Moyenne presse 3,8/5 (pour l'instant)
Franceinfo Culture 5/5
Elvis Presley et Baz Luhrmann se retrouvent dans une même démesure. Le premier dans celle du personnage et l’extravagance de sa panoplie, le second dans des mises en scène spectaculaires et baroques, où la musique est centrale. Le réalisateur signe peut-être du même coup son meilleur film.
Première 5/5
Pas un biopic de plus, non : le biopic des biopics.
Télé Loisirs 5/5
Porté par Austin Butler, bluffant dans le rôle du rockeur, et une réalisation folle de Baz Luhrmann (Moulin Rouge !), ce biopic captivant raconte, outre la destinée du King, l'évolution des mœurs dans l'Amérique puritaine des années 1950.
20 Minutes 4/5
Flamboyant.
GQ 4/5
Le cinéaste australien réalise le premier biopic de sa carrière consacré au King, dans un style qu’on ne retrouve que dans son œuvre : un film clinquant, rugissant dans son montage et monstrueux à bien des égards.
La Croix 4/5
Baz Luhrmann échappe à l’extravagance en s’appliquant à restituer l’ascension du bon petit gars du Tennessee à travers les yeux de son imprésario, le Colonel Parker, interprété par Tom Hanks.
La Voix du Nord 4/5
Pas d’informations croustillantes finalement. L’essentiel, c’est cette fièvre rock qui fait exploser le thermomètre. À ce titre, la reconstitution des grands concerts laisse pantois.
Le Figaro 4/5
Mieux que les milliers de sosies et autres clones apparus depuis sa mort il y a près de 45 ans, Butler interprète magistralement le rôle, ou plutôt les rôles, tant Elvis a été multiple, de son apparition à l’âge de 19 ans à sa mort à 42 ans.
Le Parisien 4/5
Il fallait oser ce film, qui couvre toute la vie du rocker américain, en insistant sur ses rapports hors norme avec son manager, le colonel Parker, interprété par Tom Hanks.
Le Point 4/5
Un tourbillon visuel, une série de montagnes russes comme à la foire dans lesquelles s'entremêlent des numéros musicaux spectaculaires, des images d'archives, des extraits de films de Presley, des comics, des scènes de vie intime ou des effets de l'écran divisé (split screen) [...].
Les Inrockuptibles 4/5
Baz Luhrmann signe un film somptuaire et intelligent sur un King presque trop divin pour les formules consacrées du genre biopic.
Paris Match 4/5
Dans ce film évidemment opératique, brillant, échevelé, fourmillant de moments de cinéma incroyables et de détails méconnus, mais à la tonalité finalement très sombre, le cinéaste de “Moulin rouge” et “Gatsby” ne raconte pas un homme mais un pays, trois décennies d’une Amérique pudibonde et raciste, confrontée à l’évolution de ses moeurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma 3/5
Démesure, profusion, hybridation : le film rend hommage à la bande dessinée, s’adonne au fake en reconstituant des images d’époque, transforme en clip chaque séquence musicale et n’hésite pas à remixer quelques tubes rock à la sauce metal ou rap.
Le Journal du Dimanche 3/5
Le réalisateur de Moulin Rouge se lâche sur les pantalons en lamé et la brillantine, mais son extravagance visuelle finit par étouffer l’émotion dans ce film trop long.
Le Monde 3/5
La vie d’Elvis fut courte. Elle en a cependant contenu mille auxquelles Baz Luhrmann semble, par le pouvoir de l’image, en avoir ajouté mille autres. Il en eût fallu moins pour éviter l’emphase et ses effets indigestes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma 3/5
Entre les mains de Baz Luhrmann, ce biopic sous amphétamines cherche à sortir des sentiers battus, mais reste ce qu’il est : un biopic.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone 3/5
Tout en split screen, effets de typographie et valses de caméra, tel un clip surpuissant, la cinématographie habituel le de Luhrmann secoue la première partie du film. Puis le rythme connaît une baisse de tension (...).
