Bonsoir les amis.. En cette belle soirée je débute une série d'articles portant sur un thème bien précis (une trilogie pour être plus clair) chacun de ces tests auront un point en commun, ils porteront tous sur un animal très cher à mon coeur, une toute petite bête palmée et ornée de plumes.. Il s'agit de notre ami le canard. Car oui ce noble animal porte une place importante dans le domaine du jeu vidéo, retranscrit par de célèbres personnages de dessin animé à la base puis digitalisé jusqu'à nos moniteurs pour notre simple amusement, commençons donc notre escapade dans un monde où le canard règne en maître.
Il y a différent type de héros.. Ceux de la vie de tout les jours, aidant un chat qui se serait coincer en haut d'un arbre ou bien en tenant la main d'une vieille personne pour l'aider à traverser la route, c'est vrai que le mot héros est un peu fort mais bon faire une bonne action à toujours une petite connotation héroïque en quelque sorte. Il y en a aussi d'autres beaucoup plus impliqués au point d'en faire leur métier, je pense par exemple aux pompiers, toujours prêts à braver les flammes pour secourir une personne en danger de mort, à ces médecins sauvant des vies chaque jour à travers le monde. Vous avez aussi ceux qui le deviennent pour la gloire comme certains héros de l'histoire, agissant à visage découvert pour faire valoir ce statut de valeureux protecteur aux yeux du petit peuple, même si je trouve un petit peu prétentieux au final... Mais au contraire de ces derniers vous en avez d'autres bien plus mystérieux, des héros vivant dans l'ombre et agissant pour le bien de tous sans que quiconque ne connaisse leur identité, se comportant comme le commun des mortels le jour et portant un masque la nuit pour pouvoir stopper les activités du crime. Celui donc je vais vous parler ce soir fait partie de cette ultime catégorie (non ce n'est pas Batman) préparez-vous à arborer les rues sombres de la ville et châtier tous les criminels qui auront le malheur de croiser votre chemin.
I AM THE TERROR
THAT FLAPS IN THE NIGHT!
I AM THE WINGED SCOURGE
THAT PECKS AT YOUR NIGHTMARES!
I AM DARKWING DUCK!!
Voilà vous êtes donc le Darkwing Duck (enfin celui qui tient le pad bien sûr) cela signifie le canard aux ailes sombres, foutrement classe n'est ce pas!! Nous allons donc parcourir une ville infestée par la pire racaille au commande de ce justicier sans peurs et sans reproches. Mais on me signale dans l'oreillette que plusieurs personnes auraient une question avant de débuter cet article, je vous écoute... QUOI!! Vous ne savez pas qui est Darkwing Duck!!! Bon allez petite piqure de rappel pour les non-anglophones, petite vidéo pour illustrer ce qu'était Darkwing Duck chez nous les petits frenchies. Si vous ne voyez toujours pas après cette vidéo, je ne peux plus rien pour vous.
"Et oui dans nos contrées ce sombre héros est plus connu sous le nom de Myster Mask"
SYNOPSIS: Canard masqué..
Bienvenue à St-canard, immense ville de la taille de New York (bah oui c'est pareil mais avec des canards) tout comme son homologue plus orienté humain, le crime bat son plein à travers une mystérieuse organisation du nom de F.O.W.L.!! Une petite association de malfaiteurs composée de barjots en tout genre. Vous incarnez Drake Mallard, honorable citoyen de cette fabuleuse cité mais portant un lourd secret au fond de son âme, alors qu'il vaque à ses occupations durant la journée, la nuit il devient le Darkwing Duck et sillonne les rues en chevauchant sa moto (ou son engin volant à bec) pour empêcher la montée de la criminalité en ville. A la demande du très cher maire de cette grande ville, vous allez donc enquêter pour débusquer cette sombre organisation et par la même occasion lui foutre des bâtons dans les roues, pour vous aider vous pourrez compter sur votre valeureux compagnon qui se trouvera être ce bon vieux Flagada Jones... Flagada Jones? Oui!!... Le même que dans?? OUII!!! Mais bon vous attendez pas à du jeu en co-opération comme dans les Rangers du risque, le pauvre n'est là que pour vous sortir 2 ou 3 petits mots de parlotte lors de la sélection du niveau, enfin c'est déjà ça. Les présentations étant faîtes, nous pouvons passer à la suite des hostilités, suivez-moi!!
