Moyenne presse 3,7/5 (pour l’instant)
20 Minutes 4/5
Et cela fonctionne : Les Bad Guys est un bonheur de film dont le rythme foisonnant entraîne le spectateur dans un festival de suspense et d’éclats de rire. Vivement un deuxième volet !
Le Parisien 4/5
Éloge de la différence, « Les Bad Guys » en met plein la vue avec son graphisme très années 1960 et ses scènes d’action époustouflantes, tout en offrant une histoire originale, édifiante et pleine d’humour aux plus jeunes.
Ouest France 4/5
Si le scénario multiplie les rebondissements au risque du trop-plein, la dynamique dévastatrice de l'ensemble finit par tout emporter.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Menée tambour battant, cette aventure familiale des studios DreamWorks Animation séduit davantage par son style cartoonesque que par son récit plus conventionnel.
Première 3/5
Si la réalisation, comme l’animation, ne brillent pas par leur originalité, l’efficacité est indéniable.
Télérama 3/5
Galvanisés, en version française, par les voix de Pierre Niney et Alice Belaïdi, les animaux dessinés dans un mélange étonnant de 2D et 3D par le Français Pierre Perifel réussissent un numéro tordant.
Allociné
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Moyenne presse 3,6/5 (pour l'instant)
Ouest France 5/5
Une fresque de plus de deux heures sans temps mort où poésie, action et aventures ne font merveilleusement qu’un.
Première 5/5
Par quel alignement de planètes un metteur en scène italien de 45 ans a bien pu accoucher d’un spectacle pareil, ressuscitant une idée de cinéma que les Européens ne savent plus fabriquer et qu’Hollywood ne veut plus imaginer.
Ecran Large 4/5
Pendant que Guillermo del Toro s'éloigne temporairement du cinéma fantastique, Gabriele Mainetti se charge de perpétuer son héritage avec un film de super-héros populaire, humaniste et finalement très poétique.
L'Obs 4/5
Un film totalement hors mode, qui réussit à se moquer de la vogue des super-héros Marvel et à trouver un ton qui allie bouffonnerie et fantastique.
Le Journal du Dimanche 4/5
Une proposition ultra-référencée mais émancipée, qui ne ressemble à rien de ce qu’on voit actuellement sur les écrans. Et c’est tant mieux.
Le Parisien 4/5
On donnerait cher pour voir un film Marvel réalisé par ce réalisateur courageux, fils spirituel du grand Guillermo Del Toro.
Mad Movies 4/5
Après l'étonnant "On l'appelle Jeeg Robot", Gabriele Mainetti continue d'explorer les soubassements de la geste super-héroïque, en projetant cette fois des phénomènes de foire dans une mini-saga mouvementée qui mixe mille influences pour combiner la magie et la trivialité râpeuse.
Télérama 3/5
Entre film de guerre à la Inglorious Basterds et rêverie poétique, le réalisateur refuse de choisir. C’est un tort mais, même avec des hauts, des bas et des excès, le résultat reste très sympathique.
Le Monde 2/5
Un film kitsch, pas antipathique, mais visant à tout moment et dans tous les registres l’intensité maximale. Cette esthétique du choc permanent, à la longue usante, finit par nuire au mince réconfort moral que procure ce tonitruant spectacle.
Les Fiches du Cinéma 2/5
Le film de G. Mainetti est un grand spectacle fragile et gonflé jusqu’à l’excès - ce qui en fait, malgré tout, la singularité, et peut charmer.
Cahiers du Cinéma 1/5
Freaks Out avance à coup de références dans une esthétique numérique estampillée années 2000 – image lisse et effets spéciaux peu inspirés – qui fait plus ressembler cette épopée à la saga des Percy Jackson qu’à un véritable film sur la barbarie nazie.
Allociné