En tournage depuis quasiment deux semaines, Ghostbusters 3 dévoile déjà petit à petit des éléments capitaux de son univers pour rassurer les fans. Après le costume, voici le pack de protons.
L'air de rien, Ghostbusters 3 est en train de changer radicalement sa communication depuis le début de son tournage. Alors que jusqu'à présent Paul Feig axait tout sur le changement le girl-power mais dans un certain respect de l'original, nous avons maintenant droit à des éléments très déférents vis-à-vis des films précédents, comme s'il était allé trop loin et qu'il fallait à présent calmer le jeu et se remettre les fans dans la poche. Nous n'allons pas nous en plaindre.
Suite logique de la diffusion des costumes hier, c'est aujourd'hui au tour de l'emblématique pack de protons de montrer à quoi il ressemblera dans le film. Pas de gros changements à prévoir donc, même s'il donne l'impression d'être un peu plus petit que le précédent. Mais l'essentiel est là et son petit côté artisanal est plus que bienvenu.
On espère qu'encore une fois, il ne faudra pas croiser les rayons.
Il est expliqué que le nain ne supportait pas sa caricature...
Voilà... Et il souhaite revenir à la tête du pays ? Même pas en rêve !
Si il revient, vous savez à quoi vous aurez droit sans arrêt ? A son sac à f*** qui sait même pas chanter, à Didier Barbelavie, Christian Clavier, et j'en passe ! C'est lui qui vous dira quoi regarder et quoi penser. C'est de la dictature et il faut dire "NON" dès le départ à ça !
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Avis perso : Il aime pas Les Guignols... Peut être parce que c'est pas si caricaturé que ça, hein ?
Messieurs Bolloré, la petite crotte le nain excité Sarkozy et tous ceux qui n'ont pas d'humour, venez ici qu'on rigole !
Vous savez, il existe un truc génial, et vous devriez vous dépêcher d'en acheter, bientôt il n'y en aura plus, si vous continuez. Ce truc, c'est :
C'est presque devenu collector ! Pourtant, c'est pas cher, et ça aide à décoicer les sphincters ! Si, si ! Hélas, certains culs serrés en sont dépourvus...
Bolloré, espèce de lâche ! De Greef n'était pas mort depuis 24h que tu t'es déjà précipité comme un putain de charognard sur son œuvre pour tenter de la détruire avec ton "petit" copain le nain parce que ce dernier se fait défoncer de tous les cotés, compromettant son élection en 2017... Ben pas de chance, maintenant, il en a encore moins !
Tiens, tu le vois, celui-là ?
Tu sais où tu peux te le mettre ?
Personne touche aux guignols !
Sandrine, Yves, Daniel... Courage, les mecs ! On est avec vous ! On se mobilisera de toutes les manières possibles, mais vous avez énormément de soutien ! Les Guignols forever ! Si y en a un qui veut vous supprimer...
Bon, je vais faire court... Ceux qui me connaissent savent le genre de jeux que j'aime... ^^
... Qui a dit "LES EROGE" ? Et après c'est moi qu'on traite de pervers otak, hein ?
Non, moi j'adore les survival, et je dois dire que celui-là m'a bien fait plaisir ! Et dire que c'est mon premier PZ...
On incarne des jeunes et jolies Japonaises qui se sont perdues dans un village plongé dans l'obscurité où règnent fantômes et esprits tous aussi agressifs les uns que les autres. Ces derniers ne tarderont pas à se montrer, faites moi confiance... Notez qu'il y a des références à "Ring" (le film d'horreur Japonais, pas la bouse remake Americaine)
Ce qui m'a plu dans cet opus, c'est que l'ambiance et les décors jouent un rôle particulièrement efficace, car je peux vous assurer que vous aurez la trouille. Le nombre de fois ou j'ai été en mode panique parce que j'entendais un craquement de parquet chez moi... Le village est typique du modèle de village du Japon Féodal... En plus, les cinématiques sont superbes et les effets d'image sont très très bien choisis !
Au fil du jeu, nous apprenons pourquoi les deux jolies jumelles (miam... Pardon !) sont venues s'y perdre, bien que le terme "elles y ont été attirées" soit plus juste.