"Présentation en bonne et due forme"
GAMEPLAY: Duck buster?
Voilà il est temps d'enfilez votre masque et de remonter vos collants pour enfin passer à l'action, histoire de voler dans les plumes de vos ennemis si j'ose m'exprimer ainsi. Nous allons arrivés sur un plan de la ville nous montrant les coins les plus chauds de la mégalopole, passons les bavardages avec notre ami Flagada qui ne fera que répéter le même baratin inlassablement tel un attardé mental en manque de sucre, trois zones s'offrent à vous, vous n'avez que l'embarras du choix et aussi le loisir de jeter votre dévolu sur n'importe laquelle, l'ordre n'a peu d'importance, une fois ces trois premières terminées d'autres au même nombre viendront se joindre et ensuite ces dernières laisseront place au final stage qui conclura l'aventure, donc pour être plus simple un total de 7 stages dans le jeu rien que pour vos beaux yeux. Les stages se contentent d'être des clichés que l'on peut voir dans pratiquement la totalité des JV donc c'est à dire une escapade sur un pont ou bien une descente dans les égouts pour citer des exemples (bah oui une ville sans un passage dans les égouts c'est pas logique!!) chaque niveau se termine par un boss plus ou moins facile, juste le temps d'apprendre ses mouvements par coeur pour le plier aussi vite qu'il est arrivé. Arrivés sur place faisons connaissance avec notre emplumé de service, dés le départ deux possibilités s'offrent à vous via votre pad, soit vous sautez soit vous tirez avec votre arme, du jus de basique pressé en terme de gameplay au premier abord mais agrémenté de quelques subtilités pour pas vous endormir en cours de partie. Notre justicier peut premièrement se protéger avec sa cape, très utile contre les salves ennemies et pourra ramasser différents gadgets qui vous serviront ou pas, je ne saurais vous citer tout les types d'armement mais cela va de la bombe qui explose en deux fragments à une espèce de flèche surpuissante, ces gadgets vous serviront surtout pour dénicher les passages secrets avec des bonus à la clé, de quoi faire monter votre compteur de vie et aussi pour vous débarrasser des boss avec une facilité déconcertante.
"Petite ballade nocturne pour notre héros"
Outre les petites featurettes que j'ai cité plus haut, notre espion digne de ce nom possède la faculté de grimper sur plusieurs éléments du décor, tel une chatte de gouttière il pourra s'agripper sur des lampes d'extérieur ou bien des ballons pour pouvoir traverser de grandes distances, ou bien encore gravir une tour rien qu'en escaladant à partir de poutres métalliques, un petit plus agréable pour vous faire sentir l'aspect espionnage du soft même si le jeu ne poussera pas ce point à l'extrême. Ah c'est sûr qu'il va vous falloir y mettre une bonne dose d'agilité pour tenter de compléter le jeu car les sauts sont calculés au millimètres prés, à un poil de cul de babouin plus précisément, surtout que lors de vos accrochages le personnage à tendance à ne pas s'accrocher suivant votre façon de tomber, une habitude à prendre dès le départ sous peine de ne pas aller très loin dans votre aventure. Le titre possède une bonne balance entre l'action et la plate-forme lors des divers stages, devant par moment concilier les deux ne donnant aucunement une impression de lassitude lors de votre première fois, certains boss allient le fait de devoir tirer sur l'ennemi tout en devant zigzaguer de poutres en poutres demandant un maximum de réflexes pour triompher du vilain de la zone en question.
"Des sauts à gogo!!!"
