Quand un jeu vidéo arrive à concilier succès critique et commercial, il est tout à fait normal que l'on voit une suite débarquer dans les années suivantes. Beaucoup de licences ne peuvent se targuer d'avoir passé ce baptême du feu avec brio, mais dans cette étendue de sagas vidéoludiques se fut le cas pour une série bien connue des joueurs et dont la célébrité a franchie les frontières de son pays depuis bien longtemps.
Cette licence vous la connaissez tous... il s'agit de "Super Mario Bros". Quand on est fan de ce média il est totalement impossible de n'avoir jamais entendu parler de cette légende, encore aujourd'hui son aura est toujours bien présente et ses épisodes restent de bonne qualité, mieux encore son personnage principal est devenu la mascotte de son créateur au fil des années, de quoi peut-on rêver de mieux pour nos séries favorites? et bien qu'elles durent assez longtemps nous garantissant de nouveaux opus pour notre plus grand plaisir.
C'est très aisé de créer la suite d'une saga (que ce soit dans les domaine du cinéma ou bien de la littérature) là où c'est beaucoup plus compliqué c'est dans faire une de bonne qualité, je pense que plus on goûte à la véritable consécration plus il est difficile de pondre une suite qui contentera le public. Car les exigences des joueurs seront toujours de plus en plus nombreuses attendant au minimum l'équivalent en qualité du premier épisode ou quelque chose qui le surpasse, les développeurs doivent avoir une certaine pression sur les épaules au moment de la création de cet attendu second jet.
Du coup plusieurs choix s'offrent au firme du jeu vidéo, soit on prend pas de risque en sortant un titre qui garde les grandes lignes du précédent histoire de laisser le joueur sur un terrain connu, avec quelques ajouts pour justifier le fait de repasser à la caisse, soit on change tout le cahier des charges pour proposer du neuf en espérant que ce coup fasse mouche auprès des fans tout en touchant une nouvelle fanbase afin de grossir les ventes, mais ce cas est plutôt dangereux dans le sens ou soit on réussit ce prodige soit on se viande méchamment, un choix cornélien quand on tente de faire percer définitivement une jeune franchise. Et bien chez Nintendo on ne choisit pas on fait les deux!! un acte audacieux visant à plaire à toutes les audiences, une bonne idée si le travail derrière est bien fichu, le jeu traité dans cet article en est le parfait exemple.
Alors que le monde se remet tout doucement du choc de la première aventure de Mario, le second pointe le bout de son nez quelques printemps plus tard. C'est vers la fin des années 80 que débarque le tant attendu "Super Mario Bros 2" aux States et en Europe toujours sur la mythique Nes, titre qui n'arrivera au Japon qu'en 1992. Mais comment se fait-il qu'un jeu japonais ne sorte que bien plus tard dans son pays d'origine, chose totalement invraisemblable à l'époque? et bien c'est simple ce jeu est un imposteur (voilà le mot est lâché!) en fait ce deuxième Mario n'est pas le véritable "Super Mario Bros 2".
L'authentique second opus est sorti bien avant uniquement au Japon, ressemblant beaucoup au premier mais avec quelques différences notables, comme par exemple des aptitudes plus nuancées entre Mario et Luigi mais surtout des niveaux avec une difficulté plus accrue. Nintendo décide donc de ne pas sortir cette version hardcore dans le reste du monde, pensant sûrement que le jeu ne conviendrait pas au public occidental (hé ouais bande de noobs) nous ne découvrirons que ce jeu bien plus tard dans la compilation "Super Mario All-Stars" sorti sur Snes, revenu rien que pour nous sous le nom de Super Mario Bros mais accompagné du sous-titre "The Lost Levels", jeu assez corsé comparé au titre de base.
"Comparaison entre notre SMB2 et Yume Kōjō: Doki Doki Panic"
Mais alors quelle est donc cette cartouche qui trône fièrement dans la fente de ma console Nes? c'est juste le "Super Mario Bros 2" pour nous les occidentaux. il s'agit en fait de l'adaptation d'un autre jeu Nintendo, sorti en 1987 sur Famicom Disk System, portant le nom de "Yume Kōjō: Doki Doki Panic". C'est un jeu se déroulant dans un univers emprunté aux mille et une nuits sur lequel Nintendo à transposer un skin de Mario, qu'ils s'agissent de musiques ou d'objets bien connus de la série, afin de l'incorporer dans le monde des champignons, voilà pourquoi cet opus possède peu de similitudes avec le reste de la chronologie du plombier.
