Attention, buvez un grand verre de Coca-Cola, car c’est peut-être la dernière fois si vous regardez cette vidéo ! Si nous avions déjà vu les conséquences de la sur-consommation de Coca-Cola, voilà qu’un Internaute a fait une expérience originale. Il a en effet plongé une dent morte dans un grand verre de Coca Zéro, puis a laissé la dent dans le liquide pendant 24 heures.
Au final, ce n’est plus du tout la dent d’origine qu’il récupère… Mais voyez par vous-mêmes.
La découverte potentielle il y a quelque temps de la particule élémentaire, le boson de Higgs, va très certainement confirmer, et infirmer, de nombreuses théories concernant tant l'infiniment petit que l'infiniment grand. Certains commencent même à penser que cette particule serait la preuve que notre Univers n'existe pas...
Une étude réalisée par des cosmologistes britanniques du « King’s College London » (KCL) suggère que l’Univers n’aurait pas duré plus d’une seconde après le Big Bang, selon le Modèle Standard suggéré par le boson de Higgs aperçu en 2012 et de récentes observations astronomiques.
La théorie actuellement acceptée pour expliquer notre Univers est la théorie de l’inflation cosmique. Suite au Big Bang, notre Univers aurait connu une phase d’expansion très violente qui lui aurait permis de grossir d’un facteur considérable. Aujourd’hui encore, il grandirait, dans une bien moindre mesure ceci dit.
Mais l’étude présentée lors du « Royal Astronomical Society’s National Astronomy Meeting » par Robert Hogan du KCL combine des observations du ciel et des expériences réalisées au Grand Collisionneur de Hadrons pour arriver à l’étonnante conclusion que nous ne devrions pas exister.
En Mars, des scientifiques ont utilisé les télescopes « Background Imaging of Cosmic Extragalactic Polarisation » (BICEP2) et ils affirment avoir pu détecter l’une des conséquences de cette inflation cosmique, la polarisation mode B. Si ces résultats sont bien acceptés par les experts, alors la théorie de l’inflation cosmique sera bel et bien confirmée et représentera un grand pas dans notre compréhension de l’Univers.
Seulement, en regardant de près les résultats, l’équipe du KCL a analysé ce que ces observations signifieraient pour la stabilité de l’Univers, en se référant notamment à la physique des particules du boson de Higgs. Notre Univers se situerait dans la vallée du « champ de Higgs ». Mais il existerait une autre vallée dans le champ, bien plus puissante, inaccessible à notre Univers car séparée par une large barrière énergétique.
Les résultats des BICEP2 semblent prédire que l’Univers aurait reçu d’énormes chocs durant cette inflation cosmique, chocs qui l’auraient poussé dans l’autre vallée du champ de Higgs en une fraction de seconde, et cela aurait conduit notre tout jeune Univers à s’effondrer sur lui-même dans un Big Crunch…
Autrement dit, les télescopes n’auraient pas observé cette fameuse polarisation mode B – ou nous ne serions pas là pour en parler – mais plutôt des effets résiduels… Autre possibilité, BICEP2 a bien vu cette polarisation et alors il reste encore bien des mécanismes à découvrir à nos spécialistes, y compris « une nouvelle physique des particules au-delà du Modèle Standard », conclut Robert Hogan. Passionnant !
Bonjour tout le monde!
En fait, ça fait des années que j'ai des Mister Flat (Flat Eric) Et cela fait des années que je les retrouve à mon retour au milieu de mon appartement en vrac dans des positions "compromettantes"...
J’ai enfin installé une caméra pour comprendre ce qu'il se passe.
À la rédaction de FrAndroid, à force d’être bardés de joujoux coûtant un demi-SMIC, nous ne nous rendons plus vraiment compte des avancées technologiques qui nous entourent. Le pire, dans tout cela, c’est que nos lecteurs ne nous aident pas beaucoup. Lorsque nous publions une actualité qui concerne une nouveauté technologique, une fonctionnalité inédite sur un téléphone ou encore une application innovante, rares sont les commentaires réellement enthousiastes. Untel nous explique que ça ne fonctionnera jamais, un autre nous explique que ce sera trop cher ou mal implémenté et rares sont les commentateurs qui affichent un véritable engouement. Aurions-nous perdu notre âme d’enfant ? Serions-nous bel et bien blasés par les nouvelles technologies ? Après, tout peut-être l’a-t-on mérité.
