Tout comme avec Retro Studios, chaque nouveau projet de Monolith Software est attendu avec une vive impatience au regard de la qualité de leurs productions et de l'ambition qui peut en découler. Et à raison tant Xenoblade Chronicles X incarne sans conteste l'un des plus gros morceaux de cette année 2015 tous supports confondus.
Dans le monde de Xenoblade Chronicles X, on ignore totalement si les politiciens ont bataillé un jour au travers d'une quelconque COP pour sauver la planète. Ce qui est sûr en revanche, c'est que cela n'aurait servi à rien. Prise entre deux feux d'une bataille aliens, la Terre est complètement détruite dès l'introduction (mais genre « boom, plus rien »), obligeant quelques rares représentants de notre espèce à fuir en urgence au travers de vaisseaux pour trouver un monde meilleur. Un seul réchappe du massacre pour finir par trouver refuge sur une petite planète uniquement habité par une faune et flore jamais vue auparavant, laissant un peu de répits pour une réorganisation et surtout une nouvelle colonisation progressive. Quelques semaines après l'atterrissage mouvementé et le début d'une reconstruction, Elma vient vous réveiller de votre état de stase pour découvrir cette planète, et surtout vous laisser mettre la main à la pâte pour un nouveau départ.
Une introduction réussie, un univers très travaillé dans le fond… mais un scénario très décevant. C'est indéniablement LE gros défaut de cette « suite » et autant donc crever l'abcès d'entrée en avouant que l'on est très loin du précédent épisode qui sans atteindre les sommets d'un Xenogears parvenait tout de même à offrir un scénario prenant d'un bout à l'autre et quelques personnages attachants. C'est ici totalement l'inverse. Si le thème de départ est attirant, les rebondissements sont rares et certains téléphonés, et on ne pourra que pointer du doigt un chara-design oscillant entre le moyen et très mauvais. Monolith Software s'est assurément rendu compte que les ventes de Xenoblade Chronicles sur Wii s'étaient majoritairement faites en occident et peut-être que le groupe s'est dit qu'il fallait adapter les choses en conséquences. Sauf qu'en occident, on aime bien la patte japonaise, ou en tout cas plus que des persos random semblant sortis de moult MMO et manquant cruellement de personnalité, comme si la plupart des compagnons avait oublié leur âme sur Terre. Mention spéciale au héros (ou héroïne) créé au départ et donc totalement muet, qui fait l'exploit d'avoir une palette d'expression moins fournie que celle de Ryan Gosling.
Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que d'un bout à l'autre des forums/blogs, on ne vante pas le charisme d'untel ou untel mais plutôt l'univers et l'ambiance qui s'en dégage. Fichtrement beau au point de s'attrister une nouvelle fois du manque de jeux exploitant suffisamment bien le hardware de la Wii U, le titre offre un tour de force technique avec un monde prodigieusement immense où il suffit de 5 minutes pour faire face à de magnifiques créatures brillant par leur taille (et qui nous déboîteront la tronche en 4 secondes dans les premières heures). C'est beau et ça invite surtout à l'exploration avec un level-design qui évite le coup des zones toutes plates et il faut fouiner pour trouver les nombreux secrets de chaque zone, voir parfois observer un minimum pour trouver ne serait-ce que la route à suivre tant les chemins ont le don de s'entrecroiser dans la verticalité, le radar n'indiquant que l'emplacement de l'objectif, mais pas le chemin que l'on doit emprunter pour y parvenir. La sensation d'être le « pionnier » d'un nouveau monde est en tout cas bien présente, renforcée par de superbes décors suffisamment variés dont certains méritent le chapeau bas en terme de rendu esthétique. Dommage qu'il n'en fut pas de même pour la bande-son qui… disons va sérieusement diviser. C'est original, ça c'est une certitude, mais le coup du rap dans ce genre d'univers pose des questions sur les choix de Hiroyuki Sawano et on souhaite limite que pour une suite (ou un Remaster NX, réagissons avec notre époque), les développeurs offrent la judicieuse possibilité de garder les très bonnes musiques mais d'enlever les voix qui vont avec.