Au vue de la popularité grandissante de Mario et sa bande et à l'instar de la galette japonaise, notre mouture rejoindra aussi la compilation "All-Stars" réunissant enfin tous les épisodes Nes dans une seule boite, avec upgrade graphique par la même occasion. On peut dire que ce titre fait office de petit canard boiteux de la famille, jusqu'à le renommer "Super Mario USA" au Japon, D'ailleurs le scénario du jeu s'apparente à un simple rêve de Mario, histoire de pouvoir justifier simplement sa place dans la saga.
Ce jeu reste tout de même assez plaisant même si les codes ne sont point respectés, mais bon c'était beaucoup moins grave à l'époque étant donné que la série n'avait pas encore atteinte son apogée. Si la même situation se reproduisait aujourd'hui, vu le nombre de titres sortis à ce jour, c'est sûr que son gameplay déstabiliserait pas mal de fans de Mario.
Du coup comme le jeu est juste une adaptation dans le fond, on peut s'attendre à des changements manette en main? c'est bien évidemment le cas, le gameplay s'éloigne fortement du premier épisode, à l'époque on aurait pu parler de renouveau mais de nos jours le titre est en totale contradiction avec ce que l'on est en droit d'attendre d'un "Mario", je parle de la série principale bien sûr étant donné qu'il en fait partie à 100%. Pour commencer une surprise de taille, le joueur peut choisir de contrôler Mario ou Luigi mais aussi Toad et Peach (sûrement pour se rapprocher le plus du jeu original)
Soyons clairs le jeu peut être complété en jouant toujours le même personnage, pas de passage tordu vous obligeant à switcher (hum), même si certains passages seront bien entendus plus faciles en choisissant tel ou tel protagoniste et inversement, un bon point pouvant offrir des expériences différents en fonction de votre choix, après vous aurez toujours la possibilité de changer au début de chaque niveau si vous éprouvez une certaine difficulté en cours de partie. Qui dis plusieurs personnages sélectionnables dis une variété dans le gameplay, ainsi pour ne pas simplement servir de skins interchangeables les différents héros/héroine possèdent chacun des particularités bien distinctes, Mario sera le personnage équilibré par excellence au niveau de ses caractéristiques (saut, force et vitesse) tandis que Luigi lui sera supérieur quand il s'agira de bondir mais verra ses autres statistiques en baisse. Quand aux deux petits nouveaux, Toad sera en totale opposition de Luigi avec une balance vitesse/force en hausse mais un saut de faible portée, la princesse quand à elle sera la plus faible en tout point sauf qu'elle aura la faculté de flotter dans les airs quelques secondes à chaque virevoltement histoire de palier à ses aptitudes médiocres.
"Notre équipe au complet avec une Peach virevoltante"
Une fois s'être fait les mains avec cette équipe hors du commun intéressons-nous d'un peu plus prés au coeur du jeu c'est à dire son système général, le soft est divisé en 7 mondes fragmentés en plusieurs zones parfois se finissant par un boss, la plupart du temps il s'agira d'une version de Birdo, première chose frappante il est impossible quel que soit votre personnage d'écraser un ennemi en lui sautant dessus... oui je sais c'est plus ou moins inattendu dans une mouture estampillée "Super Mario Bros". la seule solution sera de littéralement arracher un légume du sol pour le jeter sur les monstres environnants, si aucune plante à l'horizon vous pourrez monter sur la tête de la pauvre bestiole passant par là et l'attraper afin de soit la balancer dans le vide pour vous en débarrasser ou bien de prendre une autre pour cible de façon à faire d'une pierre deux coups.