À vrai dire, et c’est le problème de tous les contemporains d’une époque, nous manquons cruellement de recul sur ce que nous vivons actuellement. Enfant, si j’avais annoncé un jour à mes parents que dans le futur il serait possible de faire tenir un écran plat de de cinq pouces et de moins d’un centimètre d’épaisseur dans une poche de pantalon et que cet appareil serait capable d’afficher des images bien plus belles que celles de leur télévision cathodique, ils auraient certainement souri en se disant qu’ils avaient hérité d’un fils un peu plus con que la moyenne (pensée d’ailleurs renforcée par le fait que j’ai décidé de devenir journaliste web, mais c’est une autre histoire). De fait, il y a eu un bond technologique incroyable en 30 ans. Un bond quasi invisible pour des personnes, comme moi, qui sont nées dans les années 80. En 30 ans, tout a été miniaturisé, connecté et la puissance des appareils a été décuplée. On a tendance à l’oublier, mais il y a une douzaine d’années, nous étions bien contents quand la connexion Internet de nos gros ordinateurs était aussi rapide que la connexion 3G d’aujourd’hui. Ordinateurs qui, je le rappelle, étaient beaucoup moins puissants qu’un simple Galaxy S3 de 2012…
Mais au fait, de quoi rêvions-nous il y a 20 ou 30 ans ? Pour moi, le summum de la science-fiction, c’était les jeux vidéo de Tron, les vaisseaux spatiaux de Star Wars et, un peu plus tard, les écrans de Minority Report. Qu’avons-nous aujourd’hui ? D’accord, je ne suis certainement pas près de voler dans un quelconque vaisseau spatial de mon vivant, mais je sais déjà que je pourrai goûter à une réalité virtuelle digne de ce nom avec l’Occulus Rift. Je suis aussi bien conscient que les écrans de Minority Report font partie de ces fantasmes qui, une fois réalisée ne correspondent pas du tout à l’idéal que l’on s’en faisait. Sérieusement, qui, aujourd’hui, voudrait d’un écran transparent immense avec une interface qui se contrôle uniquement avec des gestures ? Pas moi. Dans Star Wars, les robots répondent directement à la parole. Siri, Google now et Cortana sont également des robots qui répondent et agissent à nos ordres. Mais ils ne nous font pas rêver. Trop imparfaits, pas aussi pratiques qu’on le voudrait, ils sont trop ancrés dans le présent et ne parviennent pas à remplacer immédiatement nos bonnes vieilles habitudes tactiles.
Sérieusement ? Ça vous fait envie des écrans comme ça maintenant ?
Pour autant, prenons le temps de faire le point sur les possibilités offertes par les technologies d’aujourd’hui. Contrairement à mes parents, je n’ai plus une encyclopédie de 23 volumes dans ma bibliothèque en cas de doute sur un sujet. Par contre j’ai une application Wikipedia installée sur mon téléphone. Je n’ai plus (mais pour combien de temps ?) de montre au poignet, je ne demande plus jamais mon chemin quand j’ai un rendez-vous en ville (merci le GPS et Google Maps) et je suis au courant du moindre événement mondial d’importance dans les quelques minutes qui suivent grâce à une discrète notification. Tout cela, il faut bien être conscient que c’était de la pure science-fiction il y a un demi-siècle et que c’est quelque chose de complètement banal pour nous.
Mais alors, pourquoi ne sommes-nous plus aussi émerveillées par ces choses fantastiques du quotidien ? D’abord, et c’est ce que je vous disais au début, parce que nous sommes des contemporains de notre époque et qu’il est toujours difficile de prendre du recul. Les « petites » avancées technologiques que l’on aura dans un ou deux ans ne nous font pas rêver, elles sont beaucoup trop proches de nous. Et pourtant ! Aujourd’hui, j’ai tenu un téléphone de 5,5 pouces avec un écran quad-HD disposant d’un laser pour prendre de meilleure photo ! C’est tout de même très futuriste à dire.
