Eh voilà, la 20ème édition de la Coupe du monde de football va bientôt commencer, et celle-ci se passe au pays roi de la discipline : le Brésil ! Outre le fait que la nation ôte à eu un mal de touts les diables pour boucler la construction des structures et la planification des services (accueil, transport des supporter...) avant la date limite ; outre le fait que les joueurs brassent des millions jugé bien souvent à tord ; outre le fait que les membres de notre chère équipe nationale n'ont pas toujours brillé par leur amour éclatant du maillot et par de quelconque valeurs morales ; le football doit continuer à être vu comme une fête, comme un jeu d'équipe permettant de nouer des liens entre les Hommes, d'éclater les barrières entre les peuples, de se surpasser au nom du beau jeu, et bla bla bla et bla bla bla.
Et puisqu'on est vachement des opportunistes quand même à Retro Gamekyo, on s'est dit qu'on aller s'intéresser à un des jeux de foot les plus emblématiques de la période 16-bits. Bon pi quelque part si ça te plait pas, bah tu peux quitter cette page hein .
À l'époque, Konami et Electronic Arts n'étaient pas encore opposés dans la guerre des jeux de football annuels, aussi, la production de Human Entertainment jouis d'un petit aspect arcade savoureux. Habitués de l'exercice, Human avait déjà produit trois soft de sport : Formation Soccer (dont Super Soccer sera la suite), Final Match Tennis et Fire Pro Wrestling sur PC-Engine. Le pendant footballistique de Super Tennis était trouvé, ce qui permettrait à la SNES d'avoir un catalogue de départ un peu plus solide.
Déjà à l'époque, en 1991, Nintendo avait le nez creux et l'odorat fin en ce qui concerne le marketing. En effet, quoi de mieux qu'un jeu de football pour charmer le public européen et surtout pour contrer SEGA et sa Megadrive accompagnée le jour de sa sortie (plus d'un an plus tôt) de titre tel que Golden Axe et Altered Beast, dont sont friands les gamer du vieux continent ? Oh, bien sur, la console se paraît déjà d'un excellentissime Super Mario World, délice parmi les jeux de plate-forme 16-bits, mais Super Soccer avait assurément une aura particulière à l'aube d'un EURO 1992 où la France sera éliminée en phase de poule. Le cœur de l'Europe toute entière bat au rythme de cette compétition où verra se hisser au sommet une improbable équipe du Danemark. Le succès commercial est assuré, mais quand est-il de l'aspect critique ?
Le jeu prend la forme d'un tournoi où s'affronte 16 équipes parmi les meilleures de l'époque, de la plus forte à la plus faible : Allemagne, Argentine, Italie, Brésil, Hollande, Angleterre, Cameroun, Roumanie, Irlande, France, USA, Japon, Colombie, Yougoslavie, Uruguay et Belgique. Tour à tour, il faudra défaire les équipes qui se dresseront face à la votre en commençant invariablement par la Belgique (l'Uruguay si vous choisissez les footeux du plat pays... bon courage!) et en finissant par affronter l'équipe qui de toute façon gagne toujours à la fin, comme dirait Gary Lineker, l'Allemagne. 10 minutes par match, 10 minutes qui parfois s'avèreront diablement courtes, ou longues, c'est selon, tant les décisions arbitrales et la (trop) grande habilité dont fait preuve l'ordinateur seront infernales à supporter. En effet, si le CPU à tendance à laisser passer la plupart des tacles, donnant par ailleurs un dynamise certain au déroulement d'un match, il n'en est clairement pas de même lorsque vous décidez de jouer des épaules. Enfin, cela aurait put être acceptable si seulement l'arbitre se décidait de temps en temps à faire profiter l'adversaire d'une biscotte ou deux, plutôt que vous. Il n'est pas rare de voir un défenseur adverse renverser votre attaquant dix fois de suite sans jamais déclencher un coup de sifflet, tandis que lorsqu'il s'agit de vous, l'étau se resserre dangereusement autour de votre gorge... Et c'est sans compter les fois où votre gardien de but sera submergé de tirs adverses parce que celui-ci, voulant rendre le ballon à un de ses partenaires pour relancer le jeu, verra sa passe miraculeusement interceptée par un attaquant qui s'empressa de fondre sur les cages à nouveau. Ça arrive, bien entendu, mais trois fois de suite, voire plus parfois ? J'ai des doutes.