Comme dans tous les "Project Zero" ou "Fatal Frame", vous aurez une lampe de poche et la fameuse Camera Obscura, indispensable pour vaincre les esprits présents en masse pour vous tourmenter. Après un léger temps d'adaptation à la Wiimote, on y arrive sans trop de souci. Bien sûr, vous pourrez l'améliorer en cours de partie avec les orbes gagnées après les combats...
Concernant le son, le seul point noir (si c'est en est un), est l'absence de voix Japonaises. Il est vrai que les voix Anglaises collent un peu moins à l'ambiance, mais vu le prix ou je l'ai eu, je vais pas m'arrêter à ça... ^^
En plus, j'entends ici et là que le problème de ces jeux est la lenteur des héroïnes. Ok, elles sont lentes, mais mettez vous 2 secondes à leur place. Vous rentrez dans une maison, et vous voyez un fantome passer juste en face de vous, vous allez explorer la baraque comment ? Comme dans un RE à savoir en sprintant joyeusement ou en y allant à tatons ?
Vous allez avancer à tatons, en étant aux aguets, ça va de soi... Ben c'est ce que les héroïnes font ! ^^
Concernant les bonus exclusifs à la Wii, eh bien, il est possible d'entendre les voix désincarnées via la Wiimote, et il y a plus de fins que les autres versions (Xbox et PS2). Évidemment, vu que je jouais à ce jeu pour la première fois, vous vous doutez que vous aurez une fin dégueulasse... (pas gore, mais j'en dis pas plus).
Bref, je suis tombé amoureux de la série, et maintenant, j'attends ma prochaine acquisition...
Project Zero 5 ! Avec en bonus, possibilité de mettre les filles en maillot de bain, Ayane de DOA, les voix Jap, sans parler de la couverture assez... Elle se passe de com, non ?
Charles Pasqua s'est éteint lundi à l'âge de 88 ans. Une information confirmée au Point.fr par la famille de l'ancien ministre de l'Intérieur.
Charles Pasqua est décédé brutalement ce lundi 29 juin, à l'âge de 88 ans, des suites d'un accident cardiaque. Une information confirmée au Point.fr par la famille de l'ancien ministre de l'Intérieur, qui nous a fait parvenir ce communiqué : "Il s’est éteint à l’hôpital Foch de Suresnes dans les Hauts-de-Seine, où il résidait, dans ce département qu’il avait façonné par sa ferme volonté d’inscrire l’action politique en réalisations concrètes et ambitieuses. Il est toujours resté fidèle à son engagement gaulliste dans la Résistance contre l’occupant nazi. Pour lui, la politique était un combat au service de la France, dans la fidélité à ses compagnons, dans le respect de ses adversaires dès lors qu’ils étaient animés, comme lui, par la conviction et le courage."
"Nous avons eu le privilège de connaître l’homme privé si attentif aux autres et si extraordinaire professeur d’optimisme. Tous ceux qui l’ont approché savent combien Charles Pasqua pouvait rendre les âmes fortes et savait consoler les malheurs par sa joie de vivre. Seules les offenses faites à la France et à l’honneur ternissaient son regard bienveillant face à toutes les épreuves. Il aurait souhaité en ce jour si douloureux pour nous que ses amis ne cèdent pas au chagrin mais gardent de lui une image fidèle et que, pour lui, ils perpétuent son dévouement à une certaine idée de la France."
Selon les informations du Point.fr, Charles Pasqua avait été hospitalisé vendredi soir, pour un problème pulmonaire.
« Deug » est mort. Alain De Greef, ancien directeur des programmes emblématique de Canal+ de 1986 à 2000, s’est éteint lundi 29 juin en fin d’après-midi dans sa maison de Saint-Saturnin-lès-Apt (Vaucluse). Il avait 68 ans. Depuis deux ans, il luttait contre un cancer des poumons et un cancer de la mâchoire qui l’avaient obligé à suspendre ses activités professionnelles, mais pas de s’indigner.
Malgré la maladie, Alain De Greef était très actif sur Facebook où il postait régulièrement ses colères et ses commentaires contre la télévision dont il avait été un des plus grands dynamiteurs. « Il avait conservé une capacité d’indignation très rare pour une personnalité audiovisuelle de ce niveau », souligne Bernard Zékri, ancien du magazine Actuel qu’Alain De Greef fit venir à Canal+ pour s’occuper du Vrai Journal de Karl Zéro, puis de la rédaction de I-Télé lancée par De Greef en 1999.