À mon sens, l’autre point qui fait que nous sommes moins sensibles à ces avancées technologiques tient à notre comportement. Prenons l’exemple de la Kairos Smartwatch dont nous vous parlions il y a tout juste un mois. Qui ne rêverait pas d’avoir une montre pareille au poignet ? À lire les commentaires sous l’article, cette montre est pourtant soit trop grosse, soit trop épaisse, voire pour certain déjà décevante. Pour être honnête, j’ai aussi pensé la même chose en voyant cette montre. J’ai d’abord pensé qu’elle était géniale avant de me dire aussitôt : «Non, même si son prix était dans mes cordes je ne l’achèterais pas. Il y aura certainement tellement de défauts de conceptions liées à la jeunesse des technologies et elle va me lâcher au bout de six mois ». Et pire, il y a aura peut-être beaucoup mieux et moins cher quelques mois après…
Nous vivons dans un monde ou les entreprises répondent tellement vite à nos exigences qu’elles n’hésitent plus à intégrer des technologies très jeunes et bourrées de défauts rédhibitoires. Pourquoi ? Parce que nous le demandons et que nous sommes prêts à les acheter. Et la principale conséquence de tout cela, c’est que nous devenons méfiants à l’égard de ces nouvelles technologies : nous avons plus souvent l’impression d’être des bêta-testeurs malgré nous que de posséder un produit futuriste, fantasmé et parfaitement fini. En fait, nous ne sommes pas blasés des nouvelles technologies, nous sommes victimes de notre envie d’avoir ces nouvelles technologies dès que possible et de vouloir qu’elles fonctionnent tout de suite et maintenant.
Je pense très sérieusement que Apple a réussi à éviter cet écueil durant quelque temps. Les premiers iPhone par exemple étaient bourrés de technologie invisible : l’écran tactile fonctionnait parfaitement, le fonctionnement était très simple à comprendre et l’on ne se posait jamais la question de savoir si l’appareil allait planter ou non. Aujourd’hui, Apple n’est plus capable de cela. Beaucoup l’accusent de ne plus innover. Je pense qu’Apple ne parvient plus à intégrer de nouvelles fonctionnalités et technologies sans que celles-ci paraissent inachevées. Et plus que cela, Apple ne parvient plus à faire en sorte qu’elles à révolutionnent les usages tout en restant en arrière-plan. Les bonds technologiques invisibles sont de plus en plus difficiles à réaliser que cela concerne Apple ou les autres entreprises high-tech. Et nous avons beau nous défendre de les désirer, nous n’en voulons plus vraiment. Nous voulons des technologies qui fonctionnent tout de suite et de manière parfaite, mais nous ne voulons plus les attendre. Samsung, de son côté, l’a très bien compris et n’hésite plus à répondre immédiatement aux attentes des consommateurs. Sinon, comment expliquer que le géant coréen sorte pratiquement quatre montres connectées par an ?
Après deux matches, la France est la sélection à avoir dégagé la meilleure impression globale. Ce qui se vérifie tant dans les chiffres que dans les faits.
Les 32 sélections qualifiées pour la Coupe du monde ont disputé leurs deux premiers matches dans la Coupe du monde. Et au petit jeu des comparaisons, la France ressort clairement du lot. Elle est la sélection à avoir dégagé la meilleure impression globale. Ce qui se vérifie tant dans les chiffres que dans les faits et qui pourrait être un très heureux présage pour les hommes de Didier Deschamps.
Un instantané, un sentiment purement subjectif, une vérité du moment qui pourrait bien ne pas être celle du lendemain… Appelez cela comme vous le désirez. Mais après deux journées, la France est la sélection à avoir dégagé la meilleure impression globale dans cette Coupe du monde 2014. L’exercice des comparaisons est très périlleux, avec toutes les limites qu’il implique. Il n’en reste pas moins révélateur d’une tendance indiscutable. D’abord, les statistiques le démontrent. Deux victoires en autant de rencontres, meilleure attaque à égalité avec les Pays-Bas (huit réalisations), meilleure différence de buts des 32 sélections engagées dans le tournoi (+6) : les Bleus en imposent. Même si Didier Deschamps tempère l’enthousiasme ambiant. "L'essentiel c'est qu'en interne, il y ait de la satisfaction du travail accompli mais aussi la lucidité et l'humilité de se dire qu'on a encore des choses à faire".