Super Soccer dispose d'un système qui réclame quelques temps d'adaptation. Ainsi, c'est la direction dans lequel le ballon est envoyé qui détermine quel joueur vous contrôlez au départ et à l'arrivé de l'action. Chose désormais courante dans les jeux de football, ici, ce n'est pas toujours évident puisque rien n'indique graphiquement de quel joueur vous allez devoir prendre le contrôle pour continuer d'avancer. Aussi, il faut savoir ressentir les choses, être réactif et sentir le court du jeu afin de fluidifier au maximum votre progression sur le terrain. Un feeling qui une fois acquis s'avère très agréable. Mais qui ne saura pas accessible à tous, assurément.
Mais même après quelques sessions d'entrainement, une problématique subsiste, c'est qu'on a du mal à se positionner par rapport au porteur du ballon (parce que je le rappelle, rien n'indique clairement quel joueur dispose du ballon et quel joueur nous contrôlons). Ainsi, on se résigne à y aller à tâtons, sans tenter la moindre accélération et surtout pas en essayant de se la jouer connaisseur et super technique. Quand on essaye une passe, on s'arrête, on vise et on passe, pareil pour tirer. C'est handicapant quand on se confronte à un milieux de terrain rapide comme celui de l'Argentine ou contre une défense de fer qui exécute un lourd pressing comme l'Italie.
En règle générale, le CPU est quasi imprenable. Les joueurs adverses bénéficient toujours d'un placement quasi parfait, ils court très très vite et souvent dans la bonne direction, anticipent la moitié de vos transmissions, et ont tendance à claquer le cuir au fond de vos filets à la moindre tentative tandis que vous échouerez cinq ou six fois d'affilé avant de cadrer le moindre tir.
Mais il y a quand même moyen de gruger la machine, parce que bon, l'intelligence humaine restera supérieure à l'ordinateur, j'espère, autant que possible. Ainsi, si on veut espérer marquer plus d'un but et ceci sans trop charcler le match comme si c'était du catch plutôt que du foot, il faut renoncer aux belles passes en triangle et aux déplacement en profondeur. Aussi vite que possible, il faut fournir en ballon un attaquant ou un milieu offensif et courir comme un dératé à travers la défense adverse, tel un Walkyrie sur son fier destrier et tenter de crucifier le goal d'une frappe bien sentie. En sus, il faudra aussi dévier l'axe de sa course à divers endroit clé du terrain afin de faire cesser le pressing de récupération de certain joueur qui, si ils veulent vous suivre, seront obliger de quitter leur poste, chose que l'ordinateur ne leur permet pas (encore heureux, d'ailleurs) ; et enfin ne pas oublier de matraquer le bouton Y à chaque fois que vous tirer pour espérer placer un glorieux coup de tête si jamais le gardien repousse votre frappe. On sait jamais, sur un mal entendu ça peut fonctionner.
C'est pas finaud, mais heureusement c'est presque indispensable que contre les très grosses équipes comme la Mannschaft et la Seleção. Pour des équipes en dessous de la 8ème place (donc peu ou prou la moitié du jeu), il y a encore moyen de construire un beau jeu et de tenter quelques échanges de ballon en bonne et due forme.