Le scénario en retrait est là pour nous rappeler que Xenoblade Chronicles X est ce que l'on peut appeler un « game system », terme attribué à quelques titres japonais (généralement bien moins ambitieux techniquement d'ailleurs) qui font fi de l'univers pour se consacrer au gameplay et aux multiples possibilités de jeu. Et il est clair que l'on est totalement dépassé au début de jeu par le nombre de choses à faire, et ça sans même évoquer les pauvres nouveaux-venus qui vont être un peu trop rapidement mis dans le bain. Car oui, avant d'évoquer tout cela, signalons un autre petit problème ici et qui touche décidément de nombreux open-world : le tutorial mal foutu. Le titre nous propose un nombre incalculable de choses à prendre en compte, la majorité accessible très rapidement, mais fait le choix de nous les expliquer sur la longueur. L'introduction et un peu de blabla suffisent à être balancé directement sur une carte avec certes un objectif à atteindre mais explorer est déjà attirant et les premiers combats sont directement incompréhensibles pour les non-initiés mais heureusement proche pour du précédent pour ceux qui l'ont fait. Pire encore avec ce problème récurent d'avoir l'impression de devoir découvrir par soi-même les possibilités de level-up & co pendant un long moment avant que le jeu ne se décide à décrire en détails une marche à suivre que l'on a finalement découvert depuis des plombes. Ce n'est pas trop grave, et ça ne touche que les premières heures mais mieux vaut vous conseiller de faire directement ce que l'on vous demande le temps de bien comprendre les choses avant de vous décider à partir en vadrouille pour les choses annexes.
Car oui, devant un HUD plus rempli que jamais et des multiples sous-menus, il va bien falloir tâtonner un peu le temps de ne serait-ce comprendre où se situe la jauge de level-up, comprendre à quoi servent toutes les multiples indications, découvrir les multiples classes qui elles-mêmes vous offrent de nouvelles capacités que l'on pourra booster autant en compétences d'attaques que dans les attitudes passives et même choses pour l'équipement que l'on ramasse comme avant à la brouette avec cette fois le bon goût d'oublier les milliers de coffres à ouvrir, puisqu'un simple menu rapide s'ouvre cette fois après chaque combat pour ramasser ce que l'on souhaite. Enfin. Et tout cela sans compter les multiples magasins (dont la forge) qui seront rapidement accessible le temps de finir le chapitre introduction, lui-même vous demandant au final de choisir votre division dans la colonie. Un choix qui n'aura pas une importance capitale d'ailleurs, déjà parce qu'on peut le changer à loisir, mais également parce que tous les annexes reliées sont accessibles dans tous les cas, la division sélectionnée n'offrant qu'un agréable bonus (régénération de PV, augmentation de puissance de tel type d'armes, etc.).
On aura en tout cas le temps de développer ses personnages tranquillement, poussé par les quêtes annexes (avec enfin un indicateur pour ne pas fouiller pendant 5h) mais également l'envie de révéler les cartes des diverses zones. Notons d'ailleurs l'importance du GamePad qui est aussi inutile en Off-TV (on y perd en qualité en plus de subir des textes devenus trop petits) qu'incroyablement pratique en second-screen. La configuration idéale reste de chopper un Controler Pro pour jouer sur votre télé et laisser le GamePad à vos cotés pour profiter des menus annexes dont la carte vous permettant ainsi de savoir exactement où aller et ce qui reste à visiter. Il en découle un véritable plaisir pour les complétistes qui ne compteront plus les heures à découvrir chaque recoin pouvant receler de jolis bonus à loot pour le craft, bien entendu accompagné de créatures diverses et variées dont une partie demandera d'y aller à reculons pour éviter un échec brutal qui comme avant vous renverra juste au dernier checkpoint sans vous faire perdre le moindre gain (argent, xp…). De toute manière, les développeurs poussent obligatoirement les joueurs à l'exploration puisqu'il faut impérativement découvrir un certain pourcentage de la carte pour pouvoir progresser, ce qui ne dérangera aucunement pour le coup, quitte à rendre l'aventure principale un peu trop facile lorsque vous avez passer des dizaines d'heures sur la carte pour posséder une équipe boostée comme jamais.
