C’est en traînant un peu la patte dans un trou sans sorties majeures (si ce n’est
Anthem mais je n’ai pas couru après) que me fut proposé
Pode, petit jeu dont je n’avais pas vraiment suivi l’actualité au point d’apprendre après coup qu’il était déjà disponible depuis un moment sut Switch, et que ça doit aussi arriver très bientôt sur PC. Mais c’est sur PS4 que j’ai testé la chose, ce qui ne change pas grand-chose à l’expérience car même si j’adore la portabilité de l’hybride de Nintendo,
Pode est un titre qui se doit d’être fait à deux joueurs en coopération, et sur un écran de taille raisonnable. Vous pouvez le faire en solo si vous le souhaitez, mais cela ne modifiera pas la mécanique principale de l’aventure et vous serez donc du coup obligé de jongler constamment entre les deux protagonistes, ce qui n’est pas très fun, pour ne pas dire un peu chiant.
Donc le jeu met obligatoirement en scène deux personnages : Bulder, simple caillou néanmoins doté de conscience, et Glo, une petite étoile filante qui souhaite grimper une haute montagne pour retourner vers les cieux. C’est mignon, et c’est d’autant plus renforcé par la patte esthétique en apparence simplette mais qui nous la joue un peu
Okami (et autres) où vos simples déplacements dans des salles au départ ternes font revivre automatiquement l’ambiance, avec des minéraux pour le premier personnage, et de la végétation pour le deuxième. C’est dans la plupart des cas totalement facultatif mais c’est hypnotisant : on ne peut pas s’en empêcher. Mais le vrai but du jeu n’est pas là puisque l’on parle d’un puzzle-game qui va nous faire traverser plusieurs suites de salles pendant environ six à huit heures selon votre cerveau (et l’envie ou non du 100%), avec pour chaque tableau une ou plusieurs micro-énigmes qui demanderont d’user de la complémentarité de notre duo.
Car Bulder peut à la fois entrer dans des petits tunnels, se déplacer sous l’eau et gober des roches pour les recracher plus loin (même votre amie d’ailleurs). Glo elle peut marcher sur l’eau, flotter brièvement dans les airs, éclairer des endroits ou encore user d’une sorte de pouvoir de téléportation. Les mécaniques entrent petit à petit, mais parfois de manière brutale vu que rien ne nous est vraiment expliqué hormis par quelques dessins pas forcément très éloquents. Même si la difficulté des énigmes va forcément grandissantes, il arrive que l’on bute très tôt sur certaines choses, parfois parce qu’on n’était même pas au courant que l’on pouvait faire telle ou telle chose, et surtout à cause d’un gros problème de perspective qui cause de nombreux sauts loupés. Il n’y a globalement rien de révolutionnaire mais ça occupe par la réussite de certains puzzles au milieu de phases trop classique pour proposer un résultat inoubliable.
bon, j'vais le faire ton jeu d'merde
Je le télécharge et m'y mettrais la semaine pro.
si c'est nul, j'te punis.
Je l'obligerais à platiner The Last Guardian et en faire un speed-run tout en faisant un débat avec Diablo, Zabuza et Kyogamer.
Ce n'est pas la faute du jeu si vous n'avez aucun charisme, voire aucune aura auprès des animaux
Mon speed-run en moins de 5 heures s'est très bien passé
Nan mais moi j’ai adoré
C’est Guiguif qui a pas de cœur ni de goût et qui préfère Knack et Setsuna.
Setsuna, c’est comme un téléfilm français sur la 2.
Ça se veut mélancolique, y’a du piano mais tu survis pas longtemps face au sommeil.
Par contre, comme Guiguif, j'ai plutôt apprécié Knack
Le 2 m'a vraiment moins parlé
Bah pareil.
Le 1 était cool.
Juste odieusement cher à la sortie.
Meilleur que le 2.
Mais c’est pas mieux que The Last Guardian.
T’imagines, tu vas voir Ueda et tu lui dis « ptdr, Knack c’est mieux que ton jeu. »
Le mec se suicide.
Non mais là, effectivement, il n'y a aucun débat
En espérant que Ueda nous fasse l'honneur de sortir son prochain jeu avant 2030
Le mec a du talent.
Il lui faut juste une nouvelle équipe compétente qui en chie pas autant pour la partie technique (et les sauts de merde).
Chaque jeu de Ueda de toute façon (Ico, Shadow Of The Colossus), j'ai adoré
Pour l'animal qui obéit, tu as sans doute raison car je me souviens avoir caresser Trico à outrance dès que je voyais la moindre tâche de sang