Pourquoi Duck Buster?? Je sentais bien que vous alliez me poser la question (mais si..) disons que Capcom oblige, ce titre m'a fait penser à une autre licence célèbre de la firme, petit rapprochement que je n'avais pas fait à l'époque. Je trouve que ce Darkwing Duck me fait drôlement songer à Megaman, si vous preniez la
décision de faire ou refaire ce jeu vous ne manquerez pas de retrouver des attraits qui se rapprochent de notre petit robot bleu au niveau de gameplay. Que ce soit par rapport au maniement de l'arme de notre héros, de la construction du cheminement des différentes zones à explorer ou bien des caractéristiques de certains ennemis sur votre route, les similitudes deviennent tellement flagrantes qu'on en arrive à se demander si Capcom n'a pas pris comme base Megaman pour fignoler son petit bébé, même une arme secondaire ressemble à l'item du premier Megaman qui servait à fixer des barres sur les murs pour atteindre des endroits plus en hauteur, et encore d'autres points dont je ne parlerais pas histoire de laisser au joueur le plaisir de découvrir par ses propres moyens mais ce qui est sûr c'est que ces deux jeux sont liés d'une façon ou d'une autre. Après ce n'est pas un défaut en soi-même de reprendre les bases d'une légende tel que Megaman pour construire un jeu de A à Z, tout le monde connait la qualité de Capcom à transporter les séries Disney en jeu vidéo à travers des titres devenus de véritables références au yeux des joueurs, ce jeu ne fait exception à la règle et reste donc une valeur sûre sur la petite console de Nintendo.
"Megaman et Darkwing Duck... même combat"
NIVEAUX: Tournée de St-canard
Le pont:
Premier point le plus à gauche sur la carte je vous conseille de commencer par ce niveau pour bien vous mettre en condition et en même temps vous habituez aux mouvements de notre héros. Le pont est assez simple dans l'ensemble, enchaînement de plate-forme et de crochets suspendus au dessus du vide, petit passage sur des poulies mobiles tout en évitant chauve-souris, tortues et autres ennemis très peu retords. Vous finirez par le bouffon Quaker Jack, épaulé par sa banane fétiche qui vous attaquera par le haut pendant que le clown tentera de filer à l'anglaise, ce combat nécessite quelques réflexes pour être mener à bien.
BOSS:QUAKER JACK
Le quartier:
Promenade en ville pour ensuite terminer sur les toits des hauts buildings qui surplombent St-canard, contrairement au niveau précédent les ennemis sont un peu plus agressifs dans cette zone. voyage en ballon au rendez-vous tout en éliminant des tortues un chouia dangereuses qui balancent leurs carapaces, des canards-baudruches armés jusqu'au dents et quelques autres flottant dans les airs à l'aide d'hélice. Le périple se termine avec Wolfduck, un être mi-loup mi-canard (et ouais!) se transformant quand la pleine lune est visible, courant comme un dératé et essaie en même temps de vous assommer avec des caisses, combat très facile quand on choppe le truc.
BOSS:WOLFDUCK
Les égouts:
Dernier point de la première salve de missions, excursion dans les bas-fonds des égouts puants. embranchements de tuyaux et liquide verdâtre coulant dans des canalisations (de la merde quoi!) vous serez agressés par des oeufs parachutés de je ne sais où vu qu'on se trouve en sous-sol, vous continuerez votre descente en prenant garde à des canards équipés de maillet et des corbeaux cachés dans l'obscurité. Petite séquence de plate-forme à pointes à vous faire suer, les derniers assaillants se trouveront être des alligators et des kangourous (?) pour atterrir dans le coeur des égouts où vous attend Liquidator, un genre de T1000 canin usant de son état liquide pour vous en faire baver.
BOSS:LIQUIDATOR
La forêt:
Ouf un peu d'air vrai est le bienvenu pour commencer les prochaines étapes du jeu, promenade en forêt certes mais visiblement pas de tout repos. Encore une fois vous n'aurez aucun répit tant les ennemis montent d'un cran dans l'échelle de l'agressivité, plantes carnivores, chiens dans des niches ou volatiles vicieux parsèment le dur chemin des bois. Vous ferez le funambule au dessus de l'eau qui sera mortel pour notre canard s'il y met une patte dedans, traversée de chutes d'eau sur rondins pour une forêt qui prend plus l'apparence d'une jungle à certains endroits, comme dernier rempart des canards gonflés d'air ainsi que des chevaliers un peu perdus pour l'occasion et le combat de boss obligatoire mais bon vous connaissez la musique maintenant. Il s'agit de Bushroot, un Poison Ivy du pauvre se servant de la végétation pour vous écraser, mais sans succès.
