« Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne, voilà je crois, toute la morale » "Le parallèle que l'on peut faire entre la poussière et le geek, une fois posés à un endroit, ils ne bougent plus tant que l'on ne déloge pas."
Half-Life. Un nom technique issu de la science, mais connu de millions de joueurs qui vouent au jeu un culte inépuisable. Un nom devenu synonyme d’odyssée inoubliable : celle d’un héros en fuite, le scientifique Gordon Freeman, à travers les couloirs d’un centre de recherche envahi par des hordes d’extraterrestres qu’il sera obligé d’affronter avec les moyens du bord. Un nom qui charrie avec lui tant de symboles : la lettre grecque λ, un pied-de-biche, une combinaison orange, un homme muni d’une mallette. Un nom que souvent l’on associe à un autre : celui de Valve, son créateur, studio surdoué dont le mythe s’est forgé précisément avec Half-Life. Un nom qui a redéfini tout un genre, le FPS, auquel il aura permis enfin d’accéder à la maturité, et de la plus belle des manières. Gamekult