« Nulle part ailleurs », « Les Guignols de l’info » ….
Dans un entretien au Monde publié en novembre 2014, à l’occasion des trente ans de Canal+, Alain De Greef avait eu des commentaires très durs contre les dirigeants de son ancienne chaîne. Avec ses mots bien pesés, il y dénonçait « les experts en marketing » et pointait férocement « les dérives » de Canal en s’indignant, par exemple, de voir Nadine Morano ou Eric Zemmour sur le plateau du « Grand Journal », l’ancêtre de « Nulle Part Ailleurs », un de ses bébés favoris. « C’est comme voir un odieux graffiti sur une toile de Vermeer ! », s’était-il énervé.
Ancien élève de l’Institut des Hautes Etudes Cinématographiques (Idhec) aujourd’hui devenu la Fémis, Alain De Greef a commencé sa carrière dans l’audiovisuel comme chef-monteur à l’ORTF en 1971 avant d’émigrer sur Antenne 2, tout juste créée en 1974. C’est là qu’il rencontre Pierre Lescure avec qui, en avril 1982, il concocte le magazine de pop culture « Les Enfants du rock », devenue une émission de référence. Lescure et De Greef, tous deux biberonnés à la culture américaine des années cinquante, y font travailler de jeunes journalistes experts en musique rock et underground. Parmi eux, Bernard Lenoir, Philippe Manœuvre, Jean-Pierre Dionnet ou Antoine de Caunes qui font découvrir Madonna, The Cure ou Indochine aux jeunes téléspectateurs coincés, à l’époque, entre seulement trois chaînes de télévision. Tout un petit monde que le tandem Lescure-De Greef embarque dans l’aventure Canal+ qui démarre le 4 novembre 1984 sous la présidence d’André Rousselet, l’ex-directeur de cabinet de François Mitterrand.
De Greef y travaille d’abord comme directeur de production. Après avoir manqué de couler faute d’abonnés, la chaîne cryptée prend véritablement son essor en 1986, année où Alain De Greef est nommé par Lescure à la direction des programmes. En toute liberté, il peut enfin donner libre cours à sa conception de la télévision où les émissions ne sont pas formatées et soumises à la sanction de l’audience. Il est ainsi à l’origine des programmes qui ont fait la notoriété de la chaîne : « Nulle part ailleurs », « Les Guignols de l’info », « Groland », « Les Deschiens » et c’est lui qui, en lorgnant de près dans le laboratoire de Radio Nova, repère Jamel Debbouze et lance, entre autres, Jules-Edouard Moustic, Benoît Delépine ou Benoît Poelvoorde.
« Il vomissait les tièdes »
Car, par-dessous tout, Alain de Greef aimait déranger. « Il vomissait les tièdes » rappelle le journaliste Paul Moreira qui, avec l’appui de De Greef, lança le magazine « Spécial Investigation ». Adepte de l’écrivain Guy Debord dont il diffusa un documentaire sur Canal en première partie de soirée (!), Alain de Greef avait compris depuis longtemps que la société avait besoin de sa part de chaos et qu’il était nécessaire de bousculer ses règles à travers la télévision. Une posture qui lui valut plusieurs rappels à l’ordre de la part du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) que « Les Guignols de l’Info » ont immortalisé dans un sketche devenu célèbre où la marionnette d’Alain De Greef tente d’expliquer aux Sages sa démarche éditoriale dans son phrasé tout personnel composé de « Çaaa vaaa ! », « Çaaa vaaa paas ! ».
Viré en 2001 de Canal+ après les changements d’actionnaires, Alain De Greef n’avait pas abandonné son envie de télévision. Il étudiait toujours de près des projets de chaînes sur le Net notamment avec Jamel et Alain Chabat, l’un des Nuls qui contribua fortement au succès de Canal. Il consacrait également beaucoup de son temps à écouter du jazz et, en fin connaisseur d’art, il fréquentait beaucoup les musées. « Je suis un paisible retraité provincial », avait-il expliqué au Monde, l’œil vif et toujours rieur.
Mon hommage perso, je ne pouvais pas passer à coté...