BOSS:BUSHROOT
L'entrepôt:
Attention le gardien de cette zone est l'un des méchants les plus célèbres (et le plus crétin aussi) de la série, je vous parle bien évidemment de Megavolt, ce rat accroc aux piles Duracell ne tiendra pourtant pas bien longtemps face à vos assauts. Mais bien avant cet affrontement vous devrez traverser un entrepôt humide et froid où sont rassemblés toutes sortes d'ennemis et bonus, des génies sortant de leurs lampes et des écureuils au grands pieds seront bien présents pour vous accueillir comme il se doit, des pilotes de tapis volants vous jetteront des flammes bleues lors de passages au dessus de piques, niveau à appréhender avec beaucoup de précaution sous peine de finir en canard à l'orange.
BOSS:MEGAVOLT
La tour:
C'est parti pour un niveau qui va vous faire prendre de la hauteur, il vous faudra gravir un immense édifice d'acier pour aller chatouiller le boss se trouvant au sommet. On retrouve des kangourous mais cette fois ils se sont mis au basket-ball (tiens ça me rappelle un dessin animé?) des chiens mécaniques qui vous poursuivront
pendant votre ascension toujours plus haut, rien de bien difficile il faut juste faire attention quand vous montez d'un étage à l'autre et savoir prendre avantage du décor pour éviter les projectiles ennemis (poutres, chandelles, projecteurs) une vilaine taupe sera votre adversaire final mais ce combat est un peu particulier dans le sens où votre but sera de détruire la machine pour qu'il vienne la réparée afin de pouvoir le shooter comme il faut, combat vite bouclé avec la manière.
BOSS:MOLIARTY
La forteresse flottante du F.O.W.L.:
L'heure de l'affrontement final a bientôt sonnée, la dernière ligne droite pour notre courageux palmipède, nous sommes donc sur la bastion flottant de l'ennemi principal de cette aventure. A peine arrivé sur le pont c'est une succession d'ennemis coriaces qui se dressent devant nous, des canons style Super Mario Bros 3 crachent
des boulets en direction de notre protagoniste mais rien ne peut vous arrêter.. Pas si près du but m'enfin! On retrouvera un melting-pot de têtes connues rassemblés en cet ultime niveau et aussi des canards cyborgs ainsi que des chiens agaçants jetant des barils sur votre bec, il y aura aussi le sempiternel passage suspendus à des crochets mais bon on a l'habitude maintenant. On finira par le chef du gang F.O.W.L. en la personne de Steel Beak, premier duel alors qu'il se trouve dans une machine (comme le Dr.W..!!!) pour l'achever à grand coup de pistolet alors qu'il tentera de vous écrabouiller avec des plaques métalliques, mais voilà l'affaire est bouclé juste après ce combat transpirant une déconcertante facilité.
BOSS:STEEL BEAK
GRAPHISMES ET BANDE-SON: Honnête
Malgré une Nes vieillissante, le jeu a su très bien prendre parti du support graphiquement et musicalement parlant, mais comme la toute jeune et frêle Super Nintendo venait de pointer le bout de son nez, ce Darkwing Duck avait déjà un goût d'ancien rien qu'en débutant une partie pour la première fois. Cela ne signifie nullement que ces parties ont été négligées par les concepteurs du jeu car la musique est excellente sans pour autant être révolutionnaire, si vous n'êtes pas allergiques aux thèmes entraînants, cette bande-son vous plaira sans nul doute. Le jeu est englobé d'une aura de bonne humeur et chaque thème se retient facilement au point qu'au bout de quelques vies vous serez déjà en train de siffloter la piste lors de votre excursion, même si au final les musiques se ressemblent beaucoup et que certains accords reviennent plutôt souvent, la qualité du son est bel et bien présente donc ne boudez pas votre plaisir car malgré tout ça se laisse écouter sans problème. Par rapport aux graphismes c'est de la Nes je pense qu'il n'y a rien d'autre à dire, chaque background rassemble les mêmes éléments pour bien faire sentir la transition entre une zone et l'autre, au moins on peut dire que les niveaux ne se copient pas le moins du monde. Assez bien de diversité dans les ennemis car oui chaque parcelle de la ville possède un bestiaire bien à lui à quelques exceptions prés et je dois dire que j'ai été surpris de la qualité des sprites, de la retranscription en pixels de ces personnes que ce soit notre héros, les ennemis ou bien les boss, on reconnait bien tout ce petit monde donc côté fidélité de l'oeuvre c'est du tout bon, je dénote juste un level design assez bizarre dans le sens où l'on retrouve des choses pour la plupart du temps dans des endroits pas convenus, tout comme certains ennemis pas du tout adaptés au milieu dans lequel il évolue mais bon c'est chercher la petite bête de tenter de trouver une logique implacable quand on voit le speech de départ et l'univers emprunté. Je terminerais avec deux pistes du jeu que j'ai beaucoup apprécié pour vous faire quand même goûter un minimum à l'OST.
