« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
CinemaTeaser 5/5
Une fresque pleine de bruit, de fureur, de vomi, de sexe, de sang. Et au milieu, le cinéma. Épuisant, passionnant, radical. Magistral !
La voix du Nord 5/5
Il faut voir comment Damien Chazelle utilise finalement tous les artifices du cinéma pour réussir une fresque de trois heures à la fois lumineuse, grotesque et tragique pour arriver à prouver, particulièrement dans son ultime chapitre, que le septième art se révélera éternellement plus grand que ceux qui le font.
Le Parisien 5/5
Aux manettes, le réalisateur Damien Chazelle fait merveille en jouant avec les méthodes utilisées à l’époque : peu d’effets spéciaux, beaucoup de figurants, un tournage en 35 mm et en Cinémascope, et de la déraison à revendre.
Les Echos 5/5
Cette fiction hors norme, incarnée par Brad Pitt et Margot Robbie, confirme le talent inclassable de son auteur.
SudOuest 5/5
Cette tragédie baroque est du début à la fin captivante, car le réalisateur de « Whiplash » et « La la land » est le maître du rythme. Damien Chazelle ne craint ni excès ni démesure, il affirme une folle liberté de cinéaste, jusqu’à une séquence finale époustouflante.
20 Minutes 4/5
Damien Chazelle offre un voyage dans le temps spectaculaire avec l’impressionnante fresque Babylon.
FranceInfo Culture 4/5
Une reconstitution au cordeau du Hollywood des années 1920, à la mise en scène ébouriffante, et où le réalisateur américain donne un de ses meilleurs rôles à Brad Pitt.
L'Obs 4/5
Pleine de musique et de fluides corporels, cette fresque too much – trop exaltée, trop démonstrative −, outrancière et documentée, inégale mais passionnante, trouve son sens dans ses moments de gueules de bois et ses petites épiphanies mélancoliques.
La Figaro 4/5
Avec son nouveau film, le réalisateur de La La Land reproduit toute la démesure du Hollywood des années 1920. Trois heures de montagnes russes dont on ressort KO, et ravi.
Le Point 4/5
Épuisant mais surtout réjouissant.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Pour parler de l’Histoire du cinéma, Damien Chazelle conjugue brillance et excès au sein d’une fresque ludique.
Paris Match 4/5
Au-delà d'une mise en scène folle d'inventivité, d'un casting aux petits oignons, voilà une œuvre manifeste qui revendique l'excès de sa narration, ses personnages empiriques et sa rythmique saccadée.
Télérama 4/5
Le cinéphile Damien Chazelle s’est judicieusement méfié de la mémoire des spécialistes, des noms qu’il faut connaître, des incontournables qu’il faut citer. C’est une histoire collective qu’il veut partager.
Le journal du Dimanche 3/5
Parfois la provocation sonne faux -n’est pas Gaspar Noé qui veut- et le récit choral se disperse. Reste que cet objet théorique désarçonnant, à travers la mise en abyme, décortique les fantasmes et la psychologie humaine avec une liberté et une indépendance remarquables.
Première 3/5
Difficile de bouder son plaisir devant ce geste d’amoureux éperdu mais lucide du septième art.
Le Monde 2/5
Babylon emboîte les séquences comme d’imposants tableaux que traversent des parades felliniennes. A chaque fois, le même principe : la situation pourrit lentement, court vers la gueule de bois, révélant peu à peu son envers cauchemardesque.
Les Inrockuptibles 2/5
Chazelle, on l’avait déjà identifié dans ses œuvres précédentes, est semblable à ses héros : travailleur acharné et technicien hors pair, il lui manque encore la finesse de trait.
Libération 2/5
Faire le procès en mauvais goût de Babylon justifierait sans mal de ne rien vouloir en sauver. Foutu pour foutu, on veut bien sauver le repoussant si c’est à ça que tient la part attendrissante du film, avec ses choix difformes qui lui font gagner en inquiétude, sa naïveté [...], son gigantisme ludique et enragé.
Cahier du cinéma 1/5
Toutes les scènes sont montées selon des effets de crescendo, voire d’orgasme, surlignés par l’insupportable mickeymousing du compositeur Justin Hurwitz, mais cette agitation tient du bouche-à-bouche désespéré, tout comme la surexpressivité du jeu d’acteur présentée comme un feu sacré.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Atsuko Ishizuka signe un récit initiatique empreint de tendresse et de mélancolie, servi par des images splendides.
L'Obs 3/5
La première partie s’embourbe dans un scénario entortillé et une impression de déjà-vu. L’épilogue (hélas trop bref) relève en revanche le niveau avec un coup de théâtre aussi inattendu que bouleversant.
Première 3/5
Goodbye rappelle avec une infinie délicatesse la douleur qui accompagne souvent la sortie de l'enfance.
