Voilà pour toi Arrrghl...
Moi elle me plaît beaucoup, c'est une des denières photo que j'ai faite avant de quitter la montagne...
Cliquez dessus pour agrandir bien sûr !
Je viens de terminer Call of Duty, 1er du nom sur mon PC !!
Bon je sais, ce n'est pas un exploit, mais ça faisait longtemps que je n'avais pas terminé un jeu !! Hé oui, le phénomène de lassitude l'emporte souvent avant ...
Mais là !! Je suis allé jusqu'au bout, et quand la fin est arrivée, j'étais presque triste, je voulais encore faire une campagne moi !!
En tout cas, ce jeu c'était vraiment du pure bonheur... bien sûr que c'est dirigiste, mais je trouve justement que c'est mieux, comme ça on perd pas le nord, on reste à fond dans l'histoire puisque c'est très scénarisé, et puis... l'ambiance !! Whaou, ce jeu va rester pour moi un fabuleux souvenir, le 1er jeu de guerre que j'apprécie..!!
Bon... ben voilà, cette été, c'est le 2ème jeu que je finis vraiment avec bien sûr le grandiose LOCOROCO !!
Bon, vous inquiétez pas, c'est pas un poème de moi ; je sais pas en écrire, ou en tout cas j'ai jamais su me lancer dans cette entreprise de manière sérieuse.
Là je voulais plutôt vous faire découvrir un poème de Lou Reed, musicien de génie, fondateur du Velvet Underground (l'un des groupes les plus influents de l'histoire du rock, précurseur du punk américain), auteur et compositeur d'albums solo extraordinaires (Berlin, New York) dont le plus connu est Transformer, avec Walk on the Wild Side et surtout Perfect Day, plus belle chanson du monde, qui a accédé il y a peu au rang de chanson culte grâce à Trainspotting de Danny Boyle.
Outre un chanteur et un compositeur remarquable, Reed est aussi un auteur de textes génial, un mec qui a tout compris à l'écriture poétique et à la musique des mots, à tel point que ses textes sans musique possèdent une force incomparable.
The Bells, que je vous propose ici, est son texte préféré, paru sur l'album The Bells, dans la chanson éponyme, morceau de 10 minutes dont les 6 premières minutes sont d'une lourdeur incroyable (lourdeur ne signifiant pas que c'est chiant ; c'est juste que ça impose une ambiance pesante), avant que Lou Reed ne se mette à chanter ce texte somptueux, les pleurs au bord des lèvres.
Pour ceux qui connaissent Kid A de Radiohead, sachez que ce dernier est en fait pour moi une version longue de la chanson The Bells, tant les points communs sont nombreux (trompettes étouffées, ambiance oppressante et déprimante, mélancolie, son électronique, absence quasi-totale de guitare, textes comparables, même timbre de voix parfois).
The Bells (1979)
And the actresses relate
to the actor who comes home late
after the plays have gone down
and the crowds have scattered around
Through the city lights and the streets
no ticket could beat
for the beautiful show of shows
Oh, Broadway only knows
The Great White Milky Way
it had something to say
when he fell down on his knees
after soaring through the air
With nothing to hold him there
it was really not so cute
to play without a parachute
as he stood upon the ledge
Looking out, he thought he saw a brook -
And he hollered, ''Look, there are the bells!''
and he sang out, ''Here come the bells!''
''Here come the bells!''
''Here come the bells!''
Impressionnant de majesté ...
Vous vous doutez bien que je fais référence à ma précédente photo où il y a la photo d'un dragon (ou d'un phoenix) seul...
Et là, c'est l'affrontement cataclismique !!!!
Voilà, pour compléter et faire suite à l'excellente critique de notre cher Padrino sur le film ISOLATION, voici de quoi vous en donner une idée avec cette bande-annonce...
L'E-coli, quand elle ne sert pas à la réalisation de photos, se retrouve assez facilement : au sortir des toilettes, sur des mains pas lavées, et par extension, sur les cacahuètes du bar où vous sirotez un lait fraise... Mais sur les téléphones portables, vous y aviez pensé ?
Cette semaine, une brève enquête a relaté combien ces engins technologiques, déjà bourrés de puces, peuvent receler de bactéries. Alors que l'on s'inquiétait voilà quelque temps des souris de cybercafés, des microbiologistes ont dévoilé la célèbre recette du bouillon de culture adaptée aux portables : humidité due à la manipulation constante et chaleur !
Parmi les grands classiques, on trouve le staphylocoque doré, réputé pour ses pouvoirs invasifs et toxiques. Il engendre en vrac otites, sinusites, furoncles, panaris et autres infections, voire méningites etc.