"Un exemple de musique ultra sympathique"
"Ending thème simpliste.. tiens encore un petit air de Megaman"
Mon avis:
Voilà encore un autre souvenir d'enfance sorti du placard, beaucoup de bons moments vous attendent sur ce soft même si vous aurez peut-être tôt fait de le ranger à nouveau pour l'éternité. Le jeu est fort plaisant il faut l'avouer mais une certaine routine s'installe au fil des stages, la sensation de toujours faire la même chose, de traverser toujours des pièges semblables aux autres et sans compter sur la (trop) grande facilité des boss. Mais ne boudons pas dans notre coin Capcom nous sert encore un excellent jeu tiré d'une licence Disney dont il a le secret, peut-être que ce personnage est moins emblématique que certains de la firme aux grandes oreilles mais en terme de technique il est grandement dans le haut du panier, c'est tout bonnement un magnifique jeu de plate-forme à bien des niveaux. A consommer au moins une fois dans sa vie même si vous n'y reviendrez sûrement plus jamais après l'avoir fini.. à moins d'être un grand fan de la série.
Je précise que je suis pas jaloux ou rageux, je suis juste partisan d'un peu plus de simplicité dans la mise en page de mes articles, mais c'est ça qui est bien avec Retro Gamekyo, c'est qu'on a chacun très clairement notre style
anakaris Merci... non mais j'aime bien quand on me donne son avis au moins j'essaie de m'améliorer à chaque test avec le recul j'avoue avoir un peu trop charger sur le coup
Merci pour cet énorme article, un très grand bravo et merci pour ce que tu (et vous) faites pour le site !
Je prend du plaisir à venir lire ça, surtout quand c'ets entouré par cent articles de merdes de gens qui s'engueulent comme des débiles sur un article de infamous ou autre question de framerate etc....
Super article, un grand bravo Je l'ai que que sur gameboy également ^__^ J'espère que comme Duck Tales on l'aura un jour en HD, quelqu'un aurait des nouvelles sur de possible autre jeux en HD comme celui-là ? ^^
Eh bien, beau travail, superbe dossier, je suis retombé en enfance, c'était un de mes jeux préférés sur Nes même si je le trouvais dur et que je n'ai réussi à le finir qu'une seule fois
docteurdeggman la version GB c'est...la même
Je lis tout les articles rétro en fait discretos et des fois je me co ^^
J'avoue que ça me manque d'écrire des articles mais bon ...
Bravo!
Je n'ai joué qu'à la version GB qui est très similaire.
Merci pour l'article alors que tu aurais pu passer ton temps sur Dark souls 2!
vonkuru Je le prend comme un compliment
anakaris Merci... non mais j'aime bien quand on me donne son avis au moins j'essaie de m'améliorer à chaque test
eldren Merci c'est sympa
Je vote mais je lirai dans la semaine
shanks Je trouve aussi ^^
Je prend du plaisir à venir lire ça, surtout quand c'ets entouré par cent articles de merdes de gens qui s'engueulent comme des débiles sur un article de infamous ou autre question de framerate etc....
Ducks everywhere
Très bien écrit et réalisé
battossai Je savais que tu kifferais ma couille
kuramayohko J'avoue un lifting façon Ducktales serait énorme
Merci à tous pour les votes
profilsupprime Merci mon pote
Je lis tout les articles rétro en fait discretos et des fois je me co ^^
J'avoue que ça me manque d'écrire des articles mais bon ...