Comme dit plus haut, le système de combat est semblable à celui du premier Xenoblade. Pas de transition entre l'exploration et les combats donc, et le menu d'action s'ouvre lorsque vous décidez de vous en prendre au premier venu, ou s'enclenchera automatiquement si inversement un gros bourrin s'approche pour décider de vous démonter en deux. Comme avant encore une fois, les personnages frappent automatiquement et c'est à vous de naviguer sur la barre des tâches pour enclencher telle ou telle compétence. Si les non-initiés y verront un rapprochement avec le Final Fantasy XII de l'époque, le feeling reste totalement différent, pour la bonne et simple raison que même avec une équipe préparée, il ne sera pas possible de laisser l'IA combattre toute seule une main sur la manette, l'autre en pianotant sur le PC. Car la majorité du temps, vos attaques manquent de punch et c'est les compétences qui feront tout, avec le coup classique d'utiliser une attaque pour faire chuter l'ennemi avant de lui enclencher une spéciale qui multiplie les dégâts des adversaires au sol. Le placement est également toujours nécessaire pour certaines attaques, et la touche saut prend d'ailleurs un poil d'importance pour éviter certains coups de zones, mais le plus important reste le fait de posséder cette fois deux armes au lieu d'une : la première pour le corps-à-corps, l'autre pour la distance. Certaines classes sont davantage basées sur un type en particulier mais il faudra généralement savoir surfer entre les deux pour gagner en efficacité, tout en prêtant cette attention particulière aux QTE offrant des bonus si enclenché au bon moment, en plus des « demandes » des alliés (nommées « Cri de Guerre ») qui vous pousseront à utiliser une magie de x type au bon moment pour là encore bénéficier de divers boosts bienvenus.
En bref, la nécessité d'avoir une attention vive car certaines joutes peuvent être très longues si l'on fait n'importe quoi, au risque surtout d'attirer l'attention d'un adversaire beaucoup plus balaise que la moyenne qui, par l'odeur alléché, va entrer dans la bataille sans demander la permission et vous laissera à peine le temps de fuir. Et tout cela prendra son « envol » après quelques dizaines d'heures de jeu lorsqu'il sera enfin possible de prendre en main les Skells, énormes méchas et l'une des grosses nouveautés de cette suite. Aux commandes de votre bijou payé un bras (évitez de le casser trop vite), l'aventure prend une toute autre ampleur et on hallucine presque de s'envoler en voyant de loin les zones que l'on a mis tant de temps à parcourir à pieds. La donne change également en combat avec enfin la possibilité de faire face aux ennemis les plus puissants mais là encore, un faux pas est vite arrivé et il faudra choisir méticuleusement votre méchas en fonction de vos affiliations (et votre niveau) et ne pas oublier de vous adonner aux annexes des sondes à placer sur toutes la map pour engendre des combos de forage avec le GamePad et ainsi amasser du pécule à rythme régulier et en temps réel pour vous permettre de réparer et acheter un nouveau mécha en cas de problème.
De 50h en ligne plus ou moins droite, la durée de vie pourra être facilement quadruplée pour ceux qui souhaitent en voir davantage et il y aura de quoi faire avec tout ce qui est précédemment cité, le fait que tous les DLC japonais soient directement inclus dans notre version européenne, ou encore l'apport du mode online qui à défaut d'être marquant ajoutera également sa petite pierre à l'édifice. Vous pourrez ainsi recruter les personnages IA des autres joueurs si tant est qu'il fasse partie de la même division que la votre (ou inversement), échanger de l'équipement ou encore participer à des sessions brutes à quatre pour des missions qui se renouvellent à rythme périodique et qui surtout vous permettent d'affronter de nouveaux boss bien puissants. Pas de révolution donc mais ça reste un bonus gratuit à prendre, prouvant encore une fois toute l'ambition et la richesse du produit.
