Expliquer à d’autres pourquoi est-ce que l’on aime un film. Plutôt simple !
Expliquer à d’autres pourquoi est-ce que l’on déteste un film. Peut-être encore plus simple !
Savoir le film affreux, mais quand même essayer d’expliquer à d’autres pourquoi est-ce qu’on l’adore. Là, ça se complique un peu plus.
Bienvenue dans Plaisir Coupable, la chronique où je vous parle de films nuls qui ont tout mon amour. Amour que je vais essayer de justifier. Et pour ce second numéro, nous remontons dans le temps. Plus précisément dans l’année qui est le passé pour nous, mais qui était le présent dans le premier Retour vers le Futur, à savoir 1985. Remarque, le futur de Retour vers le Futur II était en 2015, ce qui est le passé pour nous … Maintenant que je l’écris comme ça, penser mes années en fonction de l’action dans la saga Retour vers le Futur n’est peut-être pas la plus maline des façons de faire …
En 39 après Sylvester Stallone ? Non, me connaissant je vais essayer de mettre les initiales et dire en 39 après SS, ce qui est quand même historiquement assez tendancieux … Bref ! Parlons plutôt du 3ème opus de la saga Un Justicier dans la Ville : Le Justicier de New-York ! Première fois que je parle de Charles Bronson sur le site ! Je suis rempli d’émotions contradictoires et de passion étrange pour cet amas de pilosité faciale qu’est la moustache de l’acteur.
Lire la chronique sur Le Justicier de New-York