N’empêche, les Français n’ont aucun complexe d’infériorité à nourrir par rapport aux favoris du Mondial après les deux premiers matches. Au-delà de l’Espagne et l’Angleterre, qui ont déjà réservé leur billet de retour pour le Vieux continent, les grosses nations ont toutes connu des temps faibles au Brésil. Toutes sans exception, sauf la France… Le pays organisateur a lâché des points face au Mexique (0-0), après une première sortie peu convaincante contre la Croatie (3-1). L’Allemagne a souffert le martyr pour arracher un nul au Ghana (2-2). L’Uruguay (1-3) et l’Italie (0-1) ont toutes deux cédé devant le surprenant Costa Rica. Les Pays-Bas ont peiné pour se défaire de l’Australie (3-2). Toutes ses équipes ont été menées au score à un moment ou à un autre de la compétition. De son côté, l’Argentine n’a pas dû s’employer pour remonter un but de retard, mais elle a clairement ronronné face à la Bosnie (2-1) et à l’Iran (1-0).
Ne pas sous-estimer la Suisse
Les Bleus, eux, ont maîtrisé leur sujet sans discontinuer pendant 180 minutes. Impact physique, qualité technique, force de frappe offensive, solidité défensive, investissement mental : ils ont étouffé leurs opposants sans jamais les laisser respirer. Hormis un relâchement de quinze minutes en toute fin de rencontre contre la Suisse, plus que compréhensible à 5-0 au tableau d’affichage, les coéquipiers de Hugo Lloris ont carburé au plus-que-parfait. Alors certes, cette impression mérite d’être relativisée au vu du calibre des adversaires rencontrées. Le Honduras figure parmi les nations les plus faibles de la compétition et la Suisse était certainement la tête de série la plus abordable pour les Bleus au moment du tirage au sort. Sauf qu’il serait injuste de sous-estimer la Nati, qui ne pointe pas au sixième rang du classement FIFA (seulement) par hasard. Elle avait les arguments pour embêter la troupe de Deschamps et elle s’est faite croquer. Ni plus, ni moins.
Peu d’équipes ont imposé une telle épreuve de force à dans ce Mondial, hormis les Allemands contre le Portugal (4-0) et les Néerlandais lors de la seconde période face à l’Espagne (5-1). Le pedigree des adversaires de la Mannschaft et des Oranje est un cran au-dessus de la Suisse, donnant davantage de relief à leurs performances. Mais ils n’ont pas confirmé sur leur deuxième match respectif, même si la débauche d’énergie consentie pour leur entrée en lice apparait comme une raison crédible de ce coup de pompe. Toujours est-il que la France, elle, n’a pas encore été franchement mise à mal dans ce tournoi. Finalement, les autres formations à pouvoir revendiquer autant attiré la lumière que les Bleus sont à chercher chez les outsiders.
1990, 1998, 2014 : un heureux présage ?
Le Chili reste sur une prestation gigantesque pour sortir l’Espagne de la Coupe du monde (2-0). Mais cinq jours avant, la Roja avait affiché un visage bien moins séduisant devant l’Australie (3-1). La Colombie, déjà qualifiée pour les huitièmes de finale, s’est fait une grosse frayeur contre la Côte d’Ivoire (2-1), qui ne méritait sans doute pas de perdre. Le Costa Rica a séduit par sa fraîcheur et son irrésistible envie de se projeter vers l’avant. Mais il ne faut pas oublier qu’il était mené par l’Uruguay à la pause. Là encore, les Bleus font la différence avec ces nations par leur constance dans la performance sur les deux matches.
Cela remonte même à plus loin. En prenant en compte les sept matches disputés par les Bleus depuis le barrage aller perdu en Ukraine, ils affichent un bilan exceptionnel : six victoires pour un nul, vingt-six buts marqués et deux encaissés. Aucune sélection présente au Brésil ne peut se targuer d’une telle régularité. Autre statistique parlante : la France est la troisième équipe sur les cinquante dernières années à remporter ses deux premiers matches de Coupe du monde par trois buts d’écart ou plus. Les deux précédents, l’Allemagne de 1990 et les Bleus de 1998, avaient été sacrés champions du monde quelques semaines plus tard. Voilà qui pourrait ressembler à un heureux présage.
Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi certains se font piquer par les moustiques et pas d'autres, alors la vidéo qui va suivre va vous intéresser. Cerise sur le gâteau, elle vous explique aussi comment éviter de se faire piquer !
Tout le monde a vécu ça un jour. Le soleil se couche et vous passez votre soirée à éclater des moustiques qui tentent de vous piquer les mollets, la nuque, ou les mains. Pendant ce temps là, l’autre personne en face de vous profite de sa soirée tranquillement. Les moustiques semblent l’ignorer. Pourquoi ne se fait-elle donc pas piquer ? Quel est son truc ?
Comme vous le savez, les moustiques tuent 80 000 fois plus d’humains que les requins. Du coup, on peut dire que les scientifiques les ont étudiés longtemps pour comprendre leur régime alimentaire. Grâce à ces recherches, nous savons maintenant pourquoi certaines personnes sont au menu des moustiques et pas d’autres. Et la vidéo ci-dessous vous explique tout :
Après avoir vu la vidéo, vous aurez compris que si vous souhaitez vous protéger des moustiques, cela dépend grandement de vous . Mais vous ne pourrez pas franchement y changer grand chose.
Si vous êtes du groupe O, que vous êtes gros, et que votre faune bactérienne est riche mais peu diversifiée, vous n’avez pas d’autres choix que de trouver un animal encore plus gros qui expire du dioxyde de carbone à gogo. Pas facile de faire courir un cheval sur un tapis de course pendant que vous sirotez l’apéro à la fraîche. Il vous reste encore la solution du ventilateur portable, des plants de souci, du gel pour les mains ou de tout autre produit capable de masquer votre dioxyde de carbone, car la meilleur protection contre un prédateur, c’est encore de ne pas être sa proie.
est bien connu : en traînant un simple mal de gorge, une bête sensation de nez bouché, on s'imagine déjà à l'orée de la mort une fois qu'on a osé s'autodiagnostiquer "grâce" au site Doctissimo. La preuve en un visuel.
Traduite et adaptée du site Truth Facts, l’illustration placardée ci-dessus devrait sans doute évoquer quelques (mauvais) souvenirs à certains ayant eu l’occasion de passer de loooooongues soirées à stresser après avoir tenté de s’autodiagnostiquer en allant interroger la communauté d’utilisateurs du site Doctissimo.
Rassurez-vous : la tendance se retrouve également de l’autre côté de l’Atlantique, du fait du site WebMD, équivalent à Doctissimo.
Pas de souci avec Movienr qui va vous permettre de trouver LE film que vous avez envie de voir en ce moment. Son moteur dispose de critères de sélection plutôt cool comme le genre du film (Action, comédie, SF, horreur...etc.), le thème (Mafia, S
uper Héros, sport, western...etc.), l'endroit où l'action se déroule (Dans l'espace, au bureau, sous terre, sur une île...etc.), la période durant laquelle l'histoire se passe (futur, années 90, le moyen âge...)...etc.
Vous pouvez aussi filtrer par année de sortie, ce qui est pratique si vous cherchez un vieux nanar ou au contre un film récent et par note histoire d'éviter les déceptions.
Ensuite, vous aurez toutes les infos classiques concernant un film (résumé, acteurs, date de sortie, note...etc.) et si vous vous créez un compte, vous pourrez suivre les recommandations de vos amis et marquer les films que vous avez vus, pour éviter que Movienr ne vous les recommande à nouveau.
Tip top donc !
Dans un autre style, j'aime aussi beaucoup FOUNDDD qui en fonction des films que vous avez vus et aimés, vous proposera régulièrement d'autres films que vous n'avez pas encore vus et qui correspondent à vos gouts. Après, bien sûr, n'oubliez pas non plus de vous laisser surprendre de temps en temps avec des choses qui sortent un peu de ce que vous aimez. Pour moi, les meilleures recommandations qui soient sont celles que me font mes amis.
Comme vous l’avez déjà constaté, nos téléphones ont des écrans de plus en plus grands. Une tendance qui n’a fait que croitre ses dernières années et à laquelle le public semble réagir favorablement. Il est d’ailleurs de plus en plus difficile de trouver des mobiles haut de gamme avec de petites diagonales.
