Qu'à cela ne tienne, ça n'a pas empêché Bandai (toujours eux) d'exploiter le filon des produits dérivés, Gundam restant une manne financière incroyable. Pour cette fois, c'est Natsume qui est commandité pour développer un jeu de baston un contre un plus ou moins calqué sur Street Fighter II, toujours le mètre-étalon d'époque. Shin Kidō Senki Gundam Wing: Endless Duel n'est pas le premier jeu Gundam sur Super Famicom, d'autres l'ont précédé - dont un produit par TOSE, d'habitude occupé sur les très célèbres Dragon Ball Z Super Butōden -, mais c'est probablement celui qui jouit de la meilleure réputation. Natsume, dont on a déjà parlé sur Retro Gamekyo il y a quelque années a déjà signé le délicieux Wild Guns, mais s'est aussi fait connaître pour Pocky & Rocky, le très joli remake de The Ninja Warriors (un titre PC-Engine retravaillé sur SNES), quelques adaptations honnêtes de Mighty Morphin' Power Rangers et bien sûr les Harvest Moon.
De gauche à droite: le Wing, Shenlong, Sandrock, Heavyarms,
Gundam Wing, faisant parti de l'univers alternatif After Colony (l'univers principal, celui par lequel tout à commencé et qui compte aujourd'hui le plus d'anime et de manga est le Universal Century), raconte l'histoire de l'Humanité qui a réussi sa conquête spatiale. Sur Terre, les nations les plus puissantes se sont regroupé sous le nom d'Alliance tandis que des colonies sont créées aux quatre coins de la galaxie. C'est l'organisation Oz qui est chargée de gérer ces colonies, mais un vent de révolte souffle. L'opération Météore, visant à gagner la liberté des colonies par la force si cela s'avère nécessaire est mise en place. Cinq pilotes d'armure de combat (mobile suit) sont envoyés sur Terre pour attaquer Oz. Le personnage central, Heero Yui s'oppose à Zechs Marquise, redoutable pilote d'élite du Tallgeese (dans After Colony, il est connu pour être le premier mobile suit de l'Histoire), robot de combat ultra perfectionné. Heero rencontrera par la suite ses quatre compagnons envoyés par les quatre autres colonies : Duo Maxwell, le comique du groupe ; Trowa Barton, le silencieux solitaire ; Quatre Raberba Winner, le pacifiste paradoxalement surdoué du pilotage ; et Wufei Chang, le pastiche du samouraï moderne, mélange entre Shiryu et Ikki des Chevaliers du Zodiaque.
D'aucun dirait que contrairement à d'autres séries Gundam plus complexes, Gundam Wing bénéficie certes de quelques rebondissements, mais aussi de personnages assez caricaturaux. Globalement, ça se laisse visionner et en France, on peut expliquer l'attachement de certains fans à Wing par le fait qu'il s'agisse de la première série Gundam à voir le jour dans l'Hexagone. Malheureusement dans le jeu, et c'est probablement ce qui se voit de prime abord, nous n'avons pas la chance de pouvoir explorer les évènements de la série, ni même leur faire suite ou revivre les temps forts de la bataille contre Oz puisque le jeu de Natsume comporte un mode story qui n'est en fait tout au plus qu'une série de combat de type arcade. Cela, évidemment - puisque Endless Duel demeure un simple jeu de combat -, ne représente pas nécessairement un point négatif péremptoire. Mais à l'instar d'un autre jeu très joli tiré d'un anime déjà testé sur Retro Gamekyo (Dragon Ball Z Hyper Dimension), c'est dommage. Pour le néophyte, outre le classe manifeste des robots géants qui se tapent dessus, cela rend l'attachement aux personnages assez factice, le jeu nous tient à distance de l'enjeu des combats car il ne nous raconte tout simplement rien. Heureusement, il a bien d'autres atouts en réserve. Ce petit détail chagrinant n'est pas si choquant que cela dans le contexte et les habitudes du jeu vidéo de l'époque, plus proche du fun immédiat et de la facilité de prise en main que de l'immersion et du scénario complexe.