Mais je manque gravement à mon devoir, car avant tout cela, il faut considérer le choix de l'équipe et ensuite celui de la formation. Ainsi, les 16 nations sont jugées selon trois critères globales, qui seront présentes elles aussi pour chaque joueur de l'équipe. Attaque, pour la capacité à se projeter vers l'avant d'un seul homme, la défense, qui agit sur la réussite des tacles et de la récupération du ballon et la vitesse qui détermine la rapidité de replacement de vos joueurs lorsqu'ils perdent le contrôle du jeu. On retrouve le gros des schémas de placement que l'ont connaissaient du football de l'époque (et que l'ont connait aujourd'hui, à vrai dire le football du début des années 90 est relativement identique à celui de 2014, c'est à partir de cette décennie qu'on commencera à appeler cela le « football moderne » en comparaison à ce qui se passait sur les terrains dans les années 40-50-60 et 70). Le grand classique 4-4-2 (4 défenseurs, 4 milieux, 2 attaquants), l'un peu moins emblématique 4-3-3 pour des équipes qui se portent facilement vers l'avant comme la Hollande (et la France qu'on voit ces dernières semaines à la télévision sous Deschamps, d'ailleurs !) ; ou encore l'ubuesque et quasi injouable 2-3-5 qui impose au joueur de crucifier l'adversaire de 6 buts d'écart dés le début du match pour ne pas risquer de se faire submerger par des contre-attaques foudroyantes qui mettrons sévèrement à mal vos deux pauvres défenseurs, désespérément isolés. Ainsi, si comme dit précédemment vous privilégiez l'attaque en solo à travers toute la défense adverse plutôt que la construction du jeu balle au pied, il ne suffit pas de placer 4 attaquants en bout de terrain. Il s'agit de trouver le bon équilibre pour tout d'abord mettre le pied sur le cuir dans le rond central, et ensuite trouver quelque voie de transmissions entre le centre et la pointe de l'attaque tout en gardant quelques joueurs plus bas afin de parer à toute remonté adverse. Quelques subtilités selon certaines formations font dés lors leur apparition, comme la présence d'un libéro qui peut aussi bien défendre qu'apporter un poids supplémentaire lors d'une attaque massive, mais qui en contre partie peut aussi servir de gardien en lieux et place du véritable gardien si jamais celui-ci vient à louper une sortie hasardeuse.
Au début de la review, je disais que Super Soccer bénéficiait d'un aspect subtilement arcade. Outre le fait que son gameplay s'éloigne d'un ISS d'un point de vue simulation autant que Mario Kart s'éloigne d'un Formula One Grand Prix, cela se traduit aussi par son aspect graphique. À commencer par ce foisonnement de couleurs chatoyantes, ce terrain vert éclatant, ces petites têtes blondes et ces maillots azuréens et rubiconds qui se promène partout sur l'écran !
Nintendo n'a pas choisit de mettre en avant Super Soccer avec sa nouvelle console par hasard, puisque c'est en 1992 (décembre 1991 pour les japonais) probablement le meilleur (et même le seul avec F-Zero) jeu à mettre grandement en valeur le fameux mode 7, le même qui donne une impression de profondeur avec un simili 3D bluffante pour l'époque. Sensation renforcée quand on sait que Human Entertainment à rabaissé la caméra à niveau du terrain par rapport à Formation Soccer sur PC-Engine justement pour profiter du mode 7. C'est d'ailleurs ce qui fera que Super Soccer sera plus souvent évoqué que Super Tennis par exemple en ce qui concerne le mode 7, car oui, le jeu de tennis de Tokyo Shoseki propose lui aussi cette feature mais de façon bien moins sensationnelle. Plus vous reculez vers vos cages, plus l'horizon du terrain se fera éloignée et inversement.
L'absence de visage des joueurs leur confère un allure plus proche du nain de jardin que de l'être humain, d'autant que par rapport à la version japonaise (et ceci n'a rien à voir avec le 50 hertz), l'assemblage de sprite fut remanié pour donner l'impression de jouer avec de jeunes garçons plutôt que des hommes.
D'ailleurs, ce n'est pas là le seul changement que s'est permis Nintendo entre la version japonaise et occidentale. En vrac, on pourrait citer l'allure du trophée tant convoité et qui donne naissance à la compétition (la version d'origine ressemblait furieusement à la véritable coup de monde, celle de la version PAL se rapproche plus d'un trophée lambda), les publicités autour du stade (exit les panneaux publicitaires « Human », bonjour ceux avec marqués « Nintendo » et « Gameboy » dessus, gonflé, messieurs de chez Big N …!). Aussi, on suppose que la difficulté a été revue à la hausse pour nous autres pauvres hères européens. D'après le Joystick de l'époque, il s'agirait d'une réflexion des responsables de Nintendo Europe qui pensaient que les européens étaient plus doué que les japonais aux jeux de foot, étant donné que malgré Captain Tsubasa, le vieux continent demeurait maître dans cette discipline. C'est une raison comme une autre.
Enfin, la disparition pure et simple de la super équipe « Human Team » qu'on affronte à la toute fin du tournoi, après que ce gros empaffé de vendu d'arbitre à la bedaine arrogante n'ai volé la coupe (un peu d'humour ne fait jamais de mal, surtout après la souffrance encourue pour finir le jeu!), remplacé par la « Nintendo Team ». Décidément, l'éditeur ne se refuse rien.
