Tout les grands groupes américain technologique ont vu leur réputation prendre un coup avec les révélations de ces derniers mois portant sur leurs collaboration avec différentes agences de renseignements américaines.
Google, Apple, Facebook, Microsoft ou encore Yahoo font face à des demandes de renseignements sur plusieurs individus (soit des clients) par le FBI ou la CIA et ceux chaque année...
Depuis le jours des ces révélations, le préjudice pour les entreprises concernés est lourd : une crise de confiance s'est installé.
C'est dans cette optique que tous on pris de la distance avec les agences de l'administration américaine arguant que leur business et leur image à l'international est entaché.
Aujourd'hui, Microsoft tient tête au FBI qui demande des informations sur un utilisateur d'Office 365.
Si, de base, il n'y a rien de choquant, Microsoft n'a pas véritablement apprécié la petite clause de silence accompagnant ladite demande.
Car oui, depuis Microsoft préviens toujours ses utilisateurs si d'aventure il venait à faire l'objet d'une demande de renseignement par le FBI ou autre entité autoritaire. Or, ici le FBI exigeait le silence de la part de Microsoft.
Le tribunal a donné raison à l'entreprise de Redmond. En effet le caractère inconstitutionnel de la demande à forcé le FBI a retiré sa doléance.
Mais cette victoire n'est qu'un succès d'estime, car pour la petite histoire le FBI a bien obtenu les informations qu'il désirait en les demandant directement au concerné. Il fallait y penser.