Les plus
Les moins
+ Graphiquement magnifique
+ La taille de l'univers
+ Des zones vraiment travaillées
+ La définition de l'exploration
+ Système incroyablement complet
+ Durée de vie phénoménale
+ Les Skells qui relancent l'aventure
+ GamePad bien exploité
+ Tous les DLC inclus
- Du clipping
- Casting oubliable
- Scénario peu marquant
- Pas de voix japonaises
- L'OST qui va diviser
- Certaines quêtes très bof
Conclusion : Monolith livre avec Xenoblade Chronicles X l'un des plus beaux bijoux de la Wii U et une véritable leçon autant dans la capacité du studio à exploiter un hardware qu'à fournir une expérience efficace et complète sur quasiment tous les aspects. Certains seront tout de même déçus d'une certaine « américanisation » avec un casting plat et un scénario sous-exploité au regard de l'univers offert mais les points forts parviennent à prendre l'ascendant pour un titre marquant et déjà l'envie de voir ce que le groupe parviendra à pondre sur une machine plus puissante.
Après plus de 200h de jeu le résultat est là. Les heures filent sans qu'on les remarque et c'est tout ce qui compte. Cependant, oubliez tout ce que vous savez de Monolith Soft. Vous explorez, vous combattez, vous vivez au jour le jour, rencontrez de nombreuses personnes et tentez de survivre. La structure du jeu se veut vraiment à l'imagine du genre symbolisé par le jeu à savoir un "Open World RPG". des lieux superbes qui nous dépaysent, tout autant que les musiques, très éclectiques. On se sent perdu le meilleur moyen de ne pas l'être c'est de commencer par connaître son environnement. On visite la ville, on parle à tout le monde pour en apprendre sur tout et rien. Puis au fil des événements, on en fait de même sur les landes sauvages de Mira. "Quête principale" et annexe ne font plus qu'un. Quelques nouveautés appréciables se montrent (bestiaire, affichage bien supérieur, etc...). Et côté défauts, on a toujours ce manque d'option pour les sons et quelques détails par ci par là. Après 200h de jeu, ce qu'il reste, c'est l'envie d'avoir une suite et de recommencer/continuer le jeu (selon les envies). Je lui donne 9/10 parce qu'il laisse des questions en suspens et donne donc le bénéfice du doute au futur de la "série". Mais 9 c'est juste un chiffre, rien de plus.
Mon problème avec Xeno Chronicles X, c'est que beaucoup se sentiront presque obligés de lui coller une bonne note juste parce que c'est la suite d'un jeu culte qui en apparence fait tout ce que l'original faisait mais en mieux, et avec toujours plus de contenu à découvrir. Seulement, qu'il s'agisse de l'aspect technique (au-delà du downgrade par rapport au build dévoilé lors de l'E3 2013, il y'a de vrais gros soucis de finition), de l'histoire en elle-même (en fait, il n'y a pas de scénario à proprement parler...), ou du monde assez pauvre qui nous entoure, tout semble étonnament bâclé et je pense qu'une fois la hype passée, beaucoup, avec le recul, y verront un jeu surnoté par la presse. Une aventure beaucoup moins mémorable que l'épisode Wii.
Je pourrais passez des heures à expliquer pourquoi ce jeu est overrated, et pourquoi malgré lui il représente tout ce que je déteste dans la communauté gaming : le fait de défendre un jeu médiocre sous prétexte que c'est une grosse franchise dans laquelle on a fondé tous ses espoirs d'acheteur de console floué. Car ceux qui ont acheté la console juste pour ce jeu risquent de tirer la gueule, surtout le fan du premier épisode. QUE ET UNIQUEMENT des quêtes FeDex, 2 personnages jouables seulement, en plus du bot du joueur, et de Tatsu, le boulet omniprésent qui nique toute tension dramatique. Les furries... Pourquoi inclure des furries ? Le fanservice... Bref, tout ce que la japoniaiserie a à dégueuler, vous le trouverez ici. Pas de scénario. Des systèmes de combat et de progression inutilement compliqués. Et il faut le voir pour le croire. Des armes appelées "SX-SKSHFUZ3442-VR". Parce que c'est plus simple que "canon laser"... Une caméra inefficace, un système de combat massacré par rapport au premier, des personnages qui sont en fait des NPC jouables... Oui, NPC comme dans personnage qui sert à rien mais qu'on vous impose de temps en temps, tout en vous forçant à prendre Lin et Elma pour continuer. La bande son est agaçante et mauvaise quand elle n'est pas juste à vomir. Les skells sont cheatés quand on les a, ce qui rend la difficulté nulle, sauf quand on va rouler avec dans les deux derniers continents, et que des monstres qui n'étaient pas sur votre passage sur la map mais apparaissent tout à coup dans votre dos et vous attaquent. Vous perdez alors votre skell et c'est parti pour 15 heures de grind pour en récupérer un chacun.