Le côté arcade est accentué par le fait qu'il n'y ai pas de licence officielle, ce qui veut dire que Human n'avait pas le droit d'utiliser le véritable nom de joueurs. Il en va donc de petits surnoms que les supporters eux-même auraient put donner à leur joueurs favoris devant leur télévision. Cependant, il n'est pas compliqué de deviner le nom des stars du mondial 1990 italien si on s'y connait un minimum. Diego pour l'argentin Maradona, Sal pour la surprise italienne Salvatore Schillaci, Lotar pour le meneur de jeu de génie allemand Lothar Matthäus, Rudi pour le buteur prolifique teuton Rudi Völler, ou encore John pour John Barnes, l'un des meilleur ailier de l'histoire de l'Angleterre.
Globalement, le jeu n'est pas moche. La fluidité de l'animation des vingt-deux petits bonhomme à la fois est à souligner pour ce qui est un des touts premiers jeu du nouveau hardware de Nintendo. Aussi, Human Entertainment ne fait pas dans l’extravagance et se montre plutôt radin en ce qui concerne les effets spéciaux, éclats lumineux et autres genre d'artifice. Mais en soi, ce n'est pas grave car d'ensemble, Super Soccer bénéficie d'une patte graphique agréable à l’œil, reconnaissable parmi tant d'autre et qui au moins ne souffre d'aucun gros problème technique, une copie propre, en somme.
À noter aussi la présence d'une musique pour chaque équipe du tournoi, ce qui contribue encore plus à donner son aspect arcade frais et fun au jeu comparé à un brut jeu de simulation de football.
Difficile de porter une conclusion à cette review. En relisant, je me rend compte que je n'ai fais que plomber le jeu sur son gameplay, son atroce difficulté, son CPU intraitable, la propension que le joueur a à jouer de malchance quand l'équipe adverse, elle, plante 4 buts d'affilé en moins d'une minute... Alors qu'en fait, si on choppe le coup, il est vachement agréable à jouer. Et l'est d'autant plus si on joue avec un ami (comme ça, bye bye la perfection absolue du jeu de l'ordinateur qui ne fait jamais aucune erreur, vu comme ça, c'est clair, c'est infiniment plus sympa). C'est quitte ou double. Soit on s'amuse et après un temps d'effort, on maitrise, soit on galère pendant des années sans jamais réussir à dompter la machine, et on se prend jour après jour des 6-0 à la pelle.
Outre cela, Super Soccer bénéficie d'une ambiance inimitable, une aura de jeu culte et fun qui aura profiter d'une époque où le football pouvait encore intéresser tout le monde à la maison, et pas que les super passionnés. En France, le jeu aura était fort bien perçu, la mémoire collective se souvenant encore avec émoi des gentilshommes qui nous auront fait rêvé tels Platini, Fernandez, Papin, Tigana, Trésor et autre Giresse, héros des mondiaux 1982 et 1986 et du championnat d'Europe 1984.
Super Soccer est définitivement un des emblèmes d'une époque dorée pour l'amusement vidéoludique, celle des jeux vidéo 16-bits.
PETIT BONUS
- Shanks est en forme pour l'E3, attention à vot' cul les mecs ! -
un de mes jeux de foot préféré ! Je l'ai beaucoup aimé malgré ses défauts, quand on gère bien le gameplay (et aussi avec de la chance), on fini même par jouer en mode manuel pour le goal.
Quel jeu de ouf !!! je l'avais vu pour la 1ere fois dans un centre commercial en version japonaise ( super formation soccer ). J'étais scotché lol. La belle époque.
Comme quoi, y'a des choses à dire dans une review d'un bon vieux jeu de foot 16 bits quand on est bien informé
Très bonne review d'un genre assez peu abordé quand on parle retrogaming en général ça fait plaisir de lire de la qualité ces temps-ci en ton absence c'est rare
Ho putin mon premier jeu de Football,à l'époque ce jeu m'a traumatisé parce que ma Grand Mére me l'avais acheté au lieu de Donkey Kong Country 2 que je n'ai jamais eu d'ailleurs...