La seconde chose qui claque (le genre de claque qui, quand tu l'encaisse, tu soupires de satisfaction et tu dis merci), c'est les graphismes. Magnifique, une Super Famicom au summum. Le hardware est vieux, nous sommes en mars 1996, cela fait cinq ans et cinq mois que la Super Famicom est exploitée par Nintendo, et cela fait même bientôt deux ans que la Playstation est disponible. Mais des studios sont encore capables de tirer parti des ressources cachées de la petite 16-bits. Les sprites des robots sont gros, détaillés, avec beaucoup de frames d'animation qui contribuent à ce qu'on ressentent la puissance et la lourdeur de leur coup. Le mecha design de qualité aidant, on apprécie la patte graphique même si pour un profane, il est possible de confondre un peu quelques mobile suit au début faute d'élément véritablement distinctif les un des autres. Seul les Mercurius, Deathscythe et autre Vayeate se distinguent vraiment, la faute à leurs carlingues chamarrées. Même si chacun d'entre eux disposent d'un design classieux et d'une superbe animation, on ne peut en revanche que déplorer leurs faibles nombre. Neuf mobile suit seulement. Le fait de vouloir se baser sur la série Gundam Wing entend dès lors qu'il faille faire des concessions sur le roster qui s'avère ainsi assez limité, l'anime lui-même ne comprenant pas plus que cela de personnages combattants. Mais face à la plupart des gros concurrents d'alors (Street Fighter II Turbo : 16 personnages ; The King of Fighter '94 : 24 personnages ; Mortal Kombat 3 : 15 personnages), on ne peut que regretter ce roster un peu maigrelet. On notera d'ailleurs que c'est une triste constante puisque le jeu Gundam précédent, basé sur l'anime Mobile Fighter G Gundam (qui je le rappelle prend la forme d'un shōnen , avec tournoi ''d'art-martiaux'' entre robot, etc) comporte également neuf personnages.
Mais ne boudons pas notre plaisir. La franchise Mortal Kombat nous aura démontré par le passé qu'il valait mieux privilégier la qualité du roster plutôt que sa taille. Il est préférable d'avoir une poignée de combattants au style de jeu bien distinct et au charisme certain plutôt qu'un paquet de clones qui se jouent de la même façon. Et cela tombe bien car dans Endless Duel, les développeur ont poussé le vice à tel point que nos mobile suit disposent de statistiques de combat. Ainsi, selon certains critères comme la vitesse, la puissance physique, les attaques à distance ou la résistance, on pourra voir d'un coup d’œil quel robot peut le mieux nous convenir. Au départ, on n'y fait pas forcément très attention. Pire, on se dit que c'est là pour la décoration et que de toute façon, cela ne doit pas avoir un rôle prépondérant dans le combat, il suffit de marteler un bouton d'attaque pour vaincre son adversaire. Mais au bout de plusieurs partie et à force d'observation, il faut reconnaître que Natsume a réellement tenté de donner un petit fond de jeu à son gameplay.
Aussi, le comportement de l'IA est caractéristique du mobile suit qu'elle emploi. Le redoutable Tallgeese (qui en fait n'est pas si fort que cela dans le jeu, contrairement à l'anime) adore les contre-attaques et il est vif comme l'éclair, le Shenlong va user et abuser d'attaque à distance sans vous laisser approcher de lui, tandis que vous croirez avoir un espoir face au Sandrock lorsque vous pourrez le coincer dans un coin du champ de bataille pour le rouer de coup. Mais méfiance, son armure est si solide qu'il a une résistance de véritable golem et s'il vous laisse l'occasion de s'approcher, ce n'est pas pour que vous lui tabassiez la figure, mais bien pour vous saisir et vous envoyer une douloureuse projection au sol !
