« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
20 Minutes 4/5
Projet Wolf Hunting prouve que coréen et « gorissime » n’est pas un pléonasme. Ce festival de bastons et de mises à mort brutales combine les deux pour le plus grand bonheur des amateurs d’horreur viscérale.
L’Écran Fantastique 4/5
Certains spectateurs pourraient être outré par cette déferlante jamais vue et s’en détourneraient avec dégoût, ce qui est parfaitement leur droit. Pour d’autres, dont le signataire de ces lignes, ces outrances s’inscrivent dans la vigueur d’une réalisation au cordeau qui va sans faux-semblants jusqu’au bout de son propos.
Le Parisien 4/5
Cette hécatombe n’est sans doute pas toujours nécessaire, mais elle devient tellement délirante et exacerbée qu’on ne peut que suivre, les yeux écarquillés, alors que le réalisateur nous emmène toujours un cran plus haut dans le stress et l’accélération du rythme cardiaque.
Cahiers du Cinéma 3/5
Au milieu d’un désordre à première vue conforme aux canons coréens du genre (...), l’inversion renouvelle brillamment l’empathie suscitée d’habitude par les prisonniers d’un guêpier ambulant.
Ecran Large 3/5
Une élucubration gore un poil répétitive, mais dans la droite lignée des splatter movies les plus bourrins.
L'Humanité 3/5
Série B presque trop dotée, le film de Kim Hong-seon ne propose rien d’autre qu’un jeu de massacre bête et méchant dans les entrailles d’un navire cargo - une boucherie qu’il exécute avec application. Le nanar idoine pour une sortie entre copains.
Le Monde 3/5
Les débordements gore soulignent la persistance d’une histoire qui ne passe toujours pas, et le cinéma coréen confirme sa capacité à transmuer en objets filmiques extravagants les traumatismes d’un destin national bouleversé.
Le Journal du Dimanche 3/5
Le cinéma coréen brille toujours par sa radicalité. Preuve en est avec ce survival en espace confiné qui orchestre un déluge de violence gore et décomplexé, chaotique et jouissif.
Première 3/5
Un concentré d’action et de gore qui refuse la chute de rythme, au point d’en devenir parfois un peu épuisant. Mais dans ce registre (de quel registre on parle, au fait ?), on n’a pas vu grand-chose de plus électrifiant depuis bien longtemps.
Libération 2/5
Tout ça pourrait être drôle, malin ou effrayant, mais le film, hélas, ne choisit jamais son camp, bien trop sérieux pour qu’on s’y amuse vraiment et beaucoup trop con pour être pris au sérieux. Reste que ça a au moins le mérite de ne jamais ennuyer – deux heures d’action non-stop, littéralement – [...].
L'Obs 1/5
Un piètre film d’exploitation qui confond mise en scène avec surenchère et transgression avec barbarie. Débile.