« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
20 Minutes 4/5
« Inu-oh » évoque l’amitié de ce binôme créatif avec une grande originalité.
Ecran Large 4/5
Inu-Oh est une proposition radicale détonante, une déflagration sonore et visuelle ainsi qu'une vraie expérience de cinéma.
Le Monde 4/5
Ce maelström narratif irracontable est surtout prétexte à déchaîner le génie graphique de Masaaki Yuasa, affolant les lignes et les perspectives par son dynamisme échevelé, propice aux déformations optiques et aux métamorphoses.
Le Parisien 4/5
Une pépite.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Masaaki Yuasa réalise un petit bijou de film d’animation qui célèbre la créativité de grands noms du théâtre nô.
Libération 4/5
Dans un tourbillon jouissif sur fonds de légende médiévale, Masaaki Yuasa livre une comédie musicale géniale et déchaînée malgré un final un peu trop chargé niveau sonore.
Première 4/5
C’est poétique, historique (d’aucuns diraient nostalgique), sensible, étonnant, dynamique et l’on en passe. Vertigineux
Télérama 4/5
Le résultat ne ressemble pourtant qu’à lui-même : entre la sagesse du mythe et la fureur de l’opéra rock, Yuasa ne choisit pas ; en jaillit une épopée folle et merveilleuse, qui devrait entrer au panthéon de l’animation japonaise.
Cahiers du Cinéma 3/5
À partir de cette reconstitution médiévale très documentée, Yuasa bascule brutalement vers une mise en scène d’opéra rock. Pendant 30 minutes ininterrompues, des danseurs enchaînent des mouvements de breakdance sur des accords de guitare électrique. Le récit s’arrête, cède la place à des numéros musicaux à l’animation impressionnante.
Le Journal du Dimanche 2/5
En dépit des qualités plastiques évidentes de cette comédie musicale singulière et radicale, le récit s’avère hermétique, décousu, confus et déroutant, impossible d’éprouver de l’empathie pour les personnages, aussi extravagants soient-ils.
Ça fait un moment que je l'attends celui là, j'avais peur qu'il ne sorte pas en France au ciné mais maintenant chez peur qu'il ne sorte pas dans ma ville du tout ahah