Allociné
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Moyenne presse 3,3/5 (pour l’instant)
Le Figaro 4/5
Le souffle de l’aventure est présent dès les premières images. Rythmé, drôle, inventif, et doté de moult rebondissements, ce space opera animé va au-delà du simple film d’animation.
Le Journal du Dimanche 4/5
Intelligent, poignant et inclusif.
Le Parisien 4/5
Le credo du studio Pixar n’a jamais varié : rien n’est possible en animation sans une bonne histoire. C’est totalement réussi : le scénario, malin, très inventif, hilarant, plein de suspense et de jolis messages sur le temps qui file et le danger à trop s’attacher au passé, est servi par des héros attachants et une ligne graphique éblouissante.
Les Inrockuptibles 4/5
Buzz l’Éclair est un beau film sur l’apprentissage : il y s’agit moins de former des ubermensch nietzschéens (des surhommes) que d’être soi-même un mensch, au sens yiddish : un type bien, honnête et magnanime.
Ecran Large 3/5
S'il en met plein les yeux et joue habilement sur le fan service, Buzz l'éclair n'a pas l'âme chaleureuse et l'inventivité qu'on attend habituellement d'une production Pixar. Ce "nouvel" univers de science-fiction, aussi référencé soit-il, est encore trop étriqué et impersonnel, mais son potentiel est évident. Reste à voir si Disney et Pixar sauront en faire quelque chose d'inattendu.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Buzz l’Éclair prend ses distances avec la franchise Toy Story, dont il constitue un spin-off tout à fait honorable, en jouant la carte de la nostalgie et en introduisant des personnages secondaires originaux, mais surtout grâce à une animation spectaculaire.
Première 3/5
Angus MacLane (...) avait-il quelque chose de fort ou d'intime à raconter ? Visiblement pas, à part une jolie morale sur le sens de la vie, le temps qui passe et la futilité, voire la dangerosité de la fuite en avant. Un programme qui a conquis le petit Andy, et séduira sans doute les gamins du monde entier, mais qu’on ne peut s’empêcher de trouver un peu light (year).
Télérama 3/5
Le démarrage s’avère un peu mou, car ce Buzz-ci est tout de même moins drôle que sa version de chambre d’enfant. Puis la fantaisie, la tendresse et les thèmes favoris du grand studio américain (le passage du temps, la difficulté de grandir) prennent leur envol (...).
Libération 2/5
L’absence de fantaisie et d’ambition du film, une fois fixé dans son récit, est désarmante. Visuellement, le spectacle n’est certes jamais désagréable, tant le savoir-faire de Pixar est solide, mais la banalité de Buzz l’éclair est d’autant plus criante qu’il est censé jouer dans la cour de Toy Story [...].
Allociné
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Moyenne presse 2,9/5 (pour l'instant)
Le Parisien 5/5
(...) si vous avez déjà vu au cinéma des histoires d’enlèvement, oubliez-les, celle-ci les enterre toutes !
Les Fiches du Cinéma 4/5
Scott Derrickson (Sinister) revient à ce qu’il maîtrise le mieux : un crescendo horrifique, brutal et incarné.
Cahiers du Cinéma 3/5
S’il vire parfois au systématisme et à la pure convention de genre, Black Phone s’impose par une innocence de teen movie se rappelant – jusque dans son aspect vintage – à un genre un peu oublié, celui de la fable banlieusarde fantastique tirant sur l’épouvante des années 80.
Ecran Large 3/5
Une adaptation un peu laborieuse et finalement relativement anecdotique, qui inquiète tout de même beaucoup lorsqu'elle décrit une Amérique rurale décrépie et hantée par un Ethan Hawke quasi littéralement monstrueux.
Le Journal du Dimanche 3/5
Un huis clos conceptuel, poisseux et malaisant, à la mise en scène épatante, qui ménage des moments de terreur pure.
Télérama 2/5
La noirceur des situations est un défi que le réalisateur doué de Sinister et de Docteur Strange réussit à relever. Mais, en entrant dans le face-à-face avec le tueur sadique, son film devient à la fois moins intéressant dans sa forme et dans son propos.
