GameWave 20/20
Sans surprise, Split Fiction s’impose comme un complément idéal aux œuvres déjà cultes d’Hazelight. Porté par une histoire captivante et un gameplay en perpétuel renouvellement, à la fois asymétrique et complémentaire, voire presque novateur, le titre possède tous les atouts pour embarquer les joueurs en duo à travers des univers aussi variés qu’inventifs.
Ajoutez à cela une direction artistique et sonore soignée et vous obtenez une expérience qui s’impose comme un incontournable pour les amateurs de coopération.
Millenium 90%
Un tout petit peu moins marquant que It Takes Two, Split Fiction reste tout de même parmi ce qu'il se fait de mieux en matière de jeu en coopération. Grâce à ses idées de gameplay balancées à un rythme effréné et à ses deux thématiques qui s'enchainent à merveille jusqu'à son final ahurissant, Hazelight prouve une nouvelle fois qu'ils sont les rois du jeu à 2 avec ce nouveau titre.
Numerama 9/10
Moins touchant et un tantinet moins maîtrisé que It Takes Two, car plus fougueux, Split Fiction parvient quand même à repousser toujours plus loin le concept du jeu exclusivement coopératif. Le scénario générique est un prétexte pour imaginer mille aventures en une seule. On prend beaucoup de plaisir à découvrir et à jouer les deux héroïnes. Surtout, Split Fiction empile les idées et les références avec une générosité incroyable, le tout avec une réalisation de haut vol. De la première à la dernière minute, on s’amuse et on sourit. Plus important, encore, on partage. Après It Takes Two, Hazelight Studios tient sa nouvelle référence du genre coopératif, avec potentiellement un titre de GOTY 2025 au bout.
Gameblog 9/10
L’enjeu était grand après It Takes Two. Comment passer après le GOTY 2021 ? Hazelight a trouvé la réponse avec Split Fiction. Véritable réussite de gameplay, on ne boude jamais son plaisir manette en main. Les équipes de Josef Fares n’ont pas non plus perdu en inventivité et parviennent à nous proposer une expérience de jeu dont on ne lasse jamais. Le scénario aurait sans doute pu nous surprendre davantage dans sa majeure partie, mais il reste solide et fonctionne de bout en bout. Que demander de plus ? C’est donc une nouvelle pépite que nous sert le studio qui place le plaisir de jouer avant tout.
JV 18/20
Split Fiction s'impose comme une expérience coopérative exceptionnelle, fidèle à la promesse d’un créateur qui n’a jamais manqué de confiance dans son projet, à raison. Si l'intrigue demeure relativement classique, elle n’est réellement là que pour servir un gameplay qui se révèle d'une inventivité et d'une intensité remarquables. Hazelight parvient à renouveler sans cesse l'expérience, offrant une multitude de situations aux idées folles et de séquences mémorables. Le jeu brille par son rythme effréné, son absence de boucle de gameplay et sa capacité à surprendre le joueur jusqu'à la fin. Split Fiction constitue un véritable tour de force technique et artistique, où la direction artistique éclatante et la conception des niveaux ingénieuse se conjuguent pour offrir un très grand spectacle ludique et immersif.
IGNFrance 9/10
Je n’ai sans doute jamais écrit autant de fois le mot “créativité” et ses dérivés dans un test. Et pour cause, Split Fiction cultive avec brio l’art du renouveau perpétuel via l’extrême variété des mondes qu’il nous fait visiter ainsi que ses 1000 idées de gameplay. L’ennui ou la lassitude ne sont pas des options. Maestra coopérative aux mécaniques malignes et où la collaboration est indispensable, Split Fiction est une aventure exceptionnelle à partager. La prévisibilité du scénario et son traitement relativement classique (compte tenu du débordement de créativité de tout le reste du jeu) représentent le seul nuage à l’horizon.