Télérama 3/5
On pense à l’attachante petite bande du Stand by Me de Rob Reiner, jusqu’au bout, ou presque. Car la conclusion, fastidieux enchaînement de séquences mélo plutôt grandiloquentes, n’est pas vraiment à la hauteur du reste.
Le Journal du Dimanche 2/5
Une aventure introspective et mélancolique, un peu trop lacrymale.
Je comprends pas le procès négatif pour Babylon. Je l'ai vu hier, et il est certes long, mais ce qu'il raconte sur l'histoire du cinéma et de sa valeur, etc. Un film qu'on se rappellera dans 20 ans comme monument et culte à ne pas en douter !
nicolasgourry Complètement ! Des films qui cherchent à raconter quelque chose et avoir un propos, un réel fond et une forme toute aussi belle.
Une certaine nostalgie d'une époque dans un sens et un problème dans ce milieu. Franchement, si on aime un tant soi peu le cinéma et son histoire, c'est magique ! Après, que l'on aime pas parce qu'on se sent visé et critiqué, ça c'est autre chose lol
playstation2008 perso c'est film comme celui là, tu es pas sur de la qualité et quand tu va au cinéma tu veut pas aller voir un film qui sera peut être mauvais.
Les films au collant au moins tu es à peut près sûr de leurs qualité, même un film d'animation.
palan Je trouve que c'est une pensée assez triste et sombre. Comment juger de la qualité d'un film si tu ne l'as pas vu ? Ou si tu n'essaies pas de le voir ?
En pensant tous comme ça, bah tu te retrouves avec des films de qualités qui flop...
Et au contraire, des films de merde en matière de qualité de fond et de forme, qui pourtant fonctionnent parce que tu es "à peu près sûr de la qualité"... Ou je dirais plus précisément que tu es sûr de ce qu'on va te donner.
Parce que les fils au collant, ça fait bien 2-3 ans faciles que la qualité n'est plus du tout au rendez-vous.
Je comprends le truc de se dire d'être frileux, d'avoir peur de "perdre son temps" en allant au cinéma pour aller voir un film qui sera "peut-être mauvais". Mais même là, c'est un peu étrange.
Hors, la majorité des gens passent 90% de leur temps à le perdre à regarder des bouses estampillées Netflix... Donc cette excuse ne vaut pas vraiment.
Il faut donner la chance aux films, et juger pour soi en le voyant, quel qu'il soit. Parce qu'en allant voir certains films, t'es garanti que ça sera mauvais et pourtant les gens y vont (cf. les films au collant). Oui c'est divertissant ma foi, et encore... Black Adam c'était abominable tant c'était nul et moche... Thor 4, affreux (et j'adore pourtant le perso), Black Panther 2 pas mal mais manque complètement son sujet principal... Ant-man 3, zéro hype !
Bref, sans jamais essayer, on ne peut pas réellement voir. Et le cinéma meurt à cause de cette pensée commune.
Whiplash Chef-d'œuvre
Une certaine nostalgie d'une époque dans un sens et un problème dans ce milieu. Franchement, si on aime un tant soi peu le cinéma et son histoire, c'est magique ! Après, que l'on aime pas parce qu'on se sent visé et critiqué, ça c'est autre chose lol
Les films au collant au moins tu es à peut près sûr de leurs qualité, même un film d'animation.
En pensant tous comme ça, bah tu te retrouves avec des films de qualités qui flop...
Et au contraire, des films de merde en matière de qualité de fond et de forme, qui pourtant fonctionnent parce que tu es "à peu près sûr de la qualité"... Ou je dirais plus précisément que tu es sûr de ce qu'on va te donner.
Parce que les fils au collant, ça fait bien 2-3 ans faciles que la qualité n'est plus du tout au rendez-vous.
Je comprends le truc de se dire d'être frileux, d'avoir peur de "perdre son temps" en allant au cinéma pour aller voir un film qui sera "peut-être mauvais". Mais même là, c'est un peu étrange.
Hors, la majorité des gens passent 90% de leur temps à le perdre à regarder des bouses estampillées Netflix... Donc cette excuse ne vaut pas vraiment.
Il faut donner la chance aux films, et juger pour soi en le voyant, quel qu'il soit. Parce qu'en allant voir certains films, t'es garanti que ça sera mauvais et pourtant les gens y vont (cf. les films au collant). Oui c'est divertissant ma foi, et encore... Black Adam c'était abominable tant c'était nul et moche... Thor 4, affreux (et j'adore pourtant le perso), Black Panther 2 pas mal mais manque complètement son sujet principal... Ant-man 3, zéro hype !
Bref, sans jamais essayer, on ne peut pas réellement voir. Et le cinéma meurt à cause de cette pensée commune.