description : C'est un groupe avec des vidéos d'analyse (exemple : Exitium Film, Game Next Door, La chaîne de P.A.U.L, Bolchegeek, Meeea, Calmos, NostalGeek, Very Own Sun ect) sur les jeux vidéo et le cinéma, principalement, mais aussi d'autres sujets qui pourrait nourrir des réflexions qui entourent "les jeux vidéo" avec une approche "fun".
AUCUNE vidéo (la partie texte en italique inclus) n'est faite par les membres de ce groupe.
De nos jours, le nom de Canal+ ne fait plus particulièrement rêver.
Et oui, durant les années 90, Canal+ était LA chaîne du cinéma. Pour les heureux possesseurs d'un décodeur, la chaîne cryptée proposait la diffusion de films inédits sur toutes les autres chaînes du paysage audiovisuel français dans leur format d'origine et en version originale (comme, au hasard, Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir de George Lucas qui a quand même attendu 8 ans pour arriver sur nos écrans de télévision...).
Il y avait aussi les émissions de télévisions qui faisaient la part belle au cinéma,que ce soit Nulle part ailleurs qui multipliait les invités prestigieux, les Guignols de l'info qui s'inspiraient très souvent du grand écran pour le segment central en forme de mini-court-métrage, ou tout simplement les émissions Le journal du Cinéma d'Isabelle Giordano, ou Cinéma de quartier de Jean-Pierre Dionnet.
Mais les ambitions du groupe Canal+ ne se limitaient pas au petit écran. Sous la houlette de Pierre Lescure et d'Alain De Greef, la chaîne va soutenir des réalisateurs et des projets atypiques (souvent retoqué par le CNC) comme La Haine de Matthieu Kassovitz, Bernie d'Albert Dupontel,
La cité de la peur des Nuls, Dobermann de Jan Kounen ou Seul contre tous de Gaspar Noé. Cette volonté de bousculer le monde de la production hexagonale trouvera son apogée avec Le Pacte des Loups de Christophe Gans et Astérix & Obélix : mission Cléopâtre d'Alain Chabat, deux prototypes de blockbusters à la française qui feront un énorme carton au box office, deux films qui auraient dû augurer un avenir radieux pour la chaîne mais qui, au contraire, marquaient la fin de la récréation. Car après une telle ascension, l'important n'est pas la chute, mais l'atterrissage.
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