Il n’y a pas besoin d’être un devin :
Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper est un classique du genre. Il est encore considéré aujourd’hui comme l’un des tous meilleurs films d’horreur de l’histoire du cinéma. Et j’avoue qu’il n’y a pas grand chose à dire sur ce sujet : c’est vrai que c’est une véritable pépite que je conseille à tous les amateurs du genre. Du coup, avoir un article qui répète ce que tout le monde sait déjà n’a pas grand intérêt. A la fois pour vous en tant que lecteur, mais aussi pour moi qui écrit l’article. J’ai donc décidé de m’attaquer au remake de ce classique, réalisé par Marcus Nispel et sorti en 2003. C’est d’ailleurs sans doute un opus que plus de personnes aujourd’hui ont vu. Je vais donc tenter de vous dire ce qui marche et ce qui ne marche pas dans ce remake, qui n’est pas un remake sans intérêt comme pas mal d’autres.
Malgré son statut de mal-aimé par les critiques, ce
Massacre à la tronçonneuse est suffisamment intéressant pour que j’en parle aujourd’hui. On se rappelle donc tous la plastique de Jessica Biel, on se remet en tête ce gros paradoxe temporel du début du film quand les héros écoutent Sweet Home Alabama de Lynyrd Skynyrd alors que cette chanson est sortie en 1974 et que les événements du film se passent en 1973 (merci Wikipédia, je te le revaudrais) et on replonge dans le fin fond du Texas revoir une famille bien dérangée : c’est l’heure de parler
Massacre à la tronçonneuse !
Lire le retour sur Massacre à la Tronçonneuse
PS : Demain, le film du jour sortira bien à 19h30 automatiquement sur le site, mais je ne le partagerais pas sur Gamekyo tout simplement parce que je serais à la Comic Con, dans un merveilleux cosplay de Deadpool histoire de rendre le tout un peu plus épicé. Néanmoins, je sortirais surement 2 articles dimanche : un pour le film de demain, et un pour le film de dimanche.