C'est allé bien au delà de ce que j'avais imaginé... J'avais dit que le jeu aurait 1000 boules de DLC pour déconner (quoique), si j'ose dire... Je pensais pas que ça irait si loin ! Mais là, c'est plus que grave, étant donné qu'il y en a pour plus cher désormais ! J'ose pas imaginer le prix du pack de costumes pour ceux qui n'ont pas le SP...
Le Japon, champion du monde en titre, s'est qualifié samedi pour les demi-finales du Mondial canadien en disposant de l'Australie (1-0), à Edmonton. Face à de solides Australiennes, les Japonaises ont nettement dominé mais ont tardé à trouver l'ouverture. Ce n'est qu'à la 87e minute que Mana Iwabuchi a profité d'un mauvais renvoi de la défense adverse pour tromper Williams. Les Japonaises affronteront désormais l'Angleterre ou la Canada, qui jouent cette nuit, pour une place en finale.
Merci à cette salope d'arbitre C.A Chenard de nous avoir volé le match, nous privant ainsi des demi...
En effet, la main Française dans la surface de réparation était totalement involontaire, et cette conne nous a sifflé un péno transformé en faveur des Allemandes à la 84 eme par Sasic.
Cette espece de grosse vache d'arbitre n'était clairement pas impartiale. Les Allemandes ont fait un paquet de fautes non signalées, les Françaises ont pourtant dominé tout le match, et l'ouverture du score du coté Française est due à Necib à la 64eme.
Je ne peux meme pas tout mettre, tellement je suis fumasse, mais vraiment, cette salope, c'est pas des lunettes, qu'il lui faut, mais un chien plutôt que de faire son boulot !
Retourne à l'école d'arbitrage, morue... ou va te pendre !
L'acteur britannique Patrick Macnee, star de la série Chapeau melon et bottes de cuir, est mort jeudi à 93 ans à son domicile de Rancho Mirage en Californie.
Plus qu'un acteur de série, c'est une icône qui disparait, l'emblème d'une époque et peut-être le symbole d'une civilisation.
Après une enfance compliquée qu'il évoquera dans ses mémoires - un père alcoolique et une mère homosexuelle, ses années en pension - après des cours d'art dramatiques à Londres, Macnee qui rêve de faire l'acteur s'engage dans la Royal Navy en 42, sort décoré de la guerre et s'envole pour Hollywood avec une obsession : percer. Il écumera les planches, les shows télé 50s - The Girl, La 4e Dimension, l’anthologie Alfred Hitchcock présente - les studios (pour quelques rôles oubliables dans Les Girls de Cukor et Femmes coupables de Robert Wise) avant de revenir en Angleterre au début des années 60 et de décrocher le rôle de sa vie.
Car c'est évidemment Chapeau Melon et bottes de cuir qui va le rendre à tout jamais célèbre. A l'origine, la série se concentrait sur le Dr David Keel (interprété par Ian Hendry) qui tentait de retrouver les assassins de sa fiancée... John Steed n'était alors que son assistant, un officier du MI5 qui l'aidait dans cette quête de justice. Lorsque Ian Hendry quitte le show, Macnee, ses accessoires, son attitude (le chapeau melon, le parapluie létal, son amour du champagne et son admiration des jolies filles) deviennent progressivement le poumon de la série. Face à lui, les producteurs imposèrent des femmes fortes et sexy (Honor Blackman, Diana Rigg et Joanna Lumley) qui feront de The Avengers (le titre VO) un vrai monument féministe et une vitrine fantasmatique de l'époque. Car de 1961 à 1969, cette série incarna définitivement les swinging sixties, dans toute leur splendeur pop, dans toute leur énergie et sous toutes leurs facettes.
Entre le film d'espionnage et l'humour british et nonsensique de Lewis Carrol, Chapeau Melon était un tourbillon esthétique, un maelstrom visuel et sensoriel dont Macnee représentait finalement le centre de gravité, l'élément stable. A l'image de ce chapeau melon qui fonctionnait comme une référence à l'Angleterre edwardienne, Macnee avec ses costumes Savile Row et ses accessoires élégants, avec son flegme inoxydable et son humour pince-sans-rire, incarnait une Angleterre mythologique, son expression nostalgique (mais jamais passéiste) et le gardien des traditions.