En contrepartie de chacun de leur avantages, les mobile suit ont aussi des défauts qu'il est intéressant d'étudier si on veut jouer à haut niveau. Le Sandrock évoqué plus haut ne peut par exemple pas effectuer de cancel lors de sa super attaque, ce qui, si elle ne touche pas immédiatement au but peu le mettre en grand danger du fait de sa forte lenteur de déplacement ! Le Shenlong a une force de frappe médiocre et paradoxalement, il nécessite d'être au corps à corps pour pouvoir accomplir ses meilleurs combo (la tactique de lâche qui consiste donc à se cloitrer au fond du champ de bataille en utilisant son fusil pendant une demi-heure ne fonctionnera donc pas comme par miracle ! ). Évidemment, tout cela ne donne pas des aspects ultra stratégiques au jeu, Endless Duel reste un jeu de combat avant tout, mais ça contribue à donner de la profondeur au système et on prend plaisir à comprendre les quelques subtilités au fur et à mesure qu'on essaye de dompter les différents robots. Un dernier mecha, particulièrement terrifiant de puissance lui, connu sous le nom de Epyon (oui, comme le gars de Jeuxvidéo.com) est un boss avec qui on peut jouer uniquement dans le mode trial (une sorte de mode survival où on enchaine les combats pour placer la barre aussi haut que possible et défier ses amis).
Concrètement, le soft de Natsume se rapproche du modèle Street Fighter II puisque les attaques spéciales et autre techniques se font souvent à base de quart de cercle + touche d'action. Un bouton d'attaque sert pour les coups faibles, un autre pour les coups appuyés et on dispose de dash avant ou arrière très utiles pour jouer le zoning, surtout quand on joue un d'un mobile suit très maniable comme le Tallgeese. Comme cité plus haut, les armes à distance (canons vulcain) sont disponibles sur tout les combattants et il est même possible à certain comme le Wing (le robot de Heero) de se transformer en ''bird mode'', prenant la forme d'un avion de chasse ultra perfectionné, à la manière de Macross, pour traverser rageusement tout l'écran.
Enfin, pour conclure avec les petites spécificités de gameplay, on notera la présence d'une barre de ''hit'' pouvant aller jusqu'à 300 points. Celle-ci représente la quantité d'énergie disponible pour déclencher une super attaque. Chaque tir de canon vulcain consommera quelques points tandis qu'assener des coups physiques vous en fera regagner. Cela peut servir à bien des égards car si le mobile suit adverse est coriace et ne vous laisse pas envoyer le moindre combo, un gros tir de canon qui dévastera tout l'écran pourra entamer correctement sa barre de vie et calmer ses ardeurs. De la même manière, un adversaire rapide comme le Deathscythe qui est capable d'enclencher des combo très facilement se retrouvera rarement en panne d'énergie et pourra ainsi envoyer ses Special régulièrement ! On a tendance à vite tomber en rade avec le Shenlong en revanche, lui qui abuse des tirs à longue distance.
Pour accompagner ce déchainement de puissance mécanique, les graphistes de Natsume ont sorti le grand jeu. Sprites gros et détaillés, avalanche de couleurs chatoyantes, gros rayons laser qui engloutissent l'écran de leurs teintes dorées et bleues, éclats lumineux, animations souples et bénéficiant de nombreuses frames pour rendre crédible le déplacement lourd de ces robots de plusieurs dizaines de tonne d'acier... les méchas sont en fait constitués de plusieurs sprites assemblés ensemble. Avec une routine de code, ils adoptent une certaine animation pour se concerter entre eux lorsqu'une action est en cours, donnant ainsi des mouvement crédibles et fluides et donnant l'impression que chaque membre du combattant évolue indépendamment des autres et de façon cohérente. Cette technique permet surtout d'économiser de la place sur la cartouche avec plusieurs petits sprite que les graphistes peuvent plus facilement détailler en variation de pixel de couleur, plutôt qu'un seul et énorme sprite difficile à animer et qui pèse très lourd sur la cartouche. Shin Kidō Senki Gundam Wing: Endless Duel est assurément un des plus beau jeux jamais fait en 2D sur un hardware d'époque.
