Quand on pense à la fin d’année ainsi qu’à
Orlando Bloom … C’est que nous sommes probablement une jeune adolescente qui est en train de se masturber tout en s’imaginant être avec lui quand il est un elfe ou alors un pirate. Mais on peut aussi penser sans perversion au gros blockbuster de la fin d’année que la planète entière attend de pied ferme :
Le Hobbit – La désolation de Smaug. Seulement avant qu’il ne sorte, un autre film de cette fin d’année est sorti en salle avec en tête d’affiche
Orlando Bloom justement. Et là il troque ses oreilles pointues et ses yeux anormalement bleus (t’as un poil abusé de la couleur mon bon Peter) pour une bonne bouteille, une gueule de bois bien violente, qui tire à droite à gauche et une carrière de flic qui tient constamment sur le fil.
Bref, le rêve de vie de tout homme normalement constitué. Notamment sur la partie tireuse. Et c’est dans ce rôle qui nous change de son habitude que nous le retrouvons aux côtés du toujours présent
Forest Whitaker dans un film réalisé par un français (oui, c’est rare donc j’aime le signaler) :
Zulu. Avec un film comme ça, on pourrait croire qu’il s’agit d’un début d’une vague de films consacrés à Nelson Mandela. Mais pas du tout, c’est une bonne vieille enquête policière à l’ancienne ! Qu’est-ce qu’il vaut le loustique ? Eh bien voyons ça !
Lire la critique de Zulu
On se retrouve ce week-end pour une critique sur
Le Hobbit : La désolation de Smaug. Et la semaine prochaine je vais me réoccuper d'une daube car ça fait un petit moment (enfin pas tellement, la critique de
Devil n'est pas sorti il y a si longtemps) et ça sera sur
La Maison de Cire ! Bisous et bonne lecture à tous !
Hum, c'est du lourd ça