« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Les Inrockuptibles 5/5
La beauté du film tient dans cette veine naturaliste qui, petit à petit, explose ses coutures pour laisser jaillir une avalanche de révélations.
La voix du Nord 4/5
Ce film d’animation dénonce le phénomène du harcèlement avec un symbolisme appuyé, mais pas sans émotion.
Le Figaro 4/5
On se prend d’amour pour les personnages et le dénouement, doux-amer, nous arrache quelques larmes.
Première 4/5
Et le film de nous frapper en plein cœur, pas par sa technique (classique) mais bien par sa charge émotionnelle.
L'Obs 3/5
Tiré d’un roman et d’une série de BD très populaires au Japon, le film recèle suffisamment de richesses et de sensibilité pour que l’on outrepasse son style trop standard.
La Croix 3/5
Alors que la lutte contre le harcèlement scolaire est devenue prioritaire en France, ce film analyse avec finesse toutes les nuances du problème, tout en essayant d’apporter un message d’espoir, en misant sur l’écoute et l’entraide.
Le journal du Dimanche 3/5
Ce film d’animation japonais a le courage d’aborder un sujet difficile : les ravages psychologiques du harcèlement scolaire, l’impossibilité de s’intégrer à une communauté.
Le Parisien 3/5
Avec son univers fantastique, contemplatif, un imaginaire riche, le dessin animé nippon installe, dès le début, un rythme lent. Tellement, qu’on s’ennuie, même si l’on est touché par cette histoire malheureusement trop d’actualité.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Keiichi Hara (Miss Hokusai) adapte le roman phénomène de Mizuki Tsujimura et signe une nouvelle déclinaison poétique autour du spleen adolescent. Nonobstant quelques longueurs et répétitions, le résultat, entre réalisme et magie, est un ravissement visuel.
Télérama 3/5
Le film, visuellement très riche, nous sème parfois dans des allers-retours éreintants entre le monde réel et ce château cathartique. Mais demeure d’utilité publique tant ce fléau mine le Japon, où un ou deux enfants par classe se suicident chaque année.
Le Monde 2/5
Keiichi Hara se range ainsi dans une tendance lourde de l’animation japonaise, mise à contribution pour sensibiliser le public adolescent : celle du scénario traumatique où l’imaginaire n’occupe plus qu’une fonction résiliente – on peut aussi voir là un singulier amenuisement de ses puissances.