On est censé tout découvrir soi-même mais tout le monde sauf nous sait tout ce qui se passe avant qu'on y soit. Tout le monde a un skell, tout le monde a découvert tous les continents, les objectifs apparaissent sur la carte et une grosse flèche vous montre par où aller. Ce jeu n'est pas fini et il n'arrive pas à la cheville de son prédécesseur. Il veut vous en balancer plein la gueule mais il se rend abscons et inaccessible. Du point de vu de l'ergonomie et de l'interface générale, c'est la cata : textes trop petits, menus peu intuitifs blanc sur fond noir donc illisibles, bref le contraire de ce qu'il faut faire. Le mauvais goût dégueule de ce jeu jusque dans l'interface, et ne parlons pas des gueules de Chucky/Princesse Sarah des personnages. Le mixage du son est à la rue, avec des dialogues inaudibles, couverts par des morceaux chantés. Nous avons donc une "chanteuse" qui bêle par-dessus les dialogues des personnages. Sous-titres (petits et illisibles) obligatoires. Les combats sont fouillis, et le système de Xeno 1, pour qui a la finesse nécessaire pour l'aprécier, est copié sans être égalé. Toute la finesse qui faisait que le 1 était beau et génial est perdue ici. Les voix anglaises changées en voix américaines cliché... Ca pue. Quelle déception de voir que même Monolith Software ne sait pas ce qui faisait de son premier Xenoblade un si bon titre.
UP (11/05/2020): Je refais le jeu. Une grosse claque encore! (fin)
Je viens de finir le chapitre 12 qui représente le dernier arc du scénario principal.
J'ai mis 78h à finir le jeu, mais il est indiqué que je n'ai fait que 36% du jeu total donc j'ai encore beaucoup à faire.
Xenoblade X est vraiment le J RPG de l'année, c'est un jeu vraiment fait avec amour dans les moindres détails.
Sans trop rentrer dans les détails, je vais faire un récapitulatif avec des plus et des moins.
***
Les plus:
-Direction artistique magnifique
-Graphiquement fabuleux
-Certaines cinématiques qui déchirent dans la mise en scène
-Un système de combat parfait
-Les rebondissements scénaristiques
-La dernière cinématique digne d'un film d'horreur SF
-La durée de vie
-Certains bons personnages
-Les skells
-Voler (dans les airs)
-Tout le systeme rpg (arts, compétences, classes, équipements)
-Musicalement très bon malgré la variétés des styles (rap, rock, electro, orchestrale, classique)
Les moins:
-La difficulté de certains boss (surtout le dernier qui est mal géré)
-L'humour au ras des pâquerettes entre Lin et Tatsu
-Certains personnages sans charisme
-La musique de la ville horripilante
-Le manque d'ordres spécifiques lors des combats
-Ca manque de reconstruction comme la colonie 6 dans xenoblade pour voir réellement notre impact sur la colonisation de l'homme sur Mira
-Le scénario trop en retrait malgré le potentiel de base. Comparé à la richesse du scénario de xenoblade la différence fait mal.
***
Conclusion: globalement xenoblade x est digne du premier xenoblade car il apporte pas mal de bonnes choses comme les skells et un gameplay amélioré, ce qui contrebalance le scénario léger qui n'est vraiment que son défaut si l'on compare avec xenoblade.
9/10
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