Un principe assez ingénieux et addictif avec lequel on s'habitue assez rapidement, ouvrant une vision élargie de la façon avec laquelle vous allez pouvoir franchir chaque étape dans les niveaux, avec le temps vous apprendrez
à prendre l'habitude d'utiliser votre environnement ainsi que le bestiaire à votre avantage qu'il s'agisse de prendre appui sur certains ennemis afin d'atteindre des zones surélevées ou bien à dos d'aigle qui vous conduira vers de mystérieux passages secrets. Il existe aussi d'autres sortes de projectiles à usage infini (à moins de le faire tomber dans un trou) pouvant être ramasser autant de fois que le joueur le souhaite, fortement utile en terme de bouclier ou d'arme de lancée et parsemés la plupart du temps dans la salle des boss, vous pourrez même renvoyer leurs propres munitions contre eux afin de pouvoir conserver une chance de battre votre adversaire.
"A vous de choisir comment vous défaire de vos ennemis"
Beaucoup d'autres objets seront accessibles, certains surtout ajoutés afin de faire la passerelle avec le reste de la série comme les étoiles, champignons ou bien les carapaces, les plus importants sont des clés protégées par des masques fantômes qui vous courseront jusqu'à la mort afin de récupérer leurs biens, il faudra faire preuve de dextérité durant cette course folle dans le sens où il n'y aucun moyen de les éliminer, sans compter que si vous lâchez cette clé elle retournera à sa place après un certain laps de temps. L'autre item utile est des espèces de potions magiques créant une porte qui donne sur une dimension miroir du monde dans lequel vous évoluez, pendant un court instant vous aurez la possibilité de ramasser des pièces ou des vies supplémentaires, elles conduisent aussi certaines fois vers les fameuses Warps Zones, l'utilisation des pièces ramassées se fera à chaque fin de stages via une roulette permettant d'engranger encore plus de vies. Globalement le jeu est très bon, et on arrive à comprendre sans mal le choix de Nintendo pour ce second épisode, niveau difficulté le soft se révèle correct même s'il est plus facile que le modèle de base étant donné que les développeurs ont ajoutés une fonction de course pour conserver l'esprit Mario aux yeux des fans.
"Une fois la clé en votre possession, filez sinon..."
Malgré son statut de version modifiée d'un autre jeu, cette variante sera intégrée avec brio au reste de la chronologie au point que plusieurs personnages intégreront les futures aventures de la bande à Mario, montrant clairement l'attachement à la série. Au niveau de son habillage on est largement un cran au dessus de son aîné (par conséquent de "The Lost Levels" aussi) la matière première provient en grande partie de "Yume Kōjō: Doki Doki Panic" mais malgré cela la patte du plombier ressort de la plus belle manière possible. Le jeu propose des sprites beaucoup plus détaillés de grandeur tout à fait honorable donnant plus de distinction entre les personnages, fini le temps où Mario et Luigi se ressemblaient comme deux gouttes d'eau là les frères arborent des physiques uniques réussis.
Les zones des niveaux sont comparables à de larges étendues colorées, le monde des rêves est un endroit plein de vie, même si le premier "Super Mario Bros" n'était pas avare au sujet de son aspect esthétique ce deuxième jet apporte un plus en terme de diversité artistique, la transition est parfaite qu'il s'agisse de traverser de verdoyantes plaines, des zones enneigées, des sombres grottes ou bien un désert aride, sans compter que chaque étape est habillée avec des nouveaux décors donnant un véritable plaisir de découverte au fil de votre avancée, principe qui sera sublimé dans le prochain opus sur Nes. Petit point fort sympathique, montrant que les graphismes peuvent être au service du scénario, la fin du jeu vous gratifiera de magnifiques illustrations (à l'époque évidemment) représentant notre héros en plein sommeil jusqu'à son réveil, signant en même temps l'aboutissement de son périple. C'est presque rien mais c'est le genre de détail qui donne un cachet supplémentaire à un jeu vidéo, comment un truc qui dure 30 secondes peut graver un jeu dans votre mémoire pour l'éternité.
Qu'en est-il du point de vue musical? et bien comme à l'accoutumé nous sommes face à un bon gros copié/collé du jeu original, mis à part quelques variations dans les thèmes choisis et bien sûr des réarrangements majeurs plutôt bénéfiques augmentant la qualité du son. On notera quand même le rajout de nouvelles pistes collant parfaitement à l'univers de Mario, faut quand même qu'on sache clairement où on pose les pieds dans ce jeu.