Les Inrockuptibles 1/5
Ivre de citations et avare en explications, le nouveau geste horrifique du réalisateur de Sinister est un lent effondrement.
Allociné
Pourquoi pas, mais même en acceptant cela, je trouve qu'on est vraiment en dessous de ce que fait le studio en terme de narration.
Ils ont voulu plaire à la commu LGBT avec un baiser lesbien.
Au début, ils ont censuré le baiser, car plusieurs Pays blacklistés le film et c'était parti en cacahuète en Floride, finalement ils ont remis le baiser au montage et donc il sera dans le film.
Sinon Elvis a l'air super cool et black phone c'était sûr que ça n'allait pas être le film du siècle, mais à regarder un soir pour la curiosité.
Ce sont tes propos qui sont à vomir. Qu'est-ce que ça peut te faire franchement, espèce de frustré. Une vraie chochotte fragile.
Perso pour buzz ça me pose soucis nous somme quand même pour un film qui vise les enfants et je pense pas que les enfants doivent être mêlé au forcing LGBT.
La mouvance LGBT à fait pire que mieux pour leur combat je prends l'exemple du film The Dallas Buyers Club (aucun soucis le film a était apprécié alors que ça parle de sida,gay,trans) de même que le film brokeback mountain (l'histoire de deux gay) jamais personne râler ou encore ne critiquer les films étaient apprécié.
Mais car c'était juste normale l'histoire ou le film était cool il n'existe pas de "forcing" pour plaire à une communauté la ou par contre les films Disney ça force a mort mais Disney le reconnais ouvertement mais a un moment ça va coincer.
~ Racisme, antisémitisme, sexisme, homophobie strictement interdit.
Pas la peine de faire un dessin. Gamekyo jouit d'une communauté cosmopolite avec des membres de différents horizons. Tout le monde a droit au respect.
https://www.gamekyo.com/group11.html
Ou tu vois de l'homophobie ?
a ajouté un commentaire sur l'article [Film] Elvis - Buzz l'éclair - Black Phone / Quelques critiques... d'un blog.
"serve Haaaa ça
D'ailleurs, le commentaire a été effacé, c'est pas moi qui a effacé le commentaire, je ne sais pas qui c'est, mais la personne qui a fait ça, j'espère qu'elle a effacé car elle s'est rendu compte du propos et non par lâcheté (de pas assumer ce que le membre de Gamekyo écrivait).
https://www.gamekyo.com/sussudio
"~ Racisme, antisémitisme, sexisme, homophobie strictement interdit."
C'est pas qu'il soit plus visible à cause d'une "idéologie dominante" qui viendrait d'eux, vu que des pays condamne à mort ou met en prison des personnes qui ont des relations homosexuels alors que des personnes qui ont des relations hétérosexuels, c'est pas le cas, donc si il était l'idéologie dominante, il serait pas victimes de répression...là tu inverses les choses, tu fais de la victimisation de dominant (tu veux garder "ta norme" comme dominante), j'y vois une forme de la malhonnêteté intellectuel dans ta façon de penser (et donc de présenter les choses).
Mais quelque fois remettre en question c'est limite de l'homophobie pour des gens.
Je suis totalement d'accord avec toi sur ça.
https://twitter.com/France24_fr/status/1536732324855009283
Dans les bandes annonces ont ne voit aucun "baiser lesbien"
https://www.youtube.com/watch?v=q41VoF95fmI
https://www.youtube.com/watch?v=q41VoF95fmI
Spot cinéma
https://www.youtube.com/watch?v=q41VoF95fmI
Spot TV
https://www.youtube.com/watch?v=q41VoF95fmI
Si tu regardes les affiches et les photos officielles, tu ne vois aucun "baiser lesbien"
https://www.allocine.fr/film/fichefilm-288842/photos/
Avant que serve en parle j'étais même pas au courant de se "baiser".