Le Samsung Galaxy W est un smartphone de 7 pouces !
Initié par Samsung et sa gamme Galaxy Note, les phablettes sont maintenant partout. Un terme qui désigne un produit entre smartphone et tablettes. Mais les téléphones phares des différentes marques font maintenant 5 pouces ou plus, ce qui réduit considérablement l’écart avec les tablettes 7 et 8 pouces. Le LG G3 est parvenu à loger un écran 5,5 pouces dans un châssis assez compact, de quoi encourager les concurrents à faire de même.
Les tablettes sont-elles en danger face aux phablettes ?
Tout le monde n’apprécie pas la démesure de certains téléphones, mais les grandes diagonales se vendent très bien. Alors que les tablettes ont connu une croissance énorme, notamment grâce au confort et à la portabilité qu’elles apportent, ne souffrent-elles pas de la poussée des phablettes ? Si vous avez l’intention d’acquérir un téléphone de 5,5 pouces, il y a de fortes chances que votre tablette 7 pouces prenne la poussière.
Mais les tablettes grandissent également pour continuer de se démarquer. Ainsi, on voit arriver des ovnis comme la Galaxy Note Pro et ses 12,2 pouces. Samsung et LG viennent de présenter leurs nouvelles gammes d’ardoises avec des diagonales et des caractéristiques proches (dans la gamme), comme une question posée aux consommateurs sur celle qu’ils préfèrent.
À vous de nous donner votre expérience personnelle. Vous avez un téléphone géant ? Vous servez-vous toujours autant de votre tablette ?
L’espace, frontière de l’infini… Les voyages spatiaux restent pour l’instant dans le domaine de la science-fiction. Certes, nous avons envoyé deux trois trucs dans l’espace, mais à l’échelle de la galaxie, nous n’avons pas dépassé le pas de notre porte. Bien entendu, la NASA bosse sur le sujet et la solution pourrait être le voyage à vitesse supraluminique.
Le physicien Harold White travaille depuis deux ans sur la propulsion Alcubierre au sein de la NASA. Ce système, en gros, permettra de se déplacer plus vite que la lumière en déformant l’espace-temps. Toujours pour vulgariser, ce système de propulsion permettra au vaisseau de voyager sans déplacement, un peu comme la Guilde Spatiale dans Dune, en somme.
Et aujourd’hui, Harold White et son équipe dévoilent un concept de vaisseau capable d’effectuer ce genre de voyage. Un vaisseau pensé par le designer Mark Rademaker et nommé IXS Enterprise. Vous voyez bien sûr d’où vient la référence. Nous constatons également deux structures qui permettraient d’isoler le vaisseau dans une bulle d’espace-temps.
Harold White espère réellement pouvoir concevoir le voyage supraluminique dans les années qui viennent. Il précise qu’avec ce type d’engin, il serait possible d’atteindre Alpha Centauri en deux semaines seulement. Avec notre technologie actuelle, il faudra des dizaines de milliers d’années. Mais cela reste une prévision bien optimiste.
Vous l’aurez compris, les voyages interstellaires, ce n’est pas pour tout de suite. Néanmoins, certains y travaillent d’arrache pied et cela pourrait arriver plus tôt qu’on ne le pense.
Si vous étiez en âge d’utiliser un PC en 1993, nul doute que ce qui va suivre va vous charmer totalement. Parce que s’il y a la madeleine de Proust, son goût, son odeur, il y a aussi les bruits.
Et finalement, les bruits du quotidien sont ceux qui marquent le plus et ceux qu’on oublie également.
Voici donc une vidéo uploadée sur Youtube, par DounutCereal, qui a rebooté un vieux PC de 1992/93, mais aussi une imprimante de 1998.
Alors ? Est-ce que ça vous a collé un bon vieux smile comme nous ?
Le Sunday Times affirme ce dimanche, preuves à l’appui, que la Coupe du monde 2022 aurait été achetée par le Qatar. Plus de cinq millions de dollars auraient circulé pour influencer le vote du Comité exécutif de la Fifa, le 2 décembre 2010.