Le compositeur n'est d'autre que Kōji Kondō, grand habitué aux licences de Nintendo et réputé dans le monde du jeu vidéo, son travail est complet sur ce titre dans le sens où il est autant le créateur de la bande-son de "Yume Kōjō: Doki Doki Panic" que des réajustements sur sa seconde forme aux couleurs du plombier, je ne présenterais pas le palmarès du Monsieur étant donné qu'il est aussi long que mon bras mais sachez juste qu'il a boulotté sur une grande partie des licences les plus prestigieuses de Nintendo.
En décortiquant un minimum on remarque un ensemble de pistes ne manquant pas de rythmes, un thème principal plutôt entraînant qui restera dans les mémoires de par sa nature joviale, il n'y pas grand chose à dire sur le reste malheureusement même si je ne me permettrais jamais de le dénigrer, c'est loin d'être transcendant mais quand même de bonne qualité, petit coup de coeur pour le thème de fin qui conclura cette aventure d'une bien belle façon de par son caractère chaleureux.
"Thème principal de cet opus"
"Un repos bien mérité pour Mario"
Mon avis:
Au final nous sommes face à un très bon jeu, le qualifiant même de valeur sûre sur son support, un gameplay plein de fraîcheur muni d'une enveloppe de bonne facture, on s'éloigne énormément du schéma Mario mais ce n'est pas ce point qui vous empêchera d'apprécier ce titre du début à la fin, j'ai pris autant de plaisir à m'y replonger de nos jours que le première fois où j'ai posé mes mains dessus... j'irais même jusqu'à dire que je trouve le jeu tellement bien fichu qu'il est même dommage que Nintendo en ai fait un Mario. C'est vrai quoi le titre possède de grandes qualités qui se suffisent à elles mêmes, un petit quelque chose rendant le mélange final assezaccrocheur même si on lui enlève la touche Mario, franchement j'aurais autant apprécié le jeu dans sa forme original s'il était sorti en l'état sur la Nes. Mais bon je peux comprendre que cela devait être beaucoup plus vendeur de lui coller cette étiquette, mais malgré tout ça je ne peux m'arrêter de penser à ce pauvre "Yume Kōjō: Doki Doki Panic" complètement éclipsé par son créateur et qui malheureusement ne récoltera jamais les éloges qui lui sont dues. En tout cas quel que soit la version à laquelle vous allez jouer vous y passerez de bons moments et sincèrement n'est ce pas le plus important?
Très bon test.
C'est marrant comme les seconds épisodes de la Nes passent pour des vilains petits canards. Zelda, Madio, Castlevania ... Ayant joué aux 2 premiers cités, je les trouve très bons et respectant leur univers.
C'est peut être aussi qu'à l'époque ils diffusaient à la télé des animés de Mario dont j'étais vraiment à fond et ça collait énormément à ce jeu : https://www.youtube.com/watch?v=ce2__uqY_Sk
D'ailleurs j'aimerais tellement un Zelda qui colle à l'animé, avec un Link un peu moins Kitsch mais surtout le Méchant Ganon, les squelettes, la musique ... là ça serait un vrai Zelda !
un vrai jeu de rôle action comme ils savaient les faire à l'époque ou Square Enix sur Super Nes ça pourrait faire une très bonne licence je pense ... l'espoir fait vivre !
Il y a possibilité de tuer le phanto (le masque qui garde les clés), que ce soit par l'étoile d'invincibilité où une vieille technique qui consiste à lui jeter la clé un nombre élevé de fois (c'est une vieille astuce de magazine qui fonctionne)!
Le jeu d'origine était un jeu promotionnel pour un festival de nouvelles technologies au Japon, d'où les shyguy ou maskass en fr (heiho dans la version jap) qui représentent les masques distribués lors de celui-ci.
Petite digression: en parlant de shyguy, les pirates du film Disney Vaiana m'y ont fait penser: des personnages de petite taille dont on ne verra jamais le corps et la tête!
Des anciens mario c'est sans doute mon préféré, rien que le gameplay est ingénieux, fantaisiste. L'univers est décalé comparé aux autres jeux du genre. J'aurais aimé savoir qui est le directeur et sil par la suite il à diriger d'autres jeux ?