Je me souviens de la cartouche où elle avait pris soin d'écris Adrien sur la cartouche pour savoir à qui appartenait le jeu pour pas faire de disputes avec les cousins.
kratospheric ptdr oh oui moi aussi ça m'est arrivé!
Ma mère avait fait des croix sur certaines cartouches de jeu SNES pour les différencier de ceux de mes cousins du même âge, ça partait d'une bonne intention, mais moi j'avais piquer une méga colère parce que imagine c'est comme taggué le mur de chez toi ou rayer la peinture de ta bagnole
Du coup après ma grosse colère of the century elle avait nettoyé les cartouches, heureusement c'était pas du feutre indélébile
Anakaris : En meme temps,quand j'etais petit,je ne mesuré par l'importance de tout ça,elle avait écris dessus bah c'est tout quoi,par contre si elle l'avais fait de nos jours sur une cartouche de Super Metroid Le "punch" qu'elle aurait eu
Paix à son ame C'etait les moments les plus marquants avec le jeu vidéo et c'est aussi pour ça que j'en suis tant passionné.C'est finalement etre en quelque sorte Historien,d'aimé les jeux vidéo et d'avoir traversé quelques generations.
Le jeu que tu trouves encore partout pour une poignée d'euros...un incontournable de la SNES ! Et peu d'équipes comme la plupart des jeux de foot de l'époque, un jeu bien fun^^
Un des premiers jeux de foot que j'ai eu, on marquait à tout les coup avec des tirs diagonales.... meilleur jeu de foot 16bits je pense pas..il y a eu super stars soccer sur snes et sur neo geo il y avait sidekicks.
On avait fait la fin avec toutes les équipes avec mon frangin... une fois que tu sais qu'il faut mettre le gardien en manuel (car autrement tu te fais canarder surtout contre un pote), le jeu est assez facile avec le fameux n°7 du Japon (qui n'existe pas...). Y'avait même des copains qui venait chez nous pour nous défier (l'ancêtre du online...)
oloman334 je parlais pour moi bien sur. Je suis un fan aussi de la série des Super Sidekicks et j'adore aussi ISS mais Super Soccer a un petit quelque chose que les autres non pas je trouve.
anakaris Je me permet de te répondre sur cet article (que je n'avais malheureusement pas vu) après lecture je dois dire que tu signes encore une fois un excellent test plein de sincérité et qui donne envie aux joueurs de découvrir cette pépite 16 bits (même les non-fans du genre dont je fais partie ^^) bravo encore
La PC-Engine peut être un très bon choix niveau jeux inconnus aux yeux de beaucoup de joueurs, je te souhaite de futurs tests aussi réussis que ceux existants... même si je n'ai aucun doute sur la qualité de tes prochains articles
Squall294 on est en avance sur le programme !
Et affronter la team nintendo était le saint grall ^^ Et c'était bien bien coton pour la battre lol
Puis cette OST
Comme tu l'as dit, le truc complètement fou c'est l'arbitrage qui est souvent à l'avantage de l'IA
Très bonne review d'un genre assez peu abordé quand on parle retrogaming en général ça fait plaisir de lire de la qualité ces temps-ci en ton absence c'est rare
Je me souviens de la cartouche où elle avait pris soin d'écris Adrien sur la cartouche pour savoir à qui appartenait le jeu pour pas faire de disputes avec les cousins.
Ma mère avait fait des croix sur certaines cartouches de jeu SNES pour les différencier de ceux de mes cousins du même âge, ça partait d'une bonne intention, mais moi j'avais piquer une méga colère parce que imagine c'est comme taggué le mur de chez toi ou rayer la peinture de ta bagnole
Du coup après ma grosse colère of the century elle avait nettoyé les cartouches, heureusement c'était pas du feutre indélébile
Paix à son ame
je me souviens aussi de Formation Soccer sur Nec Pc Engine.
Chapeau, parce que ça reste agréable à lire. Comme d'hab…
ps: homme de gout ikki c'est le meilleur
Merci pour le test anakaris
La PC-Engine peut être un très bon choix niveau jeux inconnus aux yeux de beaucoup de joueurs, je te souhaite de futurs tests aussi réussis que ceux existants... même si je n'ai aucun doute sur la qualité de tes prochains articles