Un jeu de miroirs aussi jubilatoire que généreux grâce à une narration d’une fluidité absolue, une interprétation tout en subtilité, une mise en scène qui tutoie l’excellence, composant des plans sublimes pour déclarer son amour à sa famille et dire la nécessité de croire en ses rêves.
Le Monde 5/5
Cette matière intime, Spielberg l’enrobe chaleureusement dans les termes d’un classicisme magnifique, avec un sens du détail saillant et une sensibilité tragi-comique.
Le Parisien 5/5
Un magnifique récit autobiographique.
Le Point 5/5
Porté par mille idées de mise en scène et un casting attachant, cette odyssée intime frappe en plein cœur.
Fiches du Cinéma 5/5
Film-somme - film-source -, explication de texte de l’œuvre de Spielberg, autobiographie à peine déguisée, The Fabelmans est une splendeur.
Les Inrockuptibles 5/5
Voilà la grande leçon truffaldienne – le cinéma comme art du “mensonge organisé”, opposé à la “vérité en vrac”, l’artifice au service de l’émotion – que le film va s’évertuer à appliquer et à mettre en crise, par une dialectique follement poétique.
Libération 5/5
On aura rarement vu un tel concentré de lumière et de tristesse mêlées dans un seul film, qui se regarde yeux mouillés et sourire aux lèvres. On savait le cinéma de Spielberg personnel depuis les débuts, mais on n’aurait jamais pu imaginer le degré d’intimité auquel soixante ans de films le mèneraient, capable de livrer ainsi une histoire-monde, simple comme bonjour, pleine de vie, de rebondissements, encapsulant ses souvenirs sans une once de mièvrerie, mais avec une bonne dose de malice.
Marianne 5/5
Steven Spielberg aura attendu ses 76 ans pour prendre à bras-le-corps les traumatismes de sa jeunesse et la naissance de sa vocation artistique. « The Fabelmans », fiction inspirée, cocasse et émouvante, nous offre de nombreuses clés pour revisiter son œuvre colossale. Bienvenue dans l’intimité d’un grand cinéaste.
Première 5/5
Et puis surtout, comme souvent dans la vie, il faudra s’en remettre à l’expertise de John Ford. Guest-star de l’épilogue et auteur ici d’un cours magistral aussi express qu’anthologique, il révélera au gamin que le cinéma est avant tout un art du déséquilibre et qu’il n’y a bien que les idiots pour placer la ligne d’horizon au milieu du cadre. Et s’il fallait vraiment trouver une morale The Fabelmans ça serait probablement celle-là.
Rolling Stone 5/5
Malgré le lourd poids sur ses épaules, Gabriel LaBelle brille par son jeu sobre, parfois traversé d’euphorie créative ou d’accès de colère. Entre passion et mélancolie, Michelle Williams et Paul Dano sont d’une justesse épatante, tout comme Seth Rogen, dans un rôle pourtant ingrat mais crucial dans la narration.
Transfuge 5/5
Rarement un cinéaste aura réussi le pari de remonter avec un tel bonheur aux origines de son désir de cinéma, de son goût pour le jeu et la vie en plus grand, plus large, plus modelable.
Télé Loisirs 5/5
Cette œuvre magnifique est à la fois un hommage au septième art qui ne pourra que faire vibrer les cinéphiles, et une exploration impressionniste et déchirante du passé fondateur d'un artiste génial. Superbe.
Télérama 5/5
Dans cette famille abritant un secret, l’apprentissage du fils futur cinéaste prend des allures romanesques. Le réalisateur raconte sa jeunesse. Magistral, et bouleversant.
Franceinfo Culture 4/5
Une des plus belles réussites de The Fablemans réside dans la transmission de la passion d’un gosse pour le cinéma. Elle s’étend à la réalisation précoce d’une foule de courts métrages amateurs de plus en plus sophistiqués, montés avec les moyens du bord, inventifs et enthousiastes.
L'Obs 4/5
Dans « The Fabelmans », le cinéaste reprend des anecdotes mille fois racontées, les repeint aux couleurs de la mélancolie, et les livre sur une musique aux petits oignons de John Williams et des images superbes de son chef op, Janusz Kaminski.
Marie Claire 4/5
Mi-fresque d'époque (ah, la Californie des années 60 !), mi-retour aux origines, The Fabelmans aurait-il, sous ses airs guillerets, une ambition de film testamentaire ? On y songe avec cette confession du cinéaste de 76 ans.
Paris Match 4/5
Intime et brillant.
Sud Ouest 4/5
Steven Spielberg , à 76 ans, fend l’armure : il propose un portrait de ses parents qui évite tout pathos, reste sans cesse arrimé à la joie et la douceur.
ça fait longtemps que je n'ai pas apprécié un film de Spielberg donc je ne pensais même pas à voir celui-ci mais tous les avis hyper positifs m'ont donné envie de me le faire finalement