Durant le Summer Game Fest de cette année, le studio polonais
Plot Twist dévoila
The Last Case of Benedict Fox. Un jeu qui n’a cessé de m’intriguer depuis son annonce, et auquel j’ai pu enfin jouer à la Gamescom 2022.
Et autant dire que pour l’essayer, il fallait soit
se lever tôt (ce que j’ai fait), soit
s’armer de patience (entre 2h et 4h dans la file). Le jeu n’était jouable que sur la seule borne disponible de tout le salon (il n’était même pas testable dans la zone Pro). Au sein d’une
toute petite zone regroupant 4 bornes à l’intérieur du
stand Xbox. Mais bref parlons du jeu.
La principale raison qui avait éveillé mon intérêt pour ce titre est son aspect
Metroidvania 2D. Un genre auquel je suis de base très familier, et qui s’est révélé être d’une certaine efficacité durant ma (trop) courte session de jeu. Avec des
zones et des
portails qui se déverrouillent selon les compétences acquises et les ennemis abattus.
D’ailleurs ces derniers font assez mal et je suis
mort plusieurs fois à cause d’eux. Pour me défendre j’avais un
couteau pour le corps à corps, un
pistolet qui ralentit le temps pour attaquer à distance, et un
bouclier pour parer les coups et les projectiles. J’avais aussi la possibilité de faire une
esquive rapide pour éviter un danger in-extremis.
Mais ce qui m’a le plus frappé, c’est
sa direction artistique qui est à tomber par terre. Dépeignant une atmosphère qui n’est pas sans rappeler les œuvres de
Tim Burton. Une ambiance semblant tout droit sorti d’un
rêve et franchement inquiétante. Le jeu a beau se jouer en 2D, il bénéficie d’un
souci du détail et d’une
profondeur de champ comme j’en avais rarement vu dans un jeu du genre. Les derniers jeux de ce style à m’avoir fait cet effet sont les
Ori.
En tout cas ça sera un jeu à surveiller de très près de mon côté d’ici sa sortie en 2023.