Natsume est un de ces studios qui adore et a déjà prouvé qu'il été capable de pousser la Super Nintendo dans ses ultimes retranchements, surtout lorsque celle-ci était largement en fin de vie. Le remake de The Ninja Warriors et le shooter Wild Guns étaient déjà des signes de leur talent, mais ce Endless Duel est le parangon éclatant de leur maitrise absolue du sprite. Le caractère évident de la direction artistique liée à l'anime fait merveille et contribue à donner une réelle beauté au jeu, en plus d'une technique hors du commun : fluidité, nombreux effets de lumière, quelques distorsions, animations riches... Les décors ne sont pas en reste, très fournis en détails, ils sont parfois un peu moins animés que ceux d'un Street Fighter II par exemple mais qu'importe. Les bâtiments en flamme au fin fond de la base militaire du Heavyarms, la douceur des nuances colorées des aurores boréales qu'on trouve sur la banquise du Tallgeese, ou l'impressionnante armée de mobile suit semblables à des géants de pierre abandonnés dans le désert du Sandrock sont autant de décors époustouflants servant une ambiance saisissante !
Ajouté à cela une famille de bruitage qui insuffle une dose supplémentaire d'impact aux combats, entre grincement de mécanique mal huilée, grondement de tonnes d'acier qui s'entrechoquent et son de canon laser, on constate que le jeu a été l'objet d'un soin de tous les instants. Les puristes seront, de plus, ravis d'entendre la musique d'introduction qui est Rhythm Emotion , le second opening (épisode 41 à 49 de l'anime) signé par le groupe de J-POP Two-Mix.
Loin de n'être qu'une démonstration technique, Shin Kidō Senki Gundam Wing: Endless Duel propose, en plus d'une performance graphique hors du commun, un gameplay bien fichu. Son roster de combattants, relativement restreint, propose néanmoins une palette de robots aux aptitudes réellement différentes et dont les subtilités et intérêts se dévoilent après quelques combats. Surprenant, cela donne lieu à des combats jouissifs, détonants, et pleins de surprises. Jouissant d'un véritable parti prit en terme de maniabilité et de sensation de combat (les mobile suit sont volontairement lourds, même les plus rapides, pour créer l'illusion qu'on est au commande d'un véritable mecha de guerre, et non pas un simple sprite 2D sur un écran de télévision...), le jeu de Natsume s'approche autant qu'il s'émancipe des cadors du genre, Street Fighter II en tête. Malheureusement, on pourra lui reprocher un manque de variété dans le design des combattants (pour des yeux impies) et le manque de mode histoire qui aurait put ajouter du caractère aux robots et de l'épique aux batailles.
Malgré tout, ce Gundam Endless Duel sur Super Famicom est définitivement un des meilleurs jeux tirés de licence manga/anime qui existe !
anakaris AAAh là on a un bon jeu bien fun. Après des jeux qui sentait limite la fosse septique ça change. Bon par contre pour ce qu'il est de l'anime c'est une autre débat.
esets moi j'avoue j'avais bien aimé Gundam Wing à l'époque, mais j'étais néophyte et depuis je ne l'ai pas revu, donc je sais pas si avec le recul et l'expérience je continuerais à apprécier
nobleswan pareil avec moi aujourd'hui, avoir fait ce test et avoir creusé un peu le sujet Gundam, bah ça m'a donné envie de m'y intéresser. C'est quelque chose que je voulais faire depuis longtemps. Résultat: achat de l'intégral de Gundam Seed, de Gundam Wing et du film Endless Waltz qui vient juste après. Vé me faire une cure de découverte de Gundam ces prochains jours
Cette 2D de l'amour Cette musique rock digne d'un Megaman Ou quand les jeux à licence pouvaient être aussi ambitieux et tenir la dragée haute aux productions exclusives aux JV...
Je vais me faire jeter des cailloux, mais j'avoue que je ne me suis jamais vraiment intéressé à Gundam. Il faudra bien un jour que je répare cet affront... Je peux peut-être commencer par ce jeu
anakaris Punaise t'as cramé la CB
Et franchement tu regrettera pas, rien que pour Gundam Wing.