D'ailleurs sur le lien de hatwa ils disent que ça avait faillit pas avoir le jour dans la version américaine, retiré au montage par Disney, mais ça a provoqué un tollé en interne, donc même Disney était partagé pour que le baiser apparaisse, au final, ils ont du censurer pour certains pays...pour une soit disant "idéologie dominante"...si elle était dominante, elle ne serait pas censurer dans certains pays et Disney n'aurait pas envisagé d'enlever le baiser même pour les USA.
J'imagine mal les parznts pronner la sexualité dans les films pour leurs enfants.
La débat avait été la censure comme toute censure mais après l'avoir fait autant le laisser
*cadeau: NUPES a le + de cadres, pas mal pour un parti soit disant proche du peuple (j'ai rien contre les cadres, j'en suis un, mais je dénonce juste les hypocrites)
Tu penses qu'il n'y a que des "hétéros" dans le peuple, l'orientation sexuel n'a rien à voir avec le fait de faire partie du "peuple" ou pas ou de "l'élite" ou pas.
Les "bonobos" sont pansexuels de nature, c'est quoi le rapport avec "le peuple" ou "l'élite" ?
"Chez les bonobos, les relations sexuelles, feintes ou réelles, sont le plus souvent utilisées comme mode de résolution de conflits, à côté des mécanismes de domination. Les études suggèrent que les trois quarts des rapports sexuels entre bonobos n'ont pas de fin reproductive, mais plutôt sociale, et que presque tous les bonobos sont « pansexuels ». Des scientifiques ont appelé cette méthode d'accouplement le « sexe convivial »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonobo
Tu délires, on parle de société, des moeurs, et tu me parles bonobo
"NUPES a le + de cadres, pas mal pour un parti soit disant proche du peuple (j'ai rien contre les cadres, j'en suis un, mais je dénonce juste les hypocrites)"
L'important c'est les lois votés, c'est là que tu vois qui tu privilégie ou pas, qui tu défends ou pas, si tu défends l'égalité des droits ou pas ect
Tu peux être "bourgeois" et essayer de vouloir réduire les inégalités, comme tu peux être "bourgeois" et méprisé "le peuple" (les "prolétaires") en voulant à l'inverse accentué les inégalités.
Je dis juste que pour moi, si tu regardes sur la planète entière, tu as pas une réelle domination politique qui veut l'égalité des droits pour "tous" (homo, hétéro ect), je considère que le "sexualité" n'a pas de frontière, tout comme les orientations sexuels.
Pourquoi je parles des "bonobos" car ils vivent aussi en "société" avec donc des mœurs et qu'il est génétiquement très proche de l'homme.
"Autrement dit, la proximité génétique de l'être humain avec ces deux grands singes (98,7 %) est parfaitement égale."
https://www.lepoint.fr/sciences-nature/les-secrets-de-l-adn-du-bonobo-devoiles-18-06-2012-1474927_1924.php
l'argument de la majorité ne marche pas dans un sens comme dans l'autre hein
"dans les pays "dits progressistes" où il y a une idéologie de la sexualité stérile" quand tu es pour le "progrès" (un "mieux" pour tous) ça veut dire que tu choisis le moment ou tu veux avoir un enfant, donc il n'y a pas une "idéologie de la sexualité stérile" mais l'idée que tu puisses choisir d'avoir un enfant ou pas, à aucun moment le progrès c'est d'avoir une sexualité stérile, mais d'avoir une sexualité qui ne s’arrête pas uniquement à la reproduction "subis", c'est ça la "liberté individuelle", laisser la liberté à chacun d'avoir accès à un moyen d'avoir recours ou pas à la contraception (même si la contraception masculine est peu mise en avant) lors d'un rapport sexuel consentie.