Patrick Macnee ne fut pas que Steed, mais au fond, il ne fut rien d'autre. On l'avait aperçu dans un épisode de Columbo, il a joué le comte Iblis dans deux épisodes de Battlestar Galactica en 1978, le scientifiques fou - professeur Plocostomos - dans The Lobster Man from Mars, le loup-garou dans Hurlements de Joe Dante ou l'éleveur de chevaux dans le très mauvais James Bond Dangereusement Votre. Passionné de théâtre, il disait à qui voulait l'entendre que sa plus grande expérience d'acteur avait été son rôle dans Le Limier en 72 à Broadway. Mais pour tous, et à jamais, Patrick Macnee reste l'incroyable, l'élégant, le vénérable John Steed. James Bond, Harry Palmer et Harry Hart (le héros de Kingsman) ont aujourd'hui perdu un des leurs...
Dead or Alive Xtreme 2, sorti le 8/12/2006 et exclusif à la 360, édité par Tecmo et développé par la Team Ninja. Pour tous ceux qui n'auraient pas lu mon premier test qui traite de Xtreme 1 sur Xbox, le voici :
http://www.gamekyo.com/blog_article364755.html
Zack Island a été recréée, car détruite à la fin de Beach Volley 1 , et c'est exactement là que se tiendra le 5eme tournoi de "Dead Or Alive". Vous y avez été conviée, ainsi que toutes les autres participantes, comme l'année d'avant. Et comme l'année d'avant, vous découvrez sur place que Zack s'est encore une fois foutu de votre gueule, car il n'y aura pas de tournoi de DOA 5 sur l'île... C'est ainsi que débute DOA Xtreme 2.
Bon, on va commencer par les bons cotés du titre, et un des points positifs, c'est que c'est beau. C'est même magnifique, et le "Zack Of All Trades" est déjà ouvert lors de votre arrivée. On peut mettre ses musiques personnalisées, et en plus, vous avez droit à un tuto avec une fille différente selon le personnage choisi. Autre point positif, lorsque l'entente sera au beau fixe avec votre partenaire, en dehors des matchs de volley, il y aura l'option "Être sympa", ce qui vous fera partager un petit moment intime avec elle... (Non, je ne parle pas de ce genre d'intimité...). Les matchs de volley sont un peut plus difficile, et c'est pas plus mal. Lorsque vous recevez un cadeau, une fois ouvert, et si vous l'avez déjà, vous pouvez le faire emballer à nouveau moyennant la moitié de la valeur de l'objet pour l'offrir à une fille. Un des derniers points, il faut bien le reconnaitre est l'ajout des activités supplémentaires telles que : "Tobogan aquatique", "course de drapeau", "bataille de popotins", le "tir à la corde", et aussi "la course de jet-ski". Vous devrez débloquer ces épreuves en les achetant au magasin de sport pour le prix très "modique" de 300.000 Z chacun.
Quand "vacances en plein air" rime avec "calvaire".
Malheureusement... Et je dis bien malheureusement, si les développeurs de la Team Ninja ont mis ces activités pour nous faire chier, ben bravo, c'est réussi. Ils auraient mieux fait de s'abstenir ! En effet, votre principal ennemi sera la maniabilité qui va vous faire chier des cocotiers durant presque toutes ces nouvelles épreuves. On va faire la visite de chacun d'eux, et commencer par la course au drapeau.
Il faut marteller a toute vitesse le bouton "A" comme un taré pour courir le plus vite possible. Seulement, voilà, vous commencez allongé face au sol. Le même bouton vous sert à vous lever, et si vous démarrez trop tôt, vous avez perdu pour faux départ. Vous ne pouvez pas vous entrainer, comme le saut de tapis, par exemple. Et quand je vous dis de marteler, c'est à la façon d'un "Track N Field" (pour les connaisseurs), et le jeu ne vous autorise pas le moindre moment de faiblesse. Il faut aussi dire que certaines fois, votre adversaire subira un boost non négligeable. Mais c'est pas fini, car si vous arrivez le premier au drapeau, il faut appuyer sur "B" pour l'attraper. Hélas, vous serez tellement occupé avec le premier bouton et à surveiller votre concurente qu'il y a de fortes chances pour que votre adversaire vous vole la course, car vous le verrez plonger pour le choper. Ca fait mal au bras, hein ? Envie de recommencer une seconde fois consécutive ? Non ? Bon, on continue ?