Honnêtement ce jeu, je l'avais poncé. Deathscythe, rien que de tete je me souviens encore de ces coups. Heureusement que j'ai pu y jouer grâce à l'émulateur car j'avais tout fait pour le trouver sur les boutiques à paris à l'époque, impossible. Et quand j'ai réussi... 750 francs le jeu la cartouche sans la boite.
Même DBZ 2 et Hyper dimension, coûtaient pas aussi cher.
nobleswan DBZ Hyper Dimension neuf à Auchan en 1997 : 649 francs, juste à côté des jeux Playstation super moderne deux fois moins chers, les gars avaient pas peur du ridicule au moins
Mais comme un fanboy DBZ, je l'ai acheté... et ben j'ai pris une grosse claque que la Playstation ne pouvait pas me filer (en 1997 je n'avais pas encore découvert toutes les merveilles de la PS1 bien sur)
anakaris Ah bah Hyper Dimension c’était le summum de ce que pouvais offrir la SNES. Sortie en toute fin de vie. Et je peux te dire que la version jap était largement au dessus de la version Euro/US. Plus beau, plus rapide c'etait le jour et la nuit.
nobleswan Psylocke, ça c'est une femme, c'est autre chose que la gamine qui chouine sans arrêt de LARA CROFT, hein voxen que j'ai raison vieille branche
anakaris Une de mes perso féminin préféré de l'univers Marvel. C'est perso hyer travaillé, qui améne un coté tragique dans l'univers X-Men. Dans ces certains arc, tout tourne autour d'elle. Elle etait hyper populaire dans les année 90 début 2000 puis elle à été mis un peu en retrait dans les derniers Arc de BD de la serie.
voxen sinon pour info si jamais tu te pose la question, ton test arrive bientôt, je finis un test pour Spawnini prévu depuis un bail et ensuite le tiens !
Le début d'année a été étonnamment bon, entre Metro Exodus (malgré ses bug de bâtard ), Resident Evil 2 et Ace Combat 7 entre autre, du coup j'ai passé pas mal de temps sur mes consoles plutôt que d'écrire les test rétro
anakaris Non mais quand il est sorti à l'époque en France Gundam Wing, je n'ai pas aimer. Car j'avais déjà vu la premier série de 1979 1980 de Mobile Suit Gundam UC 0079 qui était diffuser en Italie. Je trouvais la série Gundam Wing trop bourrin, des Mecha moches, des personnage insipide etc... Et qu'en suite, j'ai découvert la suite de Mobile Suit Gundam UC 0079 c'est à dire Mobile Suit Zeta Gundam UC0087- 0088 en 2002 grâce au net.
Décidément, la Super Famicom a été très gâtée en magnifiques jeux 2D durant les tous derniers mois de sa belle vie !
nobleswan pareil avec moi aujourd'hui, avoir fait ce test et avoir creusé un peu le sujet Gundam, bah ça m'a donné envie de m'y intéresser. C'est quelque chose que je voulais faire depuis longtemps. Résultat: achat de l'intégral de Gundam Seed, de Gundam Wing et du film Endless Waltz qui vient juste après. Vé me faire une cure de découverte de Gundam ces prochains jours
Je vais me faire jeter des cailloux, mais j'avoue que je ne me suis jamais vraiment intéressé à Gundam. Il faudra bien un jour que je répare cet affront... Je peux peut-être commencer par ce jeu
Et franchement tu regrettera pas, rien que pour Gundam Wing.
Honnêtement ce jeu, je l'avais poncé. Deathscythe, rien que de tete je me souviens encore de ces coups. Heureusement que j'ai pu y jouer grâce à l'émulateur car j'avais tout fait pour le trouver sur les boutiques à paris à l'époque, impossible. Et quand j'ai réussi... 750 francs le jeu la cartouche sans la boite.
Même DBZ 2 et Hyper dimension, coûtaient pas aussi cher.
Mais comme un fanboy DBZ, je l'ai acheté... et ben j'ai pris une grosse claque que la Playstation ne pouvait pas me filer (en 1997 je n'avais pas encore découvert toutes les merveilles de la PS1 bien sur)
PS: Psylocke
Le début d'année a été étonnamment bon, entre Metro Exodus (malgré ses bug de bâtard