Je suis aussi pour que les femmes puissent avoir recours à l'avortement (donc si elle le souhaite uniquement) quand il y a un soucis (sans qu'un soucis financier empêche d'y accéder, donc "libre" et "gratuit") face aux injustices de notre "société" ou il y a des violes (majoritairement envers les femmes), des problèmes d'argent (compliqué d'élever un enfant que tu as pas les moyens), des développements du fœtus qui peuvent entrainer la mort de la femme ect le mieux c'est en amont d'éviter d'être enceinte pour ça aussi que je suis pour qu'une personne (homme ou femme) puisse accéder à une contraception quelque soit les moyens financiers, d'avoir un choix libre et éclairé.
https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-l-employee-sans-papiers-de-raquel-garrido-et-alexis-corbiere-22-06-2022-2480650_23.php
Précisions : La vasectomie n'est pas une castration car elle n'implique ni l'ablation ni la destruction des testicules. Il n'y a donc aucune modification de l'activité hormonale et du comportement sexuel.
Il existe d'autre méthode comme celle là.
https://www.lamaisondesmaternelles.fr/article/j-ai-invente-l-anneau-contraceptif-masculin-rencontre-avec-l-homme-qui-veut-revolutionner
Faux, baisse de la testostérone... sans parler de la hausse du risque de cancer de la prostate.
Quant à l'anneau, aucune étude existante si ce n'est qu'on sait que des testicules à température corporelle produisent moins de testostérone.
"Faux, baisse de la testostérone... sans parler de la hausse du risque de cancer de la prostate." tu as lu ça ou ?
Ici et ici, par exemple
Pour la baisse de la testostérone, j'ai pas vu un passage qui parle de la testostérone et pour "risque de la prostate" il y a écrit
"Objectifs : Un certain nombre de chercheurs ont signalé que la vasectomie est un facteur de risque du cancer des testicules. Cependant, cette conclusion est incompatible avec un certain nombre d'autres articles publiés. Par conséquent, nous avons mené cette méta-analyse pour évaluer si la vasectomie augmente le risque de cancer des testicules."
"Conclusions : Notre méta-analyse a suggéré qu'il n'y avait pas d'association entre la vasectomie et le développement d'un cancer des testicules. D'autres études de haute qualité sont nécessaires pour explorer plus avant l'association entre la vasectomie et le risque de cancer des testicules."
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33927357/
"Contexte : Le débat sur l'association entre la vasectomie et le cancer de la prostate dure depuis environ 40 ans et il n'y a aucun signe d'arrêt. Dans la présente étude, nous avons cherché à évaluer si la vasectomie est associée au cancer de la prostate sur la base des preuves les plus complètes et les plus récentes disponibles."
Donc c'est encore quelque chose qui est étudié, même si une étude dit
"Conclusions : Cette étude a révélé que la vasectomie était associée au risque de cancer de la prostate et de cancer avancé de la prostate. D'après les preuves actuelles, les patients doivent être pleinement informés du risque de cancer de la prostate avant la vasectomie."
Tu mélanges tout, la vasectomie n'a rien d'une idéologie anti-homme (déjà c'est pas imposé et c'est pas le seul moyen de contraception), la contraception existe chez les femmes, donc si je suis ton raisonnement, c'est une idéologie anti-femme, alors que c'est pas plus le cas qu'avec les méthodes de contraceptions pour homme, l'idée de contraception n'a pas de sexe et que pour l'instant c'est plus les femmes qui ont recours à la contraception comme la pilule et aux moyens de contraception car pour les hommes, ça manque de moyen et de volonté politique.
"Chaque premier vendredi matin du mois sous forme d’un accueil collectif, suivi pour les hommes qui le souhaitent d’une consultation médicale." ça montre que c'est plutôt les femmes qui sont concerné par la contraception que les hommes, tellement c'est rare que les hommes s'y intéressent (ou qu'ils entendent parler de ça).
https://www.planning-familial.org/fr/le-planning-familial-du-loiret-45/la-contraception-masculine-1367
Nulle part il y a écrit que le planning familial est interdit à une couleur de peau, donc c'est pour tout ceux qui souhaitent avoir accès à des informations pour des moyens de contraception.
https://www.liberation.fr/politique/garrido-et-corbiere-employeurs-dune-femme-de-menage-sans-papiers-nous-nen-avons-pas-venez-a-la-maison-tout-est-en-desordre-20220622_XY6MMYISSRGIFIOHB6WAHGVCZQ/