Quel est le prix pour acheter un Mondial de football ? Selon le Sunday Times, cinq millions de dollars suffisent amplement. En Une ce dimanche, le sérieux quotidien britannique affirme que la Coupe du monde 2022 aurait tout simplement été achetée par le Qatar lors de son attribution en décembre 2010. A l’initiative du sulfureux Mohamed Ben Hammam, l'ancien vice-président qatarien de la Fifa banni à vie en 2011 pour avoir tenté d'acheter des voix alors qu'il était candidat contre Sepp Blatter afin de prendre la tête de l’organisation, plus de cinq millions de dollars (soit environ 3,6 millions d’euros) auraient circulé pour influencer le vote du Comité exécutif de la Fifa, le 2 décembre 2010.
Les responsables de Qatar 2022 et M. Bin Hammam ont toujours démenti les accusations de corruption qui fleurissent dans la presse internationale depuis plusieurs mois déjà. Mais les journalistes Jonathan Calvert et Heidi Blake, auteurs de l’enquête, affirment détenir des milliers de documents (mails, lettres et copies de virements bancaires) qui semblent clairement établir la culpabilité de l’ancien dirigeant de la Fifa. Pendant au moins un an avant le vote, M. Bin Hammam a mené un lobbying des plus intenses.
3,6 M€ de pots-de-vin
Ainsi, le Sunday Times explique que si la grande majorité des officiels arrosés n'a pas pris part au vote, l'objectif était de faire monter une vague de sympathie pour la candidature du Qatar et, notamment, d'influencer les quatre représentants africains au Comité exécutif. Par exemple, Bin Hammam aurait payé 305 000 euros pour la défense de Reynald Temari, membre du Comité exécutif et représentant de l'Océanie, dans le but de retarder sa procédure d'exclusion. Autre exemple, l’ancien vice-président de la Fifa aurait versé des pots-de-vin, à hauteur de 200 000 dollars, sur des comptes contrôlés par les présidents de 30 associations africaines de football.
La liste est longue et ne cesse d’accabler M. Bin Hammam. Dès lors, la question se pose: avec de telles preuves de corruption, le Mondial 2022 doit-il être réattribué ? Il y a deux semaines, Sepp Blatter, le président de la Fifa, affirmait que l’attribution au Qatar était "une erreur". Mais peut-il encore la réparer ?
Il arrive souvent de voir, dans des matchs de football, quelques malins qui s'amusent à plier le programme distribué pour en faire un avion en papier et essayer de le lancer le plus loin possible. C'est tout le temps un échec... mais pas ce coup-ci !
LE SCAN POLITIQUE - Au lendemain des élections européennes, un ancien candidat Front de gauche aux municipales de Bourg-en-Bresse a posté une annonce très particulière.
Rémi Froschard, 25 ans, est professeur des écoles stagiaires et ex-tête de liste Front de gauche des municipales de Bourg-en-Bresse. Dimanche dernier, il reste scotché par le score du Front national aux élections européennes. Il décide aussitôt de mettre en ligne une annonce mi-sérieuse, mi-ironique sur Leboncoin.fr. Il y propose des «cours de remise à niveau pour les électeurs afin de vous aider à comprendre autre chose qu'une simple phrase». «Prix de groupe possible aux électeurs FN», précise-t-il.
«Je pars du principe qu'on est dans un pays civilisé, développé, et que les électeurs sont lucides et éclairés. Mais il y a une tendance à aller vers des discours simplistes comme lorsque Marine Le Pen dit que l'euro est la cause de tous les problèmes», explique-t-il au Scan. «Mon annonce, c'est un appel à réfléchir.» Un coup de gueule donc mais tourné sous forme de blague «car l'humour est aussi une forme de réflexion.»
Si Rémi Froschard n'a pas été jusqu'à laisser son numéro de téléphone dans l'annonce, il a tout de même reçu 37 mails. «Il n'y en avait que deux qui contenaient des insultes. Les autres trouvaient que c'était une chouette initiative. J'ai même reçu un mail d'une personne qui me laissait les coordonnées de sa voisine pour les cours que je proposais mais je n'ai pas osé rappeler» commente-t-il. Le site Leboncoin.fr pense peut-être que les blagues les plus courtes sont les meilleures: il a retiré l'annonce.