Merveilleux test l'ami comme d'hab! Perso, malgré le fait que ce soit un remaquillage complet de Doki doki panic en Mario, j'ai vraiment adoré et je suis assez surpris par la note que tu as mise que je trouve un peu basse, vu l'excellence (et l'originalité du coup) du jeu. Evidemment c'est ton avis et je respecte, mais pour moi Mario 2 est vraiment incontournable même si effectivement, il est inférieur au 3.
arngrim En fait j'hésitais pour la note finale, mais au dernier moment j'ai opté pour ce chiffre dans le sens où le jeu ne reste qu'une adaptation de Doki doki panic en y repensant avec du recul... par exemple si c'est ce dernier que j'aurais testé la note aurait été plus élevée
Mais cela ne change rien au fait que je trouve ce Mario excellent sur lequel j'ai passé de très bons moments
docteurdeggman quelque part, c'est un peu le même schéma de "changement" que pour Zelda, ce Mario 2. Les bases des séries Mario et Zelda sont fixées des le 1er opus mais en même temps pas tant que cela à croire, quand on voit ce que Nintendo a tenter de neuf avec les second épisodes.
À se demander ce qu'ils désiraient réellement faire avec ça quand on voit que les troisième jeux de Mario et Zelda reviennent à des bases beaucoup plus classiques qui deviendront des modèles ancestraux pour les 20 ans à venir de leur série respective.
Excellent test que j'ai lu en retard en tout cas, comme toujours, bravo monsieur Deggman
C'est marrant comme les seconds épisodes de la Nes passent pour des vilains petits canards. Zelda, Madio, Castlevania ... Ayant joué aux 2 premiers cités, je les trouve très bons et respectant leur univers.
C'est peut être aussi qu'à l'époque ils diffusaient à la télé des animés de Mario dont j'étais vraiment à fond et ça collait énormément à ce jeu : https://www.youtube.com/watch?v=ce2__uqY_Sk
De même pour Zelda : https://www.youtube.com/watch?v=agx03T0g-IU
D'ailleurs j'aimerais tellement un Zelda qui colle à l'animé, avec un Link un peu moins Kitsch mais surtout le Méchant Ganon, les squelettes, la musique ... là ça serait un vrai Zelda !
Et pour finir si Nintendo pouvait nous pondre sur la Switch un jeu basé sur Captain N :The Game Master https://www.youtube.com/watch?v=Z5N2dgN_Lac&list=PLySo2SlSHPSMlN0-AGtCSZUWiabfKeRmc
un vrai jeu de rôle action comme ils savaient les faire à l'époque ou Square Enix sur Super Nes ça pourrait faire une très bonne licence je pense ... l'espoir fait vivre !
Le jeu d'origine était un jeu promotionnel pour un festival de nouvelles technologies au Japon, d'où les shyguy ou maskass en fr (heiho dans la version jap) qui représentent les masques distribués lors de celui-ci.
Petite digression: en parlant de shyguy, les pirates du film Disney Vaiana m'y ont fait penser: des personnages de petite taille dont on ne verra jamais le corps et la tête!
Excellent test, même si c'est clairement pas le Mario que j'ai le plus pratiqué sur cette console, mon préféré restant le 3
Un bon jeu , mais sur Nes , Super Mario Bros 3 est imbattable !
Je l'ai soude pendant des heures
arngrim En fait j'hésitais pour la note finale, mais au dernier moment j'ai opté pour ce chiffre dans le sens où le jeu ne reste qu'une adaptation de Doki doki panic en y repensant avec du recul... par exemple si c'est ce dernier que j'aurais testé la note aurait été plus élevée
Mais cela ne change rien au fait que je trouve ce Mario excellent sur lequel j'ai passé de très bons moments
À se demander ce qu'ils désiraient réellement faire avec ça quand on voit que les troisième jeux de Mario et Zelda reviennent à des bases beaucoup plus classiques qui deviendront des modèles ancestraux pour les 20 ans à venir de leur série respective.
Excellent test que j'ai lu en retard en tout cas, comme toujours, bravo monsieur Deggman