JVFrance 8/10
Difficile de remettre au goût du jour le père du survival-horror, et pourtant, le studio Pieces Interactive y arrive et nous propose ici un hommage totalement bluffant, nous transportant dans un univers cauchemardesque à la sauce Lovecraftienne. Bien qu’en deçà des mastodontes graphiques du moment, Alone in the Dark arrive à imposer son rythme ainsi que son atmosphère pour nous convaincre de plonger pleinement dans son univers lugubre et terriblement intriguant. Proposant un temps de jeu d’environ une dizaine d’heures, le titre saura vous combler, que vous soyez ou non amateur du genre. Pour les fans de la première heure, vous serez ravis de pouvoir retrouver le manoir de Derceto parfaitement retranscrit et modélisé, reprenant parfois les plans originaux de la version de 1992 et dissimulant des clins d’œil à celui-ci. Malgré quelques petits bugs et des soucis d’optimisation, Alone in the Dark est le jeu d’horreur/suspense du moment à ne surtout pas manquer. À votre tour, attrapez vos lampes, avancez à tâtons dans les sombres couloirs de Derceto et percez le mystère qui plane autour du manoir.
IGNFrance 7/10
Malgré quelques couacs et une construction finalement assez classique inhérente à un reboot d'un titre lui-même classique, Alone In The Dark n’en reste pas moins un jeu qu’on aime sillonner. L’ambiance est franchement au rendez-vous tout au long de l’intrigue, et le rythme de complétion des énigmes ainsi que la progression sont très bien gérées. S’il ne pourra évidemment pas prétendre au titre de Jeu de l’année, on le conseille aisément aux fans de la première heure qui apprécieront cette nouvelle vision, aux aficionados de survival-horror à la Resident Evil, mais aussi aux novices à la recherche d’une bonne porte d’entrée pour le genre.
JDG 7/10
Alone in the Dark est de retour avec un remake qui reprend les intrigues du premier opus. Un projet modeste, avec un jeu AA bien loin des moyens et des ambitions d'un survival-horror AAA. Et pourtant, ce remake d'Alone in the Dark parvient à nous offrir une aventure sympathique, avec de bonnes idées. Non sans défaut, le titre parvient à nous offrir l'essentiel : une aventure angoissante, avec une très bonne ambiance fidèle au jeu original. Un bon moment garantie pour les fans de la licence et du genre.
Millenium 70%
Ce reboot d'Alone in the Dark est principalement porté par ses personnages et son histoire dont les moyens narratifs particulièrement soignés nous plonge dans une ambiance et un scénario intrigants. Les combats et les énigmes sont malheureusement décevants et on retiendra seulement une poignée d'affrontements mémorables et quelques (trop) rares énigmes retorses. Cet Alone in the Dark version 2024 ne deviendra pas un incontournable du genre, néanmoins, il occupera correctement les amateurs de survival-horror jusqu'à la sortie du remake de Silent Hill 2.
Actua 6/10
Avec ce nouvel Alone in the Dark, Pieces Interactive revisite, réinvente et modernise un mythe du survival horror. On ne retrouve pas exactement l’expérience de 1992, mais cette nouvelle interprétation se distingue par son scénario qui la rapproche du thriller psychologique. Le studio a aussi fait le bon choix en s’inspirant du gameplay de Resident Evil 2, mètre-étalon du genre depuis 2019. De nombreux problèmes techniques empêchent une immersion complète hélas, qu’il s’agisse de bugs ou de faiblesses dans la mise en scène. On se réjouit malgré tout du retour convaincant d’une série historique qui s’est, petit à petit, enfoncée dans les ténèbres de l’anonymat. Pourvu que THQ Nordic donne suite à cet épisode de la réconciliation.
ActuGaming 5,5/10
On devine un bon jeu derrière la myriade de bugs et de petits problèmes rencontrés sur cette courte aventure. Alone in the Dark partait assurément de bonnes intentions, et il transpire la passion de ses développeurs pour l’univers imaginé par Frédérick Raynal. Malheureusement, malgré quelques qualités sautant aux yeux, notamment en termes d’ambiance et de mise en scène, conférant au titre une identité très appréciable, trop de choses demeurent à revoir, à commencer par les combats. La franchise semble définitivement maudite…
Gameblog 4/10
À sa sortie en 1992, Alone in the Dark était considéré comme une révolution. Un jeu fondateur du survival horror qui a permis, entre autres, à Resident Evil d’exister. La mise en chantier d’un remake était donc parfaitement légitime en soi, mais à l’arrivée, c’est la déception et un rendez-vous clairement manqué. Cette nouvelle version ne parvient absolument pas à se hisser au niveau des standards actuels, même vis-à-vis de jeux indés, et échoue sur beaucoup trop de points. Si l’on apprécie que cette lourdeur soit conservée, les combats comme d’autres séquences manquent de finition. L’ambiance générale de film noir, avec cette musique doom jazz, est séduisante, mais sous-exploitée. Et de l’autre côté, il y a beaucoup trop de soucis de mise en scène, de narration et une absence de moments réellement marquants. Il en résulte une aventure assez plate tout du long, voire fade, pour un titre qui ne vous fera ni ressentir de peur, ni de tension, mais probablement de l’ennui. Le maître a été bien rattrapé par son disciple et s’est fait dépasser. Le premier raté de 2024.
CNPlay 4/10
Rendre hommage à un mythe, un pionner n'est pas chose aisée j'en conviens mais tout de même ! Où est passé le contrôle qualité avant l'envoi des codes pour les testeurs ? C'est incroyable d'avoir un jeu pareil entre les mains en 2024 (malgré plusieurs reports). La hype était totale pour moi à son annonce, le fait que le tout soit adoubé par son créateur original semblait être un gage de qualité mais on se retrouve vite triste et démuni devant tant de laxisme avec une telle franchise. Alone in the Dark 2024 est un titre à oublier même si cela va être dur car j'en attendais tellement...
Mais...je sais pas, moi le trailer me botte bien. Graphiquement on a vu mieux c'est sur mais l'ambiance a franchement l'air détre réussi. Je me ferais ma propre opinion.
Dernièrement j'ai parlé d'un jeu appelé OTXO, un hotline miami-like, sans essayer on a écrit "c'est nul"...
Bon c'est vrai n'importe qui peut filmé avec un smartphone aujourd'hui peut se considéré comme un journaliste, c'est un métier devenue tellement insignifiant.
Bon c'est vrai n'importe qui peut filmé avec un smartphone aujourd'hui peut se considéré comme un journaliste, c'est un métier devenue tellement insignifiant.
Autre exemple sur jvc.com : Castlevania Mirror or Fate 3DS a condamné les ventes de ce jeu en France, acclamé par la critique mondiale, jeu vraiment fun.
Il a fallu d'un type qui décide ce qui est bien et ce qui est mal...
Tous ca c'est de la branlette intellectuel.
J'ai vu le trailer, validé, j'ai fait le prologue ,validé, je regarder deux troi minutes de gameplay histoire deble faire une idée du truc hors communication, validé.
Du coup demain je vais enrichir leclercs de 42 euros, n'en deplaise au rageux.