JeuxActu 18/20
Split Fiction, c’est tout simplement la formule It Takes Two mais avec les potards poussés aux maximum. En plus de cette coopération absolue, complémentaire et qui ne fait jamais semblant, Josef Farès et ses équipes ont rajouté un rythme effréné que l’on doit à cette approche bien plus action que par le passé. Avec ce tempo qui a pris de l’ampleur et beaucoup de dynamisme, on enchaîne les situations et les niveaux sans jamais s’ennuyer un seul instant, d’autant que le jeu se réinvente constamment. On disait de It Takes Two qu’il présentait des dizaines d’idées à la minute, c’est encore le cas dans Split Fiction, et il faut applaudir les concepteurs qui sont parvenus à trouver des mécaniques d’entraide souvent ingénieuses. De cette manière, le plaisir est sans cesse renouvelé, avec de belles surprises qu’on s’amuse à déceler, comme ces références à d’autres jeux vidéo et univers de la pop culture auxquelles Split Fiction renvoie souvent. Le fait de proposer deux univers différents apporte également à ce sentiment de variété, même s’il faut bien admettre qu’artistiquement, ça part un peu dans tous les sens. C’est le prix à payer quand on passe d’un plateformer classique à un jeu où l’on incarne des cochons péteurs pour ensuite se retrouver à faire des courses-poursuites, ou contrôler des dragons cracheurs non pas de feu, mais d’acides gastriques. Split Fiction se permet tout et ne se refuse rien, ce qui peut évidemment amener à un manque d’homogénéité. Mais pour le plaisir et le bien fou que ce jeu apporte, avec ce smile qu’on affiche pendant les 15-20h de jeu nécessaires pour finir cette aventure à deux, il n’y aucune comparaison possible. Josef Farès est un homme avec une vision simple et claire: s’amuser sans se prendre la tête, comme à la belle époque du jeu vidéo d’antan. Et pour cette belle philosophie, on ne peut que lui dire merci.
ActuGaming 8,5/10
Que ça fait du bien ! Une fois de plus sertie d’un gameplay prolifique et réglé comme du papier à musique, la nouvelle œuvre de Hazelight Studios s’avère toutefois un peu moins surprenante que son aîné It Takes Two en son temps. Fort d’une narration cette fois davantage mise en avant, de centaines de mécaniques de gameplay uniques, d’une abondance d’effets pyrotechniques, d’une mise en scène très aboutie et maitrisée, et d’une bonne dose de rigolade, Split Fiction fait admirablement bien le boulot, un peu de surprise en moins, malgré un final tout simplement éblouissant et mémorable. Un très bon moment pour jouer à deux comme il en existe si peu dans le paysage vidéoludique, bien que l’on attendait quelques folies en plus pour le hisser au même rang que son grand frère.
Gamekult 8/10
Split Fiction a cette qualité de tenir son sprint sur la durée d'un semi-marathon : sa vivacité est impressionnante, ses idées de level design et de gameplay fascinent et repoussent les limites jusqu'à la toute fin de son aventure, sans jamais s'essouffler. C'est un jeu intense, qui donne énormément et dont la créativité s'étend à perte d'horizon, au risque de frôler parfois une surenchère qu'il est finalement assez difficile de vraiment pointer du doigt. L'idée de partager l'ensemble avec un partenaire, puis de tout redécouvrir avec un autre personnage sous une nouvelle perspective, n'en renforce que la générosité la plus totale : Split Fiction, c'est comme un excellent buffet à la myriade de plats épatants. Ne mangez pas trop d'un coup, appréciez ses saveurs et partagez-les à votre rythme : vous en ressortirez comblés et pour une fois, la digestion aura clairement un goût de reviens-y.
JDG 8/10
Entre fantasy et science-fiction, on ne peut faire de choix. L'univers de Split Fiction a su séduire notre âme de geek avec une narration aussi variée qu'elle est belle. La maturité est au rendez-vous avec cet opus qui prend le soin d'aborder des sujets plus adultes avec l'ambition visuelle qui va avec. Nos attentes étaient toutefois trop hautes, influencées par la marque d'It Takes Two, autant pour nous que pour le studio qui s'est évertué à recréer pièce par pièce le succès de son précédent jeu avec des mécaniques et des références trop vues par le passé. La mayonnaise n'a pris qu'une seule fois en ce qui nous concerne, mais Split Fiction reste un excellent jeu à tester à deux.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.
Le problème c’est que pour jouer au jeu, il me faudra une manette supplémentaire plus le jeu.
Ça attendrait mai/juin