Bien, passons à un autre mini jeu, qui est le tir à la corde. Dans ce jeu là, vous êtes chacune sur une bouée, et vous devez faire tomber votre adversaire soit en le feintant, soit en tirant sur la corde pour la faire tomber dans la piscine. Rien de sorcier me direz vous, que nenni ! Car malheureusement, votre adversaire aura trop souvent la fâcheuse habitude d'anticiper vos coups ou feintes. Pour tirer, il suffit juste d'orienter le stick à gauche, et pour feinter, il faut l'orienter à droite. Il vous arrivera aussi de perdre un peu l'équilibre, et pour ça, il faudra appuyer plusieurs fois sur "A" pour vous rétablir, mais... Votre adversaire ne vous en laissera jamais la moindre occasion. En effet, il ne commet que rarement d'erreurs. Comme à la course de drapeaux, il n'existe aucun entrainement. C'est donc tout ou rien. Bien, continons la visite...
Passons maintenant au tobogan aquatique. Ici, c'est juste une petite épreuve solo dans laquelle il vous faudra uniquement gérer la vitesse et les virages, avec haut, bas, gauche et droite. Mais évidemment, les développeurs se sont là aussi fait plaisir, malheureusement, il ne sera pas rare de perdre juste après le looping (car oui, y a un looping). Parce que vous irez si vite que vous subirez une sortie de tobogan dès le virage qui enchaine la sortie de la boucle. Comme pour les autres épreuves, la seule erreur est irrémédiablement punitive, car vousverrez votre combattante s'éjecter du tobogan pour s'écraser en contrebas. Aucune possibilité de s'entrainer, rien, queue dalle ! Encore chauds ? Bon, ben passons à la suite, alors...
Pour la course de jet-ski, rien de compliqué lors des premiers parcours, bien que là non plus, il n'y a pas d'entrainement possible, et il se jouera entre 2, 3 ou 4 participantes. Il s'agira, cette fois de passer entre les bouées rouge et jaune pour gagner un boost. Sachant que certains jet-ski en proposent jusqu'à 3 cumulables. Seulement pas de pot, arrivé au 3eme ou 4eme parcours, si vous loupez un tremplin, vous serez tout simplement et irrémédiablement bloqué. Et comme il n'est pas possible de faire marche arrière, inutile de vous rappeler que vous aurez perdu la course. Bien entendu, là non plus, il vous sera impossible de vous entrainer.
Tous ceux qui me connaissent savent que je garde la meilleure épreuve pour la fin, et la fin, vous l'aurez pigé c'est... La bataille de popotins.
Quand je dis la meilleure, c'est façon de parler... Ici, votre belle concurente et vous êtes dos à dos, et le but est de faire tomber votre adversaire dans la piscine à grands coups de fesses. Pour taper, il suffit de faire "droite", pour une esquive, il faut faire "gauche", pour un coup puissant il faut faire "gauche puis droite", pour faire un pas sur le coté, il faut faire "haut" ou "bas". Et c'est là le problème, parce que cette dernière commande est inutile, vous n'aurez pas le temps d'esquiver. Vous aurez beau enchainer les combinaisons de directions, tenter de feinter, gruger, y aura rien à faire, car il n'existe aucune manière de gagner, ou alors j'ai jamais trouvé comment. Quand vous gagnez, c'est uniquement dû au hasard, et rien d'autre. Comme pour les autres jeux, la moindre erreur est punitive, car votre perso se retrouvera très souvent éjectée de la bouée, alors qu'il faudra souvent plusieurs coups à votre adversaire pour la faire tomber. Comme pour tous les autres mini-jeux, il n'y a pas la moindre possibilité de s'entrainer.
Le soir, vous aurez le choix de vous reposer dans l'hôtel de votre choix : Gemstone (le même que dans XBV1), le Seabreeze Cottage, un bungalow, et le Moonlight Reef, une petite chambre coquette. Viennent donc, le soir, les cadeaux de Zack et les jeux de casino.
Bon, et maintenant, on en vient au coeur du problème. Et la, je regrette, mais je me pose des questions quand aux capacités intellectuelles de toutes les combattantes, excepté Kokoro, qui n'était pas présente lors du premier opus. Je dis ça car leur Q.I. ne doit pas exceder celui du poisson rouge. Car pour se faire baiser... Pardon, avoir pour la seconde fois de la même manière par le même mec au même endroit, qu'elles soient ninja, catcheuse, tueuse professionnelle, ou étudiante, soit elles ont Alzheimer, soit elles sont complètement connes... Et je pense que le fait de s'être faites avoir une seconde fois a eu un effet des plus néfaste sur elles.
Dans le premier, on arrivait à leur offrir des cadeaux facilement par rapport à ce qu'elles aiment ou en rapport avec leur boulot, visible sur leur fiche signalétique de la selection des persos. Mais là, tout a été chamboulé. En effet, il n'est pas rare de se faire renvoyer en pleine gueule, ou refuser un cadeau qu'on a acheté et emballé avec soin avec un emballage de la couleur préférée de notre cible, afin de faire passer la pillule. Par exemple, qui aurait pu pensé offrir à Lisa une voiture téléguidée noire, sachant que la couleur favorite de cette dernière est le rouge, ou même offrir un arrosoir rouge pour Helena alors que sa couleur favorite est le blanc ? QUI ? Personne, hein ? Ben pourtant, c'est des exemples comme ça qui font que ce jeu est frustrant. Alors on va me dire que les goûts changent, qu'on peut aimer d'autres choses, ok, mais là, c'est peut être un peu trop. Et attendez, c'est pas fini...
Parce que comme dans XBV 1, vous pouvez offrir des cadeaux aux autres filles, et c'est là encore une fois que le bas blesse, car on a l'impression que toutes les filles ont leurs règles en même temps et ce, pendant l'intégralité du séjour. J'ai parlé plus haut des emmerdes que vous aurez pour offrir des objets ayant un rapport avec les gouts de ces donzelles, et les maillots de bains n'échappent pas à la règle. Même en offrant un maillot qui correspond pourtant à la couleur favorite de celle à qui vous offrez les quelques grammes de tissu, il ne sera pas rare, que dis-je, il sera monnaie courante de vous les prendre le soir même en pleine tronche. Vous aurez beau offrir de beaux cadeaux avant, donc, comme on dit de "préparer le terrain", y aura rien à faire. Quand ça veut pas, ça veut pas.
Et c'est là que c'est frustrant, car un objet, même si c'est ridiculement cher, c'est pas grand chose, pour ainsi dire, mais un maillot de bain à près de 200.000 Z, ça fait déjà plus mal au cul. Et qu'importe le fait que le maillot soit rouge pour Lisa, par exemple, on s'en fout... Imaginez le drame pour le maillot "Venus" ou un autre, car ce ne sera pas le seul à être vendu à 1.000.000 de Z... De plus, dans XBV 1, celles à qui vous faisiez de beaux cadeaux vous en offraient à leur tour, que ce soit des objets, maillots de bains, etc... Dans XBV 2, vous pouvez oublier ! Oui, n'esperez pas avoir des cadeaux en retour, comme je vous l'ai dit, les seuls paquets qui arriveront à votre chambre, seront le plus souvent ceux que vous aurez offerts.
Autre points négatif et pas des moindres, c'est que si vous battez dans un jeu ou au volley la fille que vous convoitez, elle vous détestera purement et simplement ! Vous en avez chié pour faire monter la barre pour draguer Christie ? Ben si vous la battez, par exemple au Jet-ski... Oui, vous avez compris la sentence ! En plus, vous n'avez plus de slots de sauvegarde, contrairement au 1, dans lequel il y en avait 3. Tout se déroule en 1 seule et unique partie. Autre point noir et très noir est l'absence du mode 2 joueurs, autre qu'en réseau. Là, faut avouer que les devs ont bien chié dans la colle...
Ma note : 8/20
Points positifs
Le rajout d'activités...*
C'est très beau
Les 3 hôtels disponibles au lieu d'1
Le recyclage de cadeaux
Les filles sexy (en même temps, c'est DOA, what did u expect ?)
Points négatifs
*... mais horriblement frustrantes par la difficulté
La maniabilité affreuse lors des nouvelles activités
1 seule sauvegarde possible
Pourquoi avoir viré le mode 2 joueurs hors ligne ?
La trop grosse difficulté à offrir des maillots
Les filles radines...
... et très difficiles, même avec un emballage de leur couleur favorite qui n'aide en aucun cas.
La frustration est le maître mot de cet opus, hélas