J’ai l’art de me compliquer la tâche de manière inutile. Nous en sommes à peine au second numéro de ma nouvelle chronique que je vais nuancer le propos que je tenais dans la chronique précédente. Comment est-ce que je peux passer pour une personne sûre d’elle derrière ? Néanmoins, j’essaye de faire les choses de la bonne manière. Le titre de la chronique est
« Parlons peu, parlons bien, parlons ciné » après tout. J’aurais dû choisir
« Parlons peu, parlons approximativement, parlons ciné », les efforts auraient été ridicules en comparaison.
Et je m’attaque à la saga
Star Wars en plus ? J’ai à peine fait un boulot qui me convient moyennement sur
(500) jours ensemble que je vais parler du mythe qui pourrait briser ma crédibilité à jamais sur internet ? Mon masochisme atteint des sommets. Je ne vois vraiment pas comment je pourrais m’infliger plus de pression et … Et je fais ça en deux parties. FAN-TA-STI-QUE.
Bref, il est temps d’arrêter de se lamenter pour essayer de vous rendre plus enclins à me pardonner si je dis quelque chose qui ne vous plaira pas sur cette quasi-religion. Il est surtout temps de parler
Star Wars, mais avant tout de parler cinéma. Alors faisons les choses correctement, parlons peu, parlons bien, parlons ciné. Je vais même pouvoir introduire le début de ma chronique avec LA phrase :
Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine …
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Le prochain parlera de la remasterisation de la trilogie originale et de l'appartenance d'un film. J'espère que ça te plaira !