« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
20 Minutes 4/5
Conte appétissant et réconfortant, « La Chance sourit à Madame Nikuko » célèbre nourriture et amour avec jovialité.
L'Humanité 4/5
Un anime attachant, fondé sur la rupture de ton et les ellipses, avec une apparence pop masquant un sous-texte mélancolique.
L'Obs 4/5
Une fable picaresque et bariolée qui raconte un Japon de bord de mer, prolétaire et rural. Derrière l’apparente légèreté de cette loufoque chronique maternelle se cache une pertinente réflexion sur le corps de la femme, sa découverte, et la brutalité du regard des autres.
La Croix 4/5
Eclairée par des décors riches en détails colorés et des personnages secondaires aux contours bien dessinés, cette tranche de vie d’un foyer très particulier finit par émouvoir par la sincérité de son regard.
Le Parisien 4/5
Formidable portrait croisé d’une mère et d’une fille que tout oppose, nourri aux meilleurs mets du Japon — on mange ici beaucoup —, cette pépite pleine de tendresse et parfois tragique se double d’une ode à la liberté des Japonaises qu’on pourrait presque qualifier de féministe.
Libération 4/5
Ayumu Watanabe parle de peurs profondes (du déclassement, de l’isolement, de grandir) mais il le fait en chantonnant.
Positif 4/5
Le mélange des genres ne nuit pas au film : on s’amuse vraiment de la liberté avec laquelle le cinéaste s’offre quelques digressions, s’attardant d’un trait relâché sur un personnage champion de concours de grimaces (désopilant), ou citant soudain un plan de Mon voisin Totoro, tout en abordant au passage des problèmes plus sérieux d’adolescents.
Première 4/5
C'est fou, généreux, très drôle (idée géniale des petits animaux qui parlent à la lisière du film), et ça finit dans les larmes. Watanabe s'est totalement emparé de son sujet pour en faire un anime en liberté totale, brassant toutes les variations de l'animation sans jamais se paumer. Tout son métier est là.
Sud Ouest 4/5
Très beau film d’animation japonais adapté d’un roman de Kanako Nishi.
Télé 7 Jours 4/5
L’animation pleine de poésie et la peinture de la vie quotidienne, au rythme des saisons, parachèvent ce conte humaniste, aussi charmant qu’inattendu.
Télé Loisirs 4/5
Ce récit d'apprentissage plein de drôlerie et de tendresse se savoure avec gourmandise.
Le Journal du Dimanche 3/5
Si l’enjeu dramatique tarde à se dévoiler, cette chronique douce-amère, à l’esthétique de manga, lorgne du côté du studio Ghibli, empruntant à l’imaginaire d’Hayao Miyazaki et à l’irrévérence d’Isao Takahata.
Première fois que j'en entend parler
J'avais bien aimé Les Enfants de la Mer, et visiblement celui-ci a aussi convaincu les gens. Faut que je voie s'il passe par chez moi.
J'avais bien aimé Les Enfants de la Mer, et visiblement celui-ci a aussi convaincu les gens. Faut